27 juin 2019 | International, Aérospatial, Autre défense

The Air Force’s 5 principles to advance artificial intelligence

By:

The Air Force has been on an almost three-year journey to integrate artificial intelligence into operations and that effort will soon be more apparent as the service plans to declassify its artificial intelligence strategy, Capt. Michael Kanaan, the service's co-chair for artificial intelligence, said June 26 at the AI World Government Conference in Washington, D.C.

“We had to find a way to get us to a place where we could talk about AI in a pragmatic, principled, meaningful way,” said Kanaan.

During his speech, Kanaan laid out five principles that have guided the Air Force with artificial intelligence in the meantime. They are:

1. Technological barriers will be a significant hurdle.

Kanaan said the service has made it a point to limit technological obstacles. However, one problem contractors may face is higher priced products geared toward security-driven government programs versus the same, less expensive commercial programs. A new attitude toward commercial off-the-shelf technology within the service can help, he said.

“Too often working with our agencies, they have to take risks in the framework of time, people and bespoke unique solutions to deploy on your systems,” Kanaan said. However, this does not have to be the case. “Accept commercial standards because unclassified does not mean un-secured."

2. Data needs to be treated like a strategic asset.

“We used to ask the question, if a tree falls in the forest does it make a sound. Well, in the 21st century the real question to ask is was something there to measure it,” he said. He explained this involves looking at when and how to digitize workflows.

3. The Air Force must be able to democratize access to AI.

“This is an opportunity now to say, machine learning as our end state, if done right, should be readable to everyone else,” Kanaan said.

This will involve balancing support and operations and taking into consider the reality that the demographics of the traditional workforce are going to shift, Kanaan explained.

“Not looking at the top one percent, but focusing on the 99 percent of our workforce,” he said. “The Air Force, of those 450,000 people, 88 percent are millennials [adults under 40]."

Looking to digital natives in the integration process will be valuable because this younger slice of the workforce already has insights into how this technology works.

4. Computer skills must be viewed as strategic assets.

Just as the Defense Department has treated foreign language skills as an asset, Kanaan said, the Air Force must view computer skills the same way.

In the United States, 50,000 graduates qualified for 500,000 technology-based jobs each year, and the Air Force must promote emerging technology skills the way it did traditional electrical engineering, astronautics and aeronautics during the space race, Kanaan said. “I believe that it is time for another national defense education act," Kanaan said.

5. Communication, transparency and cooperation are imperative.

As innovations are made, communication, transparency and cooperation are necessary for discussions with international governments, industry and academic partners, Kanaan said.

“As Americans we should be communicating about the ethics of artificial intelligence and how we view society every single day. These are important topics and they do provide that signal to the rest of the world that we view our society in different ways than maybe some others and our values and norms are important because AI at its end state bolsters our biases.”

Most importantly, these issues must be addressed sooner rather than later, Kanaan said.

https://www.c4isrnet.com/artificial-intelligence/2019/06/26/the-air-forces-5-principles-to-advance-artificial-intelligence/

Sur le même sujet

  • Helsinki dispose de 11 milliards pour son nouvel avion

    15 octobre 2019 | International, Aérospatial

    Helsinki dispose de 11 milliards pour son nouvel avion

    Pascal Kümmerling Le gouvernement finlandais a fixé un plafond de 11 milliards de dollars américains pour l'achat du futur avion de combat a annoncé mercredi le ministère de la Défense. Le plafond financier comprendra le coût d'achat de nouveaux jets, de leurs armes et de divers systèmes au sol. Le projet vise à remplacer la flotte actuelle de 64 avions de combat F/A-18C/D « Hornet » achetés aux États-Unis au début des années 90. Le ministre finlandais de la Défense, Antti Kaikkonen, a déclaré que le nombre de nouveaux avions à acheter pourrait être supérieur ou égal au niveau actuel et espérait qu'il ne serait pas inférieur. Les bases du projet La Finlande ne veut pas sacrifier sa capacité d'engagement en temps de paix et doit pouvoir compter sur une dotation lui permettant un engagement sur de longs mois en cas de situation tendue au niveau international. Pour ce faire la Force aérienne veut un minimum de 64 nouveaux avions de combat multirôle, soit la même dotation qu'actuellement. Pour la Finlande il n'est pas question de sacrifier sa capacité d'action. L'avion doit pouvoir évoluer en réseau connecté avec les systèmes de défenses au sol et le reste de l'armée. A noter, que la Finlande estime que les coûts à l'heure de vol pourraient atteindre trois fois le montant du prix d'achat sur une période de 30 ans. Cette donnée sera prise en compte pour le choix final. Les aéronefs en compétition On retrouve une nouvelle fois les grands classiques du moment, avec le Lockheed-Martin F-35 «Lightning II», le Saab JAS-39 Gripen E MS21, l'Eurofighter «Typhoon II» T3A/B Block20 et le Dassault Rafale F3-R, ainsi que le Boeing F/A-18 E/F « Advanced Super Hornet ». Essais techniques La Finlande a observé avec intérêt les essais des quatre avions effectués ce printemps dans notre pays à Payerne. Le pays procédera également à des tests techniques qui seront effectués en Finlande cet hiver. Mais avant cela, le pays enverra des demandes d'offre plus détaillées aux candidats durant l'automne. Les dernières offres seront organisées en 2020. Le gouvernement finlandais fera son choix en 2021. Le Hornet en Finlande C'est en 1992 que la Finlande décida d'acquérir 64 F/A-18 C/D «Hornet» pour remplacer les bons vieux MiG-21 et Saab J-35 «Draken». A l'époque, les Hornet finlandais ne sont pas complètement équipés, notamment en matière de guerre électronique et d'avionique, ce qui avait permis à l'époque de faire baisser le prix d'achat. Mais dès le début des années 2000, la Finlande décida d'équiper ses « Hornet » des systèmes manquants. Depuis les « Hornet » finlandais ont reçu les missiles air-air à moyenne portée de type AIM-120 AMRAAM avec un système de système de visée plus performant et de doter ceux-ci, du système de guerre électronique AN/ALQ-67. Le groupe de travail du ministère de la Défense finlandais a recommandé que la flotte de F/A-18C/D puisse entrer en retraite durant la période 2025-2030. A signaler, que la Finlande considère que le coût d'un programme d'extension de vie des « Hornet » est à la fois risqué et prohibitif. https://blogs.letemps.ch/pascal-kuemmerling/2019/10/13/helsinki-dispose-de-11-milliards-pour-son-nouvel-avion/

  • SCAF : la connectivité des systèmes sera assurée par Airbus et Thales

    24 février 2020 | International, Aérospatial

    SCAF : la connectivité des systèmes sera assurée par Airbus et Thales

    Airbus et Thales ont signé un accord afin de mener conjointement le développement de l'Air Combat Cloud du SCAF. Qui dit système de systèmes, dit connectivité. En effet, le SCAF rime avec combat collaboratif et échange de données entre les différentes plateformes intégrées. Airbus et Thales ont donc signé un accord le 20 février, officialisant leur collaboration sur le volet Air Combat Cloud du SCAF. Une première phase de démonstrations sera conduite au cours des 18 prochains mois, dans le cadre du contrat Phase 1A du SCAF. Les travaux qui seront réalisés lors de cette première étape serviront de base aux développements futurs. Données. Un travail important attend donc désormais les deux industriels, au regard de l'avancée technologique qui caractérise les vecteurs du SCAF. Que ce soit le NGF (nex generation fighter), les remote carriers (drones d'accompagnement) mais également toutes les plateformes d'ores et déjà existantes, ces aéronefs collectent une quantité de plus en plus importante de données. Celles-ci doivent être triées, traitées et analysées, afin de fournir une information enrichie aux opérationnels et les aider dans leur prise de décision. « Au sein du SCAF, l'Air Combat Cloud va, en temps réel, connecter et synchroniser toutes les plateformes et permettre de traiter et distribuer l'information afin d'améliorer la connaissance situationnelle et permettre la conduite d'opérations en collaboration », détaille Thales. https://www.air-cosmos.com/article/scaf-la-connectivit-des-systmes-sera-assure-par-airbus-et-thales-22622

  • DARPA Prototype Reflectarray Antenna Offers High Performance in Small Package

    23 janvier 2019 | International, C4ISR

    DARPA Prototype Reflectarray Antenna Offers High Performance in Small Package

    DARPA's Radio Frequency Risk Reduction Deployment Demonstration (R3D2) is set for launch in late February to space-qualify a new type of membrane reflectarray antenna. The antenna, made of a tissue-thin Kapton membrane, packs tightly for stowage during launch and then will deploy to its full size of 2.25 meters in diameter once it reaches low Earth orbit. R3D2 will monitor antenna deployment dynamics, survivability and radio frequency (RF) characteristics of a membrane antenna in low-Earth orbit. The antenna could enable multiple missions that currently require large satellites, to include high data rate communications to disadvantaged users on the ground. A successful demonstration also will help prove out a smaller, faster-to-launch and lower cost capability, allowing the Department of Defense, as well as other users, to make the most of the new commercial market for small, inexpensive launch vehicles. Satellite design, development, and launch took approximately 18 months. “The Department of Defense has prioritized rapid acquisition of small satellite and launch capabilities. By relying on commercial acquisition practices, DARPA streamlined the R3D2 mission from conception through launch services acquisition,” said Fred Kennedy, director of DARPA's Tactical Technology Office. “This mission could help validate emerging concepts for a resilient sensor and data transport layer in low Earth orbit – a capability that does not exist today, but one which could revolutionize global communications by laying the groundwork for a space-based internet.” The launch will take place on a Rocket Lab USA Electron rocket from the company's launch complex on the Mahia Peninsula of New Zealand. Northrop Grumman is the prime contractor and integrated the 150 kg satellite; MMA Design designed and built the antenna. Trident Systems designed and built R3D2's software-defined radio, while Blue Canyon Technologies provided the spacecraft bus. Rocket Lab will host a webcast and provide coverage of the launch via live stream: http://www.rocketlabusa.com/live-stream. https://www.darpa.mil/news-events/2019-01-22b

Toutes les nouvelles