20 avril 2020 | International, Aérospatial

Spirit AeroSystems bringing back some furloughed workers

WICHITA, Kan. — A major aircraft parts supplier in Kansas is expected to bring about 2,100 furloughed workers back to work next week as Boeing prepares to resume production of its commercial airplanes.

Spirit AeroSystems also is planning resume work for more than 1,700 other workers in Wichita over the next three weeks, The Wichita Eagle reported.

“As our customer, Boeing, begins to resume production, Spirit AeroSystems will work with our employees, customers and suppliers to begin a phased-in return to work for some furloughed employees," Spirit spokeswoman Keturah Austin said.

She added that “this will be a slow process as we work to continue to support our customer's operations in a manner that is safe for all involved.”

Boeing said Thursday it will restart production of its commercial airplanes next week in the Seattle area, putting about 27,000 people back to work at its facilities in the Seattle area after operations were suspended because of the COVID-19 pandemic. Boeing employees for the 737, 747, 767 and 777 airplanes will return as early as Monday with most returning to work by Tuesday,

Boeing is Spirit AeroSystem's biggest customer, and the impact has rippled to its suppliers.

About 2,100 workers, hourly and salaried, are scheduled to return to various production lines at the Spirit plant in Wichita on Monday, according to a union officials and numbers obtained by the newspaper. They'll be joined by another 200 workers on April 27; an additional 1,100 on April 29; and nearly 400 on May 4.

Cornell Beard, president of Machinists District Lodge 70, said the returning union workers are still a fraction of the plant's full workforce, “but anything's better than nothing.”

The coronavirus has exacerbated Boeing's crisis surrounding the 737 Max, which remains grounded after two deadly crashes. Boeing said Thursday its 737 program “”will resume working toward restarting production"" of the 737 MAX.

Spirit produces about 70 percent of the 737 Max, including the fuselage. Contracts with Boeing for the Max represents more than half of Spirit's annual income.

Future callbacks at Spirit will be largely dependent on Boeing's performance in getting the 737 Max back in the air, Beard said.

“If another mistake is found, or another defect, or if we just encounter another problem, those projections will change again (and) we're going to be right back in this pickle,” Beard said.

https://www.defensenews.com/industry/2020/04/17/spirit-aerosystems-bringing-back-some-furloughed-workers

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    (B2) L'Europe doit-elle s'occuper de défense et de diplomatie ? Comment peut-elle le faire ? Observateur patenté des institutions européennes, B2 vous propose quelques pistes de réflexion... On ne peut pas se réjouir simplement que la coopération structurée permanente ait été mise en place ou qu'un Fonds européen de défense soit en train de naitre. L'Europe ne fait ainsi que rattraper un retard à l'allumage. Tous ces projets ont été conçus il y a dix ou vingt ans. Ce qui à l'échelle de l'évolution du monde est quasiment un siècle. Les mettre en place maintenant est indispensable. Mais la donne stratégique évolue. Il importe de continuer à avancer vite, pour rattraper le retard et combler toutes les lacunes. Se reposer sur les 'lauriers' serait une erreur tragique. La doctrine européenne : sans illusion, La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC), alias l'Europe de la défense. Elle n'est pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Ce qu'est l'Europe de la défense. Ce qu'elle n'est pas Mini QG militaire, Fonds européen de la défense, coopération structurée permanente... Ce n'est pas le grand soir annoncé par certains. Mais c'est une étape intéressante permettant à différents projets mis sur la table depuis un ou deux ans de progresser. Union européenne de défense : ce qui avance, ce qui bloque B'tir des structures institutionnelles Les dernières options travaillées au sein de la Commission européenne semblent favoriser une nouvelle direction générale au mandat élargi regroupant la Défense et la Sécurité, selon nos informations. Une DG défense et sécurité d'ici la fin de l'année ?* L'idée d'avoir une commission de plein exercice consacrée aux questions de défense dans le futur Parlement européen est sur la table. Sera-t-elle acceptée ? En route vers une commission Défense au Parlement européen ?* A force de parler d'armée européenne, il faudrait examiner ce que cela imposerait. Ne tentons pas de dire que cette idée est bonne ou mauvaise. Essayons de voir ce que cela supposerait. Imaginons un moment un consensus politique pour créer cette armée. Imaginons des moyens pragmatiques pour la mettre en œuvre. Et si l'armée européenne était un projet d'avenir ? Dynamiser la diplomatie européenne Pour avoir une diplomatie européenne plus réactive, pourquoi ne pas désigner un envoyé ou un représentant spécial pour une zone de crise, ou confier à une troïka ou un duo de pays membres le soin de mener les négociations. Deux outils oubliés de la diplomatie européenne de gestion de crises à ressusciter Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention. Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler. L'Union européenne dispose de représentants spéciaux en Asie centrale, au Moyen-Orient au Sahel, etc. Leur présence est-elle nécessaire aujourd'hui ? Huit représentants spéciaux de l'UE enkystés dans le paysage. Efficacité ? Refonder la gestion de crises Malgré de grands effets de manche, l'Union européenne a perdu en fait son ambition de maintien de la paix qui sur laquelle reposait sa politique de sécurité et de défense. Et cependant, il ne manque pas de raisons et de possibilités d'agir. Que pourrait-elle faire ? Les missions et opérations de sécurité et de défense communes sont aujourd'hui un peu les enfants délaissés de la politique extérieure de l'Union européenne (PESC). Elles ne suscitent que très peu d'attention des responsables européens. Certaines missions et opérations n'ont plus d'efficacité ou sont arrivées à leur terme. Il est temps d'en tirer la leçon ! Opération Sophia, EUBAM Rafah et Libya... l'UE doit apprendre à fermer des missions devenues inutiles Le concept des battlegroups est bon mais il est dépassé aujourd'hui. Cela reste un joujou d'exercice, impossible à mettre en pratique. Pour le rendre déployable trois éléments essentiels peuvent être travaillés : une autorisation politique préalable, des financements préalables, des éléments modulaires. Revoir le concept des battlegroups : une nécessité Développer l'autonomie industrielle Malgré des efforts certains, la plupart des pays européens n'ont pas le réflexe d'acheter chez leur voisin quand ils ne peuvent s'équiper en national. Et ils préfèrent acheter américain. L'achat d'un équipement militaire ne peut se résoudre à une question technique, il y a tout un accompagnement politique, logistique à prévoir que seuls les États-Unis aujourd'hui fournissent. Pourquoi les Européens n'arrivent pas à convaincre lors de l'achat d'équipements militaires ? (article publié jeudi) A suivre... (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2019/05/reflechir-a-leurope-de-la-defense-demain/

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