24 février 2024 | International, Aérospatial

Space Force’s fixed-price push includes some exceptions, Calvelli says

While the Space Force's acquisition executive stands by his drive for fixed-price contracts, he acknowledged some programs require a more nuanced approach.

https://www.defensenews.com/battlefield-tech/space/2024/02/23/space-forces-fixed-price-push-includes-some-exceptions-calvelli-says/

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    France's defence spending is projected to rise from $60.4bn in 2024 to $67.8bn by 2029, according to a recent report by GlobalData.

  • ATHENA Successfully Defends Drone Threat

    7 novembre 2019 | International, Aérospatial

    ATHENA Successfully Defends Drone Threat

    FORT SILL, Okla., Nov. 7, 2019 /PRNewswire/ -- Lockheed Martin (NYSE: LMT) recently demonstrated their laser weapon system for the U.S. Air Force at a government test range at Fort Sill, Oklahoma, where the system successfully engaged and shot down multiple fixed wing and rotary drones. The Advanced Test High Energy Asset (ATHENA) operated in a fully-netted engagement environment with a government command and control (C2) system and radar sensor. The radar track was provided to airmen who operated ATHENA via cues from the C2, then ATHENA's beam director slewed, acquired, tracked and defeated the drone with a high-energy laser. Validating this type of full kill-chain performance has been a priority of the U.S. Air Force and other branches of the Department of Defense, and it remains a requirement for laser weapons to be effective against unmanned aerial systems (UAS) on the battlefield. "We've watched in recent news this type of laser weapon solution is essential for deterring unmanned vehicle type threats, so it's an exciting time for us to watch airmen compete Lockheed Martin's critical technology. ATHENA has evolved to ensure integration and agility are key and it remains an affordable capability for the warfighter," said Sarah Reeves, vice president of Missile Defense Programs for Lockheed Martin. The ATHENA system was developed by Lockheed Martin to integrate seamlessly and provide a cost-effective, complementary anti-drone capability with the network of systems the warfighter is already using. ATHENA was operated by USAF personnel during this demonstration, and it was able to destroy multiple drones in engagements representative of what is being encountered by U.S. armed forces today. The ATHENA high-energy laser system is transportable and therefore enables the Air Force to emplace it anywhere they need to defend bases and high-value assets. For additional information, visit our website: www.lockheedmartin.com/DE About Lockheed Martin Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 105,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. SOURCE Lockheed Martin https://news.lockheedmartin.com/2019-11-07-ATHENA-Successfully-Defends-Drone-Threat

  • Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    24 mars 2020 | International, Naval

    Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724

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