9 décembre 2022 | International, Aérospatial

UK industry to play key role in new Global Combat Air Programme

The joint announcement highlights the close government, military and industrial links between the nations and reinforces the UK’s international commitment to future combat air

https://www.epicos.com/article/749291/uk-industry-play-key-role-new-global-combat-air-programme

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    13 juillet 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    La défense, planche de salut de la filière aéronautique

    HASSAN MEDDAH RAFALE , COVID-19 , L'USINE AÉRO , AÉRONAUTIQUE , HAUTS-DE-SEINE PUBLIÉ LE 10/07/2020 À 11H06 Quand l'activité civile flanche, le marché militaire peut prendre le relais. À condition d'avoir déjà un pied dans la place et une vision à long terme. A Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), la vingtaine de compagnons de la PME Rafaut ne chôme pas. Dans leur atelier de mécanique et d'intégration, ils assemblent des emports, d'imposantes pièces mécaniques destinées à Dassault Aviation. Ces pièces qui se placent sous les ailes des Rafale servent à transporter soit des bombes, soit des réservoirs d'appoint. "Notre dualité est un facteur de robustesse, particulièrement appréciable dans cette crise du secteur aéronautique", se réjouit Bruno Berthet, le président de Rafaut. Les activités de défense ont représenté un véritable amortisseur pour cette PME de 400 salariés, dont les commandes pour Airbus (palonnier, freins de rotors...) se sont écroulées avec la crise du secteur aérien. Rafaut présente le profil quasi parfait de l'entreprise dite duale, avec ses 93 millions d'euros de chiffre d'affaires, répartis équitablement entre les activités civiles et militaires. Le groupe a, certes, fait appel à des mesures de chômage technique, mais de manière modérée en mettant 30 % de son personnel en activité partielle pour deux tiers de leur temps de travail. Pour les autres PME du secteur aéronautique, la défense peut-elle constituer une bouée de sauvetage ? Le ministère des Armées veut y croire et met la main à la poche. À l'occasion de l'annonce du plan de sauvetage de la filière aéronautique, début juin, Florence Parly, la ministre des Armées, a annoncé l'accélération de 600 millions d'euros de commandes militaires. L'armée de l'air a commandé trois long-courriers A 330 qui seront transformés en avions ravitailleurs MRTT. Initialement prévus en 2026, ils seront livrés à partir de l'an prochain. Le troisième exemplaire de l'avion léger de surveillance et de reconnaissance qui devait être livré en 2027 le sera en 2023. Les hélicoptéristes ne sont pas oubliés. L'armée va acheter par anticipation huit hélicoptères Caracal. Ils sont destinés à remplacer les Puma dès 2023, soit avec cinq ans d'avance. Enfin, les PME devraient être les principales bénéficiaires d'une commande de drones de surveillance pour la marine à livrer dès 2022. Des accréditations spécifiques "L'ensemble de ces commandes répond à un besoin opérationnel existant de nos forces armées. Nous allons simplement aller plus vite. Cette anticipation nous permettra de sauvegarder plus de 1 200 emplois pendant trois ans, et cela, partout en France", a précisé Florence Parly. L'initiative n'est pas totalement désintéressée. Le ministère ne voudrait surtout pas voir disparaître des fournisseurs stratégiques emportés par la crise économique. Depuis plusieurs semaines, ses équipes pilotent une task force interministérielle forte d'une centaine de personnes. À charge pour elles de quadriller le territoire, visiter les usines et les bureaux d'études, et d'identifier les entrepreneurs et les domaines à risque. Au total, près de 1 500 entreprises seront visitées. Les entreprises tentées de se diversifier vers la défense doivent impérativement avoir une vision de long terme... comme celles des armées qui s'appuient sur une loi de programmation militaire pluriannuelle. Sur la période 2019-2025, le ministère a consacré la part du lion de son budget à l'aéronautique pour renouveler ses flottes d'appareils, d'hélicoptères, de drones. Soit un montant de 19 milliards d'euros ! Toutefois, il serait illusoire de croire que toutes les PME de l'aéronautique pourront en bénéficier d'un simple claquement de doigts. "Pour servir les armées, les fournisseurs doivent passer par des dispositifs d'accréditation. C'est un long processus. Par ailleurs, ce n'est pas simple d'intégrer comme fournisseur un programme d'armement déjà lancé comme le Rafale ou l'A400M. Les tickets d'entrée sont chers", avertit Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour le cabinet PWC. Le cluster Normandie AeroEspace (NAE), qui regroupe plus d'une centaine de PME de l'aéronautique, est bien conscient de la difficulté. Il a lancé des actions tous azimuts pour accélérer leur diversification et notamment une formation pour obtenir une habilitation et une accréditation défense, sésames indispensables pour travailler dans le domaine de l'armement. Le cluster monte également des rencontres avec des représentants du ministère des Armées, de la Direction générale de l'armement (DGA), des grands industriels de l'armement pour connaître les opportunités à saisir... Avec un exemple à suivre : la PME Gauthier Connectique, fabricant de raccords électriques. Cette société (40 salariés, 5 millions d'euros de chiffres d'affaires) était, il y a dix ans encore, exclusivement positionnée sur l'aéronautique. Déjà présents sur le Rafale, ses raccords électriques sont en passe d'être homologués pour monter sur le M51, le missile stratégique de la dissuasion nucléaire. L'entreprise s'est également diversifiée dans le secteur spatial qui représente un tiers de son activité. "Entre la décision de se diversifier, et les premières commandes, il faut compter environ trois ans. Le fait d'avoir déjà comme clients Dassault Aviation, Safran et Thales nous a beaucoup aidés", souligne son président Luc Sevestre. La PME ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. L'entreprise adapte sa technologie au milieu marin et terrestre et tente de séduire Naval Group, de même que Nexter, le fabricant du char Leclerc. Boeing mieux armé qu'Airbus pour traverser la crise ? Airbus va-t-il souffrir plus que son concurrent Boeing pour traverser la crise actuelle ? Si l'avionneur américain traîne le boulet du 737MAX, il a un atout considérable par rapport à son concurrent européen : le soutien du Pentagone, le premier acheteur au niveau mondial d'équipements militaires. Pour les forces armées américaines, Boeing livre à foison des avions de combats (F15 et F18) et des ravitailleurs (KC 46), des hélicoptères d'attaque et de transport de troupe (Chinook, Apache), des missiles... Au total, les activités de la branche défense, sécurité et espace ont pesé pour 34 % de son chiffre d'affaires en 2019, soit 76 milliards de dollars. Pour Airbus, l'activité défense pèse moins de 15 % des activités du groupe, soit 10 milliards d'euros de chiffres d'affaires en 2019. Le groupe avait raté l'occasion historique en 2012 de fusionner avec le britannique BAE Systems. Une telle opération aurait permis d'équilibrer les activités civiles et militaires de l'avionneur, le rêve de Louis Gallois, le président du groupe Airbus (alors EADS) entre 2007 et 2012. « À l'époque, les mauvaises langues disaient qu'il n'y avait pas d'intérêt et peu de synergies à cette opération. Cela aurait probablement constitué un ensemble plus robuste pour traverser la crise actuelle et permis de trouver des synergies utiles aussi bien en matière de gestion des effectifs que des programmes », souligne Matthieu Lemasson, expert des questions aéronautiques et défense pour PWC. https://www.usinenouvelle.com/article/la-defense-planche-de-salut-de-la-filiere-aeronautique.N982761

