23 octobre 2023 | International, Terrestre

State clears UK’s planned $1B buy of Joint Air-to-Ground Missile

The UK is one step closer to adding Joint Air-to-Ground Missiles to its weapons inventory.

https://www.defensenews.com/land/2023/10/23/state-clears-uks-planned-1b-buy-of-joint-air-to-ground-missile/

Sur le même sujet

  • General Dynamics To Invest $1 Billion In Production Facilities Upgrades With Focus on Subs

    31 janvier 2019 | International, Naval

    General Dynamics To Invest $1 Billion In Production Facilities Upgrades With Focus on Subs

    By: Ben Werner General Dynamics Corp. plans to invest $1 billion in 2019 in upgrading and retooling its manufacturing operations company-wide, with a focus on its growing submarine construction business. A plurality of this year's capital expenditures – the reinvestment in manufacturing operations, commonly referred to as CapEx – will focus on making improvements to General Dynamics Electric Boat, the maker of the Virginia-class attack submarines and the new Columbia-class ballistic-missile submarines. “We are poised to support our Navy customers and increase the size of the fleet,” Phebe Novakovic, the chief executive of General Dynamics, said during a conference call with analysts today to discuss the company's 2018 financial results and detail financial expectations for 2019. Submarine builder Electric Boat is on pace to build two Virginia-class Block IV submarines a year while preparing to start building the first Block V submarines. At the same time, Electric Boat is preparing for construction of the first Columbia-class submarine to begin in early 2020. “CapEx will be 3 percent of sales in 2019 mostly because of the Columbia-class construction,” Jason Aiken, the chief financial officer of General Dynamics, said during the call. In 2018, General Dynamics reported sales of $36.2 billion, and the company predicts sales to increase in 2019. General Dynamics capital investments will remain at a similar level for the next two to three years, Aiken said. After 2022, once Columbia-production is ramped up, the level of capital spending is expected to taper off, he added. Overall, the company's Marine Systems division, which includes the Electric Boat, Bath Iron Works and NASSCO shipyards, recorded robust sales growth during the year, and Novakovic said the sales growth is expected to continue in 2019. The Pentagon and Capitol Hill are sending signals that Novakovic said she takes to mean, “we'll see nice defense spending for our programs.” General Dynamics predicts the Marine Systems division will post 2019 sales of $9 billion, a 6-percent increase over sales in 2018. The Marine Systems group has a backlog of 11 Arleigh Burke-class guided-missile destroyers; started construction on the future USNS John Lewis (T-AO-205), a first-in-class oiler for the Navy; and continued building Expeditionary Sea Base ships. “They have done nicely with slow, steady growth, but the real growth driver is Electric Boat,” Novakovic said. https://news.usni.org/2019/01/30/40759

  • La solution aux feux de forêt passe-t-elle par une garde partagée canado-australienne?

    14 janvier 2020 | International, Aérospatial, Naval, Sécurité

    La solution aux feux de forêt passe-t-elle par une garde partagée canado-australienne?

    Marc Godbout Une idée proposée discrètement en 2016 par le secteur privé au gouvernement fédéral refait surface. Elle consiste à doter le Canada et l'Australie d'équipements en commun pour mieux lutter contre les feux de forêt. Dans le contexte des changements climatiques et de la crise australienne, le concept mérite-t-il d'être exploré à nouveau? Spencer Fraser est le premier à l'admettre. Quand nous avons présenté le concept, c'était un peu trop tôt, mais les choses ont changé, comme on le voit en Australie. C'est lui qui, au nom du chantier naval Davie, a soumis, au printemps 2016, une proposition au gouvernement fédéral : construire un navire sur mesure pour transporter entre le Canada et l'Australie 14 nouveaux avions-citernes de Bombardier. Ces nouveaux équipements seraient en garde partagée et s'ajouteraient aux ressources déjà existantes dans les deux pays. Leur saison d'incendies est à l'opposée de la nôtre. Notre hiver, c'est leur été et leur hiver, c'est notre été, rappelle le PDG de Federal Fleet, une filiale de Davie. Le chantier maritime n'était pas l'unique promoteur du projet. Il avait l'appui de Bombardier, l'ancien constructeur de l'avion CL-415. undefined Commentaires Marc Godbout Publié à 4 h 14 Une idée proposée discrètement en 2016 par le secteur privé au gouvernement fédéral refait surface. Elle consiste à doter le Canada et l'Australie d'équipements en commun pour mieux lutter contre les feux de forêt. Dans le contexte des changements climatiques et de la crise australienne, le concept mérite-t-il d'être exploré à nouveau? Spencer Fraser est le premier à l'admettre. Quand nous avons présenté le concept, c'était un peu trop tôt, mais les choses ont changé, comme on le voit en Australie. C'est lui qui, au nom du chantier naval Davie, a soumis, au printemps 2016, une proposition au gouvernement fédéral : construire un navire sur mesure pour transporter entre le Canada et l'Australie 14 nouveaux avions-citernes de Bombardier. Ces nouveaux équipements seraient en garde partagée et s'ajouteraient aux ressources déjà existantes dans les deux pays. Leur saison d'incendies est à l'opposée de la nôtre. Notre hiver, c'est leur été et leur hiver, c'est notre été, rappelle le PDG de Federal Fleet, une filiale de Davie. Le chantier maritime n'était pas l'unique promoteur du projet. Il avait l'appui de Bombardier, l'ancien constructeur de l'avion CL-415. La proposition avait été soumise à des fonctionnaires fédéraux et à la ministre de l'Environnement de l'époque, Catherine McKenna. Le document précisait notamment que l'Australie et le Canada obtiendraient ainsi un actif stratégique pour répondre à leurs besoins, dans un contexte de changements climatiques. Cette garde partagée permettrait aux deux pays de réduire les coûts pour leurs contribuables respectifs. La moitié de la facture serait assumée par les Canadiens, l'autre par les Australiens. À l'époque, la motivation n'avait pas été assez grande de la part du gouvernement et des bureaucrates pour poursuivre l'idée, mais il n'y avait pas de crise. C'était avant Fort McMurray, avant l'Australie, indique Spencer Fraser. Deux nations, une solution? Les conséquences dramatiques des incendies qui ravagent l'Australie ont ravivé un certain intérêt à Ottawa. Des sources indiquent que deux ministères fédéraux ont reparlé de cette proposition la semaine dernière et qu'au moins un des deux ministères s'est informé auprès de Viking Air, l'entreprise à qui Bombardier a vendu son programme d'avions-citernes en juin 2016. La proposition, telle que soumise au gouvernement canadien il y a quatre ans, recommandait un arrangement entre le Canada et l'Australie, qui se partageraient les coûts d'un bail annuel de 145 millions de dollars. Davie et Bombardier auraient loué le navire, les avions et fourni les équipages ainsi que le personnel pour l'entretien. En pleine crise nationale, de plus en plus de voix s'élèvent en Australie pour réclamer davantage de gros avions-citernes. Le haut-commissariat d'Australie à Ottawa n'a pas répondu à notre demande d'entrevue. L'Australie essuie des critiques virulentes ces jours-ci. Le pays a un manque chronique d'avions-citernes, soutient notamment l'ancien commissaire aux incendies de l'État de Nouvelle-Galles du Sud, Greg Mullins. Dans une entrevue accordée sur les ondes du diffuseur public national, M. Mullins a souligné que les besoins de l'Australie vont au-delà de l'expertise du Canada. Notre premier ministre devrait être au téléphone avec Justin Trudeau du Canada, en ce moment, en demandant : Justin, nous avons besoin de plus de 20 de vos bombardiers d'eau. Logique? Cette proposition de 2016 a le mérite d'être étudiée, croit David Perry, analyste et vice-président de l'Institut canadien des Affaires mondiales. Selon lui, les changements climatiques doivent forcer les gouvernements à revoir la définition de ce qu'est un actif stratégique qui est traditionnellement militaire, comme les avions de chasse ou encore les navires de guerre. Il est absolument nécessaire de veiller à ce que nous investissions des ressources supplémentaires pour atténuer autant que possible les effets des changements climatiques. Cette initiative stratégique proposée par le secteur privé soulève aussi certaines des interrogations. C'est une question pertinente, il faut bien l'évaluer. Mais je ne suis pas convaincu que d'avoir 14 avions supplémentaires soit absolument nécessaire, croit Jonathan Boucher, chercheur au Centre de foresterie des Laurentides. Le fait d'avoir plus de bombardiers d'eau lors de conditions extrêmes n'aurait pas nécessairement un impact direct. Jonathan Boucher explique que la meilleure action est d'arriver tôt avant que l'incendie génère trop d'énergie. Mais parfois les conditions sont tellement extrêmes que c'est difficile, voire impossible, de s'y rendre. Un autre élément pourrait influencer d'éventuelles discussions face à ce genre de proposition. L'organisation et les stratégies varient d'une province à l'autre, rappelle l'expert. Et c'est sans compter que ce sont les provinces au Canada et les États en Australie qui ont compétence en matière de lutte contre les incendies de forêt par l'intermédiaire d'actifs publics et privés. Sur papier, la proposition peut sembler alléchante, mais la suite pourrait être politiquement complexe. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1471807/feux-foret-garde-partagee-canada-australie

  • Spain’s Navantia joins industry team for European Patrol Corvette

    12 février 2021 | International, Naval

    Spain’s Navantia joins industry team for European Patrol Corvette

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — Spanish shipbuilder Navantia has sealed its participation in the upcoming development of the European Control Corvette, a signature naval program that is part of the European Union's defense efforts. Company executives signed a memorandum of understanding to that effect with the Naviris consortium, the companies announced Feb. 11. Naviris is a 50-50 joint venture between France's Naval Group and Italy's Fincantieri. The notional European Patrol Corvette is meant to be a coast guard-type ship able to perform missions of fighting pirates and smugglers as well as border control and show-of-force trips in Europe's waters. At 100 meters and 3,000 tons, it will replace “several classes of ships, from patrol vessels to light frigates” in participating countries come 2027, the companies said. The program has been advancing through the EU's so-called Permanent Structured Cooperation framework, or PESCO, whose goal is to create joint capabilities across the continent. Companies participating in PESCO projects have a shot at subsidies flowing from the multibillion-dollar European Defence Fund. Italy has the lead on the patrol corvette project. The governments of France, Spain and Greece have already signed up, and Portugal is reportedly considering doing the same. All participating navies are expected to submit their design requirements this year, according to the Naviris announcement. The idea is to find “commonality of solutions and modularity for adaptions to national requirements,” the company said. “The ambition of the project ... is to include other European partners to integrate technological bricks, which correspond to innovation streams matching with national EPC requirements and European Commission strategy and guidelines.” The European Defence Agency announced earlier this year that it would lend project management and related support to the program. https://www.defensenews.com/global/europe/2021/02/11/spains-navantia-joins-industry-team-for-european-patrol-corvette

Toutes les nouvelles