12 octobre 2023 | International, C4ISR

The Army needs a near-term strategy for the 2020s

The U.S. Army must close the munitions gap, improve the survivability of tanks and strengthen competencies within the electromagnetic spectrum.

https://www.c4isrnet.com/opinion/2023/10/12/the-army-needs-a-near-term-strategy-for-the-2020s/

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    Aircraft First Entered Service With The USMC In 1981 The CH-53E Super Stallion helicopter reached a major milestone this year by logging more than one million flight hours since it first entered service with the Marine Corps in 1981. The CH-53E is a versatile machine used for amphibious assault and long-range insertion, delivering troops, vehicles and supplies. This rapid resupply vehicle is still one of the most used aircraft in the United States military air arsenal. “The CH-53E has seen more work than was ever anticipated it would see,” said Major Matthew Baumann, H-53 In-Service, Naval Air Systems Command Heavy Lift Helicopter program office (PMA-261) co-lead. Currently, there are 142 CH-53E Super Stallions in service. Though out of production, the CH-53E is in the middle of a “RESET” – a rolling period of rebuilding, upgrading and increasing safety, reliability and capabilities to lengthen its service life through 2032. According to Baumann, the first 25 helicopters have completed their RESET process, “allowing the squadron commanders to plan for training, operations and maintenance with renewed confidence,” he said. Resetting of the CH-53E fleet is an important segue from the current platform to the new CH-53K King Stallion, which will be its heavy-lift replacement. “The CH-53K is the most powerful helicopter ever built by the United States military,” said Colonel Perrin, PMA-261 program manager. “It will be safer, faster and more capable than any previous heavy lift helicopter in the battlespace.” Its development is currently in the testing and capability requirements phase, with a goal of bringing the CH-53K to fleet Marines by 2024. “It's a game-changer,” said Perrin. “We can't wait to have the K available for fleet use. But for now we've got a capable, reliable and safe helicopter doing heavy-lift for our Marines.” http://www.aero-news.net/index.cfm?do=main.textpost&id=8e63f37f-9874-4fb9-acf1-72e67d6a9cbd

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    Par Michel Cabirol Safran garde l'objectif d'une entrée en service opérationnel du Patroller en 2021. L'armée de Terre est de son côté plus dubitative. Le pari est ambitieux, voire audacieux mais pourquoi pas... Après le crash début décembre d'un drone Patroller peu avant sa livraison à l'armée de Terre, le directeur général de Safran Philippe Petitcolin a pour "objectif de ne pas impacter la mise en service opérationnel (du drone Patroller, ndlr) en 2021", a-t-il expliqué jeudi lors de la présentation des résultats 2019 de Safran. Après avoir trouvé rapidement la panne - un sous-système défaillant -, Safran a pu poursuivre les tests du Patroller avec un pilote à bord (avion dronisé) puisqu'il est dérivé de la plateforme en carbone fabriquée par l'industriel allemand Stemme. Le Patroller était initialement attendu dans les armées fin 2018. Un calendrier compromis ? Dans l'armée de Terre, on reste plus prudent, voire pessimiste sur le calendrier de projection du Patroller en opérations en 2021 à la suite du crash. Et ce d'autant que le calendrier était déjà tendu. "Il y a la nécessité de revoir certains développements non majeurs", explique-t-on à La Tribune. Résultat, le Patroller doit être non seulement livré à l'armée de Terre mais également maîtrisé par les équipages ainsi que les équipes de maintenance. Conclusion, le calendrier semble "compromis", estime-t-on. En outre, ce que ne maîtrise pas Safran, c'est la longueur de l'enquête de sécurité du BEA-É, le bureau enquêtes accidents pour la sécurité de l'aéronautique d'État (anciennement BEAD-air). Interrogé par La Tribune, le BEA-É, qui dispose de 11 enquêteurs, a précisé que l'enquête avançait "à un rythme normal" sans "difficulté". Les enquêtes du BEA-É s'étalent sur une durée de moins d'un an, entre neuf et dix mois en moyenne. Il enquête également sur l'accident des hélicoptères au Mali entraînant la mort fin novembre de 13 soldats français. close volume_off Un premier système devait être remis à l'armée de Terre Le crash sur la commune de Saint-Mitre-les-Remparts à proximité d'Istres (Bouches-du-Rhône), qui n'a pas fit de victime, s'est produit lors d'un vol d'essai mené à partir de la base aérienne 125 d'Istres en vue de sa livraison à l'armée de Terre. Le drone tactique était opéré par les équipes de Safran Electronics & Defense. "Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de cet incident", avait réagi à chaud Safran Electronics & Defense, qui développe le Patroller pour le compte de l'armée de Terre. Le premier système (5 avions et deux stations sol) devaient être remis d'ici à la fin de l'année à l'armée de Terre, qui devait mettre en service le Patroller début 2020. Un deuxième système devait être livré en 2020. Au total, l'armée de Terre doit recevoir cinq systèmes et vingt-huit drones tactiques de ce type à l'horizon 2030, selon l'ancien chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Jean-Pierre Bosser. Le Patroller sera la "rolls" de l'armée de Terre. Équipé d'une boule optronique gyrostabilisée dernier cri, ce drone tactique vise à répondre aux missions de renseignement au profit des unités tactiques de l'armée de Terre en leur offrant une capacité de surveillance, d'acquisition, de reconnaissance et de renseignement (SA2R). Ce système d'observation est capable de détecter, d'identifier et de localiser, de jour comme de nuit, dans un champ atteignant presque 360°, tous les éléments observés sur une portée de 150 km (14 heures d'autonomie). https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/safran-garde-l-objectif-d-une-entree-en-service-operationnel-du-patroller-en-2021-840810.html

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