  • Honeywell Secures Repair and Overhaul Contract for U.S Army Chinook Fleet

    14 octobre 2020 | International, Aérospatial

    Honeywell Secures Repair and Overhaul Contract for U.S Army Chinook Fleet

    Honeywell Aerospace Phoenix, October 12, 2020 -- Honeywell (NYSE: HON) has won a five-year IDIQ (Indefinite Delivery, Indefinite Quantity) contract for the repair and overhaul of its T55-GA-714A engines that operate on the U.S. Army's CH-47 Chinook helicopters. This contract award will ensure that the U.S. Army's Chinook fleet has spare engines to sustain its future missions and overall readiness. The engines will be serviced at Honeywell's new maintenance facility at the company's Aerospace global headquarters in Phoenix. “Honeywell remains committed to supporting the T55 engine and the CH-47F Chinook program with improved maintenance practices, expanded repair capacities and engine modernization improvements that will meet the helicopter's needs for years to come,” said Dave Marinick, president, Engines & Power Systems. “Honeywell's unparalleled T55 repair and overhaul facility was designed to provide the highest level of support for the U.S. Army's needs today and in future missions. Every aspect of the layout and design of this new facility was carefully planned to ensure operational efficiency with U.S. Army mission readiness in mind.” Completion of the new facility means repair and overhaul work on the T55-GA-714A engine will now be in the same location as new engine production. This move allows the workforce to share resources between both engine lines, for a potential surge output of 20 engines per month that can be delivered to the U.S. Army, foreign military and commercial customers. “We've made substantial improvements to the shop layout and process flow of the T55-GA-714A maintenance lines,” said Lesley King, senior director, ISC Operations, Honeywell Aerospace. “So we can double our capacity in the shop and take advantage of our engineering resources on-site to ensure we are meeting our delivery commitments to the Army.” As a world leader in heavy lift, the CH-47F Chinook helicopter is used by the U.S. Army to support domestic and foreign operations by hauling troops and cargo all over the world. Since 1961, Honeywell has improved the horsepower of the T55 engine by 133%. Each improvement has decreased the engine's fuel consumption and lowered the maintenance burden to increase aircraft readiness. Honeywell is executing one such engine improvement program for the T55, which will increase shaft horsepower from today's 4,777 to 6,000. This engine enhancement will allow the CH-47F to increase its useful load at higher density altitudes and will further reduce maintenance hours with the introduction of a newly designed compressor and accessory drive gearbox. About Honeywell Honeywell Aerospace products and services are found on virtually every commercial, defense and space aircraft. The Aerospace business unit builds aircraft engines, cockpit and cabin electronics, wireless connectivity systems, mechanical components and more. Its hardware and software solutions create more fuel-efficient aircraft, more direct and on-time flights and safer skies and airports. For more information, visit www.honeywell.com or follow us at @Honeywell_Aero. Honeywell (www.honeywell.com) is a Fortune 100 technology company that delivers industry-specific solutions that include aerospace products and services; control technologies for buildings and industry; and performance materials globally. Our technologies help aircraft, buildings, manufacturing plants, supply chains, and workers become more connected to make our world smarter, safer, and more sustainable. https://www.epicos.com/article/635462/honeywell-secures-repair-and-overhaul-contract-us-army-chinook-fleet

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