22 juillet 2021 | International, Naval

Submarine industry is growing less fragile, but it needs stability going into SSN(X), increased repair work

Consistent funding will help the submarine industrial base accomplish the delicate task of maintaining today’s construction requirement while also providing increased submarine maintenance capacity and designing the SSN(X) next-generation attack submarine, industry and U.S. Navy leaders said.

https://www.defensenews.com/naval/2021/07/21/submarine-industry-is-growing-less-fragile-but-it-needs-stability-going-into-ssnx-increased-repair-work/

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    3 mars 2020 | International, Aérospatial, Naval

    Des Rafale de la Marine nationale s’équipent de pièces imprimées en 3D

    Un Rafale de la Marine nationale vient d'effectuer son premier vol avec une pièce imprimée en 3D avec succès : dessinée et prototypée sur le porte-avions Charles de Gaulle, la pièce est un boîtier de commande de vidanges des réservoirs de carburant. C'est une première pour la marine qui peut ainsi compter sur la fabrication additive pour concevoir des pièces détachées rapidement et proposer diverses itérations à moindre coût. Le composant final a été imprimé en 3D par Dassault Systèmes et pourrait bien être le premier d'une longue série. En février 2019, le porte-avions Charles de Gaulle s'équipait d'une imprimante 3D, probablement d'une machine de bureau à dépôt de matière fondue, afin de concevoir toutes sortes d'objets pour dépanner l'équipage parti en mission. Un ravitaillement ou une réparation en pleine mer est très coûteux et long, un temps que les techniciens de la Marine nationale ne peuvent parfois pas s'offrir. La fabrication additive pourrait être une première solution : en ayant une imprimante 3D à bord du porte-avions, son équipage produirait ce dont il a besoin sur place, s'affranchissant de nombreuses contraintes. La Marine nationale possède aujourd'hui 40 Rafale, dont 28 en ligne. C'est aujourd'hui l'avion de combat le plus moderne en service sur le territoire français. L'Etat-major des armées (EMA) explique qu'une équipe de techniciens de la Marine nationale a proposé d'utiliser l'imprimante 3D à bord du porte-avions Charles de Gaulle pour imaginer différentes pièces détachées intégrées à leur Rafale. Ils ont donc dessiné une maquette de renfort qui a ensuite été imprimée en 3D sur le bateau directement. L'EMA ajoute : “Le projet est immédiatement retransmis à la Direction de la maintenance aéronautique pour analyse au sein du plateau technique central mis en place dans le cadre du premier marché verticalisé de la flotte et rassemblant les spécialistes étatiques et industriels du domaine.” Le marché évoqué concerne le contrat RAVEL obtenu en mai 2019 par Dassault Aviation et ce pour une durée de 10 ans. Celui-ci a notamment pour objectif d'assurer l'entretien des Rafale, une assistance technique et une meilleure gestion des stocks. Après quelques jours d'études, le modèle imprimé sur le porte-avions a été adapté afin que le groupe Dassault puisse imprimer en 3D un produit fini. On ne sait pas quels matériaux et technologie ont été utilisés mais les pièces auraient été montées sur l'ensemble des Rafale embarqués dans le cadre de la mission Foch qui a débuté le 22 janvier dernier. La direction de la maintenance aéronautique (DMAé) conclut : « L'endommagement d'un aéronef en mer étant plus sévère qu'à terre, il revient à la DMAé de calculer et d'anticiper les besoins des différents aéronefs embarqués pour soutenir au mieux les équipes du porte-avions dans leur travail quotidien. » La fabrication additive pourrait donc répondre à ces objectifs et aider les équipes à concevoir des pièces détachées plus rapidement et efficacement. On espère que d'autres Rafale pourront être équipés de pièces imprimées en 3D ! En attendant, vous pouvez retrouver davantage d'informations ICI. https://www.3dnatives.com/rafale-marine-nationale-impression-3d-03032020/

