24 avril 2024 | International, Aérospatial
14 avril 2024 | International, Naval
The ongoing round of live testing is meant to ensure the current iteration of hardware and software are fully integrated with the Aegis combat system.
24 avril 2024 | International, Aérospatial
4 septembre 2018 | International, Terrestre, C4ISR
By Patrick Tucker A look at the Iron Man-like dreams and power-starved realities of dueling technology programs. The Russian suit, Ratnik-3, is an imposing web of hexagonal armor plates, black webbing, and small joint motors called actuators. Oleg Faustov, an engineer working with weapons maker TsNiiTochMash, told Russian media outlet TASS this week that the government had already tested a prototype. “It really enhances a serviceman's physical abilities. For example, the tester was able to shoot from a machine-gun only with one hand and accurately hit targets,” he said at Russia's recent Army-2018 weapons show. As part of the Army-2018 publicity push, the makers of the suit also made vague and unverifiable claims that it had seen actual combat, according to Sam Bendett, an associate research analyst at CNA and a fellow in Russia studies at the American Foreign Policy Council. “It was interesting that the Russian announcement during Army-2018 stated that the exoskeleton was ‘tested in combat,' though without any specific details. It's likely that it was tried in Syria, though the press and media did not cover that development,” he said. While the statement came from the suit's maker, Bendett said he assumes the claim “had to be approved by the state given the combat claims.” The suit is supposed be officially released in 2025. In addition to an almost comically Black Manta-esque helmet, the Ratnik-3 features “40 life-saving elements,” Russian media says. In many ways, it resembles some of the more recent concept images of the TALOS suit that U.S. Special Operations Forces Command, or SOCOM, is attempting to develop. In both, all those bells and whistles seem to be an obstacle to the suit reaching full utility. Both the Ratnik-3 and TALOS efforts seem constrained by available power. “There are issues with the battery and energy sources for this exoskeleton, as Russia—along with other nations working on this—are trying to create a compact energy source that would allow the soldiers to act independent of any stationary or vehicle-borne sources of energy,” Bendett said. Even Russian media have noted the suit's power constraints, noting that a battery life of less than four hours isn't super practical for a day of marching. A forthcoming series of reports from the Center for New American Security, or CNA, takes a deep dive into the issue of soldier augmentation and reaches a similar conclusion. “The current state of technology still does not have sufficient power to manage the intense load-carrying capacity that the SOCOM TALOS suit concept requires...and development is needed before full-body exoskeletons will be feasible for infantry combat away from a reliable power source. Still, these advances represent a major step forward in the necessary technology for dismounted soldier exoskeletons,” notes the report. While size and power constraints are hindering the realization of militaries' most ambitious Iron Man dreams, more modest exoskeleton suits are moving closer to real-world use. The U.S.Army is experimenting with two exoskeleton designs at the Natick Soldier Systems Center in Massachusetts. These won't protect soldiers from enemy fire but they will help soldiers carry more stuff for longer. And they'll likely be on the battlefield far sooner. “Exoskeletons with more modest goals, such as lower-body exoskeletons that are designed simply to increase mobility, reduce energy expenditure, and reduce musculoskeletal injuries, may show more promise in the near-term,” according to the CNAS report. The larger of the two is the ONYX from Lockheed Martin. At a Pentagon event in May, Defense One caught up with Keith Maxwell, a product manager from Lockheed Martin, who described the results of initial tests in November, 2016. “We did an evaluation with some soldiers. They were doing 185-pound squats with the barbell. At the beginning of the day, fresh, Johnny comes in and does 26 reps at 185, puts it down. hat's as many as he can do. We put this on; over the course of the day, he's doing casualty evacuations, carrying people up five flights of stairs and down, going through subterranean tunnels. At the end of the day, we put him back in the gym, ask him, ‘How many squats can you do?' He knocks out 72.” Full article: https://www.nextgov.com/emerging-tech/2018/09/russia-us-are-military-exoskeleton-race/150956/
