7 juillet 2023 | Local, Autre défense

Solutions innovatrices Canada lance un nouveau volet mise à l'essai d’application quantique

Solutions innovatrices Canada, une initiative conçue pour stimuler la recherche technologique, le développement et la commercialisation d'innovations canadiennes, a récemment lancé un nouveau volet mise à l’essai d’application quantique.
Des prototypes innovants pré-commerciales dans la détection quantique, la communication, et l’informatique seront à l’essai dans des conditions réelles et vont aborder différentes priorités au sein du gouvernement du Canada.

 

Pour plus d’informations, visitez le Site web de Solutions innovatrices Canada.

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    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN Canada's future fighter jet competition has already lost two European competitors. Will it lose a third, the Gripen built by Saab of Sweden? At the end of August, the United Kingdom's Ministry of Defence and Airbus Defence and Space informed the Canadian government of their decision to withdraw from Canada's future fighter competition. Airbus had been offering Canada the Eurofighter Typhoon. Last year the European firm Dassault informed the Canadian government it would not be competing in the competition. It had been planning to offer Canada the Rafale fighter jet. Airbus and the UK Defence Ministry noted that their decision to withdraw was the result of a detailed review of Canada's request for proposals which was released to industry on July 23. Airbus pointed to the changes Canada made to the industrial benefits package to appease Lockheed Martin as well as the excessive costs that U.S.-Canadian security requirements placed on a company based outside North America. “A detailed review has led the parties to conclude that NORAD security requirements continue to place too significant of a cost on platforms whose manufacture and repair chains sit outside the United States-Canada 2-EYES community,” the statement from Airbus and the UK Defence Ministry noted. “Second, both parties concluded that the significant recent revision of industrial technological benefits obligations does not sufficiently value the binding commitments the Typhoon Canada package was willing to make, and which were one of its major points of focus.” The $19 billion competition has been dogged by allegations it is designed to favour Lockheed Martin's F-35 stealth fighter. Take for instance, the response that Defence Minister Harjit Sajjan provided when the Liberal government in November 2016 announced the purchase of 18 interim Boeing Super Hornets. That deal was eventually scuttled after Boeing decided to go after Bombardier in a trade dispute over civilian aircraft. But at the time when the purchase was announced, Sajjan was asked why Canada was buying the Super Hornet and not one of the other fighter jets on the market. “When you look at the various aircraft, we have our NORAD commitment's (which are) extremely important,” the defence minister responded. “There's certainly interoperability issues as well.” Procurement Minister Judy Foote was more blunt. “From our perspective, we're working with the American government, so we have to look at an American plane.” So how is that different from the aircraft to be selected for the future fighter jet competition? Sajjan and Foote were stating in November 2016 that Canada needed to buy American because of its NORAD commitments and other interoperability concerns with the U.S. Nothing appears to have changed in the last three years, at least as far as the federal government and Canadian Forces are concerned. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/european-built-fighter-aircraft-did-they-ever-stand-a-chance-in-canadas-competition

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    Royal Canadian Navy’s frigate has sustained damage to its propellor and has structural cracks and corrosion, limiting the operation of the ship.

  • Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    24 octobre 2018 | Local, Terrestre

    Une innovation québécoise à l'assaut de l'armée américaine

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

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