21 novembre 2022 | International, Aérospatial
Serbia may become biggest operator of military drones in Balkans
The first prototype of a weaponized version of the Vrabac drone was displayed in Belgrade this year.
11 septembre 2018 | International, Aérospatial
Secretary Wilson to lay out ‘Air Force We Need’ at AFA
By: Stephen Losey
The Air Force has a problem.
The military is trying to shift its focus from wars against so-called “violent extremists” in places like Afghanistan, Iraq and Syria so it can prepare for a potential war against a major peer or near-peer nation.
But the Air Force is currently too small even for the missions it's being asked to do today in the Middle East, let alone a war against China, Russia or North Korea, said Air Force Secretary Heather Wilson in an Aug. 28 interview at the Pentagon. The service is going to have to grow, she said. But the big question is where — and by how much?
Wilson will attempt to answer that question Sept. 17, when she delivers her keynote address, “The Air Force We Need,” at the Air Force Association's Air Space and Cyber Conference. The secretary will lay out how many operational squadrons — such as fighter, bomber, mobility and intelligence, surveillance and reconnaissance — are needed, as well as the matching end strength, for the Air Force to project power and carry out its expected missions in the future.
“The chief and I were asked in this last testimony on the Hill for the Defense Authorization Act, ‘Well, what do you need to implement the new National Defense Strategy?” Wilson said. “We should know the answer to that question. That's the work that's been going on the last six months or so.”
The Air Force now has 312 operational squadrons, not including squadrons doing support activities such as finance, Wilson said. Squadrons are the basic unit of the Air Force, she said, which is why this new plan will focus on the squadron level.
The Air Force intentionally didn't consider budgets as it drew up this plan over the past six months, Wilson said. Instead, it focused on what would be required to fight a major war. With that information in hand, she said, the Air Force can better articulate where it's headed — and what the potential risks might be of not funding or underfunding certain elements.
Full article: https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2018/09/10/wilson-to-lay-out-air-force-we-need-at-afa
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27 septembre 2021 | International, Aérospatial
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A single example of the type, which is officially designated the Shenyang J-16D, has been parked at the static display area of the airshow in Guangdong Province ahead of the upcoming Zhuhai airshow.
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22 mai 2019 | International, Aérospatial
Une guerre commerciale affecterait tous les avionneurs, dit Airbus
LONDRES, 16 mai (Reuters) - Une nouvelle escalade des tensions commerciales affecterait les entreprises du secteur aéronautique dans leur ensemble, y compris Airbus, concurrent de Boeing, a prévenu jeudi le président exécutif de l'avionneur européen. Dans le cadre du litige de près de 15 ans auprès de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui oppose les Etats-Unis et l'Europe sur les subventions à l'industrie aéronautique, les deux parties menacent d'imposer à chacun des milliards de dollars de droits de douane. “Les tensions commerciales que nous constatons, nous pensons qu'elles sont des tensions perdantes-perdantes”, a déclaré Guillaume Faury à la presse lors d'une visite à Londres. Boeing a exhorté mercredi le gouvernement américain de limiter les représailles exercées sur les avions européens afin de pas nuire aux équipementiers américains. Mais Guillaume Faury juge impossible pour les entreprises concernées de contenir les retombées liées à la détérioration du climat commercial international, qui a également conduit à une guerre douanière entre les Etats-Unis et la Chine. “Ces tensions, et la situation commerciale, ne sont d'aucune aide pour aucun des acteurs de l'aérospatiale”, a-t-il déclaré. “Nous ne pensons pas que nous en perdrons plus que les autres dans cette situation, mais nous pensons que cela devrait être résolu d'une manière ou d'une autre afin que les entreprises mondialisées comme dans le secteur de l'aviation puissent continuer à se développer”, a-t-il ajouté. Guillaume Faury a par ailleurs de nouveau mis en garde sur l'impact de la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, tout en étant moins alarmiste que son prédécesseur, Tom Enders, qui avait menacé de retirer le groupe du Royaume-Uni. Airbus, qui produit des ailes d'avion en Grande-Bretagne et emploie 14.000 personnes dans tout le pays, profite du retard pris dans le Brexit pour “se préparer à tous les scénarios”, a déclaré Guillaume Faury, ajoutant qu'un Brexit sans accord est toujours possible, même si cela est moins probable. “Les choses n'ont fondamentalement pas changé, et par conséquent elles s'aggravent. Ce manque persistant de clarté est (...) une distraction”, a-t-il déclaré. “Le Royaume-Uni fait vraiment partie de notre écosystème. Nos usines et nos sites au Royaume-Uni sont très compétitifs. Nous aimerions que cela continue, quoi qu'il arrive.” MISES EN GARDE Guillaume Faury a également mis en garde contre des poursuites judiciaires contre l'Allemagne, Berlin ayant décidé en mars de prolonger de six mois l'arrêt des ventes d'armes à l'Arabie saoudite à la suite du meurtre du journaliste et opposant saoudien Jamal Khashoggi. Cette décision remet en cause des milliards d'euros de contrats militaires, dont une commande de 10 milliards de livres (13,27 milliards de dollars) pour la vente de 48 Eurofighter Typhoon à Ryad, via un consortium dirigé par BAE Systems et comprenant l'Allemagne, Airbus