  • Collins Gets $700M to Upgrade F-15 Ejection Seats

    30 octobre 2020 | International, Aérospatial

    Collins Gets $700M to Upgrade F-15 Ejection Seats

    Oct. 29, 2020 | By Brian W. Everstine F-15 Eagle drivers will get upgraded ejection seats under a new $700 million contract to Collins Aerospace, a Raytheon Technologies subsidiary, awarded on Oct. 29. The new ACES 5 ejection seat will replace the F-15's older ACES II ejection seat, found in most of the Air Force's fighter and bomber fleet. Collins, in a release, said its new seat includes improved head, neck, arm, and leg “flail prevention,” along with a catapult that can adjust based on the occupant's weight. The company claims the new seat reduces ejection-related injuries to less than 5 percent, and spinal injuries to less than 1 percent. Work will be conducted in Colorado Springs, Colo., and is expected to be complete by Oct. 22, 2030. ACES 5 has already been selected for the T-7A Red Hawk, and will also be installed on the F-16, F-22, B-1, and A-10 fleets. Under a justification and approval notice posted in October 2019, the service plans to buy 3,018 of the seats, according to FlightGlobal. https://www.airforcemag.com/collins-gets-700-million-to-upgrade-f-15-ejection-seats/

  • Défense : la lente remontée des investissements des armées européennes

    17 décembre 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Défense : la lente remontée des investissements des armées européennes

    L'Agence européenne de défense confirme une remontée des investissements dans la défense mais s'inquiète de l'absence persistante de coopération européenne et de la faiblesse toujours plus prononcée de la recherche militaire. Par Anne Bauer Toute statistique compilée, les dépenses militaires de l'Europe s'inscrivent en hausse pour la cinquième année consécutive. Mais l'Agence de défense européenne met en évidence de nombreuses fragilités dans cette reprise. Elle estime à 223 milliards d'euros la dépense militaire des Etats membres en 2018, contre 615 milliards aux Etats-Unis . Cette somme correspond à 1,4 % du PNB des Etats de l'Union, loin des 2 % promis à l'Otan mais aussi dans le cadre de la nouvelle politique européenne de défense. Pour rappel, la plupart des pays européens appartiennent à l'Otan - à l'exception de la Suède, la Finlande, l'Irlande, Chypre, l'Autriche et Malte. Modernisation des équipements Après cinq années consécutives de hausse, le budget militaire des Européens rejoint tout juste son niveau d'avant la crise financière de 2007-2008. Celle-ci avait entraîné des coupes budgétaires sévères, qui se sont traduites par une chute de 11 % des budgets des armées entre 2007 et 2013. La part des salaires des soldats étant incompressibles, les coupes ont été les plus sévères dans les dépenses consacrées aux équipements de défense (-22 %). Il a fallu que les crises au Proche-Orient et sur le flanc est en Ukraine remettent en lumière la misère des armées européennes et que les Etats promettent de consacrer au moins 20 % de leurs moyens à la modernisation des outils de combat. En 2018, l'objectif a été pratiquement atteint avec 44,5 milliards d'euros d'investissements. Mais au lieu de saluer cette remontée, l'Agence sonne l'alerte. Coopération européenne : l'urgence Elle s'inquiète de l'avenir de l'industrie de défense en soulignant une chute toujours importante des budgets alloués à la recherche et l'innovation, tombés de 3 milliards d'euros en 2006 à 2,1 milliards l'an dernier. Les engagements pris pour renforcer l'Europe de la défense sont encore loin d'être entrés dans les moeurs. Alors que les pays européens ont promis de coopérer entre eux pour un minimum de 35 % de leurs équipements, chacun continue à privilégier des fournisseurs nationaux, sans se soucier de la compétitivité de leur industrie de défense. En 2018, l'Agence européenne de défense a ainsi calculé que 17,8 % des dépenses d'équipements seulement (6,4 milliards d'euros) relèvent de programmes européens. Un chiffre qui n'atteint même pas 10 % dans la recherche et l'innovation ! Premières attaques sur le fonds européen de défense Cet état des lieux plaide pour la mise sur pied rapide du nouveau Fonds européen de défense , destiné à rationaliser les investissements des uns et des autres. Président de Dassault Aviation et de l'Association européenne des industries aéronautiques et de défense (ASD), Eric Trappier admettait la semaine dernière sa « surprise » devant les premières tentatives de sabotage de ce futur fonds. Alors que la Commission sortante en accord avec le gouvernement français plaidait pour un fond doté de 13 milliards d'euros de budget, les négociations sur le futur budget européen ont démarré sur une copie avec un fond de défense doté de 6 milliards seulement. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/defense-la-lente-remontee-des-investissements-des-armees-europeennes-1156958

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