20 mars 2024 | International, Terrestre

Sweden purchases over 300 armoured vehicles from Patria

The 321 vehicles, which in Sweden are called Pansarterrängbil 300, will be stationed at Livgardet regiment in Kungsängen and several other units around the country.

https://www.epicos.com/article/793587/sweden-purchases-over-300-armoured-vehicles-patria

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    16 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Armées : Florence Parly compte sur une hausse de ses crédits pour relancer l'industrie française

    Par Michel Cabirol La ministre des Armées estime que son ministère aura un "rôle particulier à jouer lorsqu'il s'agira de relancer l'économie française". Pour l'heure, le budget des armées est épargné. C'est une première indication. Et elle est positive pour les armées et l'industrie de défense française. "Lorsque nous examinerons le prochain budget, je ne doute pas que certains de nos crédits de paiements auront augmenté, afin d'amplifier la relance", a assuré le 10 avril la ministre des Armées Florence Parly lors de son audition au Sénat. Premier investisseur de l'État, le ministère des armées aura "un rôle particulier à jouer lorsqu'il s'agira de relancer l'économie française", a-t-elle expliqué. close volume_off Le ministère dispose, dans le cadre du programme 146 (Equipements militaires), "de moyens importants pour faire travailler aussi bien nos grandes industries de défense que le tissu de PME qui les entourent", a fait valoir Florence Parly. Car compte tenu de la récession qui s'annonce, le ministère des armées sera "un acteur clef, avec une responsabilité particulière", a-t-elle insisté. Interrogés par La Tribune, certains industriels de l'armement ne demandent ni plus, ni moins que le respect de la LPM (Loi de programmation militaire). Et ils rappellent que cette industrie produit 100% "Made in France" ou presque. L'industrie au service des armées Le ministère des Armées a demandé dès le début de la crise du Covid-19 aux industriels de la défense de maintenir leurs activités industrielles indispensables aux forces armées pour qu'elles poursuivent leurs missions. Florence Parly l'a redit vendredi dernier : "La continuité de l'industrie de la défense est essentielle à nos opérations". En outre, elle a demandé au délégué général pour l'armement de porter "une attention spéciale à la trésorerie des PME, et de réduire les délais de paiement". Pour suivre au plus près la santé financière et économique de la base industrielle et technologique de défense, le ministère a dressé une cartographie précise de la situation des entreprises. Le ministère porte également une attention à ses nombreux fournisseurs. Dans ce cadre, elle a demandé à ce que toutes les factures de moins de 5.000 euros soient traitées selon une procédure accélérée. "Depuis le 20 mars, nous en avons payé 22.000, pour un montant de 23 millions d'euros, a souligné Florence Parly. Hier, à Metz, la personne en charge de cette procédure m'a dit que 1.500 des 2.000 factures qui étaient en stock au début de la crise ont été réglées en quelques jours. Les équipes de la direction générale des finances publiques se montrent très réactives et assurent rapidement le paiement final". Le budget des armées pour l'heure épargné Pour l'heure, le ministère est épargné au niveau budgétaire. Le premier projet de loi finances rectificative (PLFR), adopté il y a quelques jours, "n'a aucun impact sur le budget de mon ministère, a affirmé la ministre. Le second, qui sera présenté au prochain conseil des ministres, ne l'affectera pas davantage". En outre, a-t-elle souligné, "nous veillerons à ce que les réflexions sur le système de santé publique prennent en compte le service de santé des armées". D'une façon générale, il est "un peu tôt pour parler du coût de l'opération Résilience (notamment sur le programme 146, ndlr), d'autant qu'il faudra apprécier l'impact de cette crise sur le budget global des armées : certaines activités ont été moins importantes que prévu, aussi". https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/armees-florence-parly-compte-sur-une-hausse-de-ses-credits-pour-relancer-l-industrie-francaise-845282.html

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    30 juillet 2024 | International, Aérospatial

    UK launches global MQ-9B drone users’ club for allies

    The drone program is growing rapidly, as it initially included six nations and now comprises ten.

  • The F-35 Lightning II can’t fly in lightning once again

    25 juin 2020 | International, Aérospatial

    The F-35 Lightning II can’t fly in lightning once again

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — The most widely used variant of the F-35 Joint Strike Fighter is currently unable to fly in thunderstorms after the discovery of damage to one of the systems it uses to protect itself from lightning, its prime contractor Lockheed Martin said Wednesday. To safely fly in conditions where lightning is present, the F-35 relies on its Onboard Inert Gas Generation System, or OBIGGS, which pumps nitrogen-enriched air into the fuel tanks to inert them. Without this system, a jet could explode if struck by lightning. However, damage to one of the tubes that distributes inert gas into the fuel tank was discovered during routine depot maintenance of an F-35A at Hill Air Force Base's Ogden Logistics Complex in Utah, Lockheed said in a statement. Lockheed temporarily paused F-35 deliveries June 2-23 as the company validated whether it was properly installing OBIGGS systems. However, “it appears this anomaly is occurring in the field after aircraft delivery,” Lockheed said in a statement. Lockheed has since delivered two F-35s, company spokesman Brett Ashworth said. Because it cannot be confirmed that the OBIGGS system would function properly if the jet was hit by lightning, the F-35 Joint Program Office has opted to institute flight restrictions. “As a safety precaution, the JPO recommended to unit commanders that they implement a lightning flight restriction for the F-35A, which restricts flying within 25 miles of lightning or thunderstorms,” Lockheed said. “We are working with the F-35 Joint Program Office (JPO) on a root cause corrective action investigation to determine next steps.” The issue only seems to affect the F-35A conventional-takeoff-and-landing variant, which is used by the U.S. Air Force and the majority of international customers. The OBIGGS design is slightly different on the F-35B short-takeoff-and-vertical-landing variant due to the aircraft's lift fan, and the problem has not been observed on F-35C carrier-takeoff-and-landing aircraft, Ashworth said. Bloomberg, which obtained a JPO memo dated June 5, reported that flawed tubes were found in 14 of the 24 “A” models inspected. The JPO did not respond immediately to a request for comment. For a plane nicknamed “Lightning II,” the F-35′s lightning protection systems have, ironically, become an embarrassing problem issue for the jet at times throughout its development. The F-35 was prohibited from flying within 25 miles of lightning in the early 2010s after the Pentagon's weapons tester discovered deficiencies with the original OBIGGs system in getting enough inert gas into the fuel tanks. Those restrictions were rescinded after the OBIGGS was redesigned in 2014. https://www.defensenews.com/air/2020/06/24/the-f-35-lightning-ii-cant-fly-in-lightning-once-again/

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