22 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense
(B2) L'Europe doit-elle s'occuper de défense et de diplomatie ? Comment peut-elle le faire ? Observateur patenté des institutions européennes, B2 vous propose quelques pistes de réflexion... On ne peut pas se réjouir simplement que la coopération structurée permanente ait été mise en place ou qu'un Fonds européen de défense soit en train de naitre. L'Europe ne fait ainsi que rattraper un retard à l'allumage. Tous ces projets ont été conçus il y a dix ou vingt ans. Ce qui à l'échelle de l'évolution du monde est quasiment un siècle. Les mettre en place maintenant est indispensable. Mais la donne stratégique évolue. Il importe de continuer à avancer vite, pour rattraper le retard et combler toutes les lacunes. Se reposer sur les 'lauriers' serait une erreur tragique. La doctrine européenne : sans illusion, La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC), alias l'Europe de la défense. Elle n'est pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Ce qu'est l'Europe de la défense. Ce qu'elle n'est pas Mini QG militaire, Fonds européen de la défense, coopération structurée permanente... Ce n'est pas le grand soir annoncé par certains. Mais c'est une étape intéressante permettant à différents projets mis sur la table depuis un ou deux ans de progresser. Union européenne de défense : ce qui avance, ce qui bloque B'tir des structures institutionnelles Les dernières options travaillées au sein de la Commission européenne semblent favoriser une nouvelle direction générale au mandat élargi regroupant la Défense et la Sécurité, selon nos informations. Une DG défense et sécurité d'ici la fin de l'année ?* L'idée d'avoir une commission de plein exercice consacrée aux questions de défense dans le futur Parlement européen est sur la table. Sera-t-elle acceptée ? En route vers une commission Défense au Parlement européen ?* A force de parler d'armée européenne, il faudrait examiner ce que cela imposerait. Ne tentons pas de dire que cette idée est bonne ou mauvaise. Essayons de voir ce que cela supposerait. Imaginons un moment un consensus politique pour créer cette armée. Imaginons des moyens pragmatiques pour la mettre en œuvre. Et si l'armée européenne était un projet d'avenir ? Dynamiser la diplomatie européenne Pour avoir une diplomatie européenne plus réactive, pourquoi ne pas désigner un envoyé ou un représentant spécial pour une zone de crise, ou confier à une troïka ou un duo de pays membres le soin de mener les négociations. Deux outils oubliés de la diplomatie européenne de gestion de crises à ressusciter Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention. Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler. L'Union européenne dispose de représentants spéciaux en Asie centrale, au Moyen-Orient au Sahel, etc. Leur présence est-elle nécessaire aujourd'hui ? Huit représentants spéciaux de l'UE enkystés dans le paysage. Efficacité ? Refonder la gestion de crises Malgré de grands effets de manche, l'Union européenne a perdu en fait son ambition de maintien de la paix qui sur laquelle reposait sa politique de sécurité et de défense. Et cependant, il ne manque pas de raisons et de possibilités d'agir. Que pourrait-elle faire ? Les missions et opérations de sécurité et de défense communes sont aujourd'hui un peu les enfants délaissés de la politique extérieure de l'Union européenne (PESC). Elles ne suscitent que très peu d'attention des responsables européens. Certaines missions et opérations n'ont plus d'efficacité ou sont arrivées à leur terme. Il est temps d'en tirer la leçon ! Opération Sophia, EUBAM Rafah et Libya... l'UE doit apprendre à fermer des missions devenues inutiles Le concept des battlegroups est bon mais il est dépassé aujourd'hui. Cela reste un joujou d'exercice, impossible à mettre en pratique. Pour le rendre déployable trois éléments essentiels peuvent être travaillés : une autorisation politique préalable, des financements préalables, des éléments modulaires. Revoir le concept des battlegroups : une nécessité Développer l'autonomie industrielle Malgré des efforts certains, la plupart des pays européens n'ont pas le réflexe d'acheter chez leur voisin quand ils ne peuvent s'équiper en national. Et ils préfèrent acheter américain. L'achat d'un équipement militaire ne peut se résoudre à une question technique, il y a tout un accompagnement politique, logistique à prévoir que seuls les États-Unis aujourd'hui fournissent. Pourquoi les Européens n'arrivent pas à convaincre lors de l'achat d'équipements militaires ? (article publié jeudi) A suivre... (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2019/05/reflechir-a-leurope-de-la-defense-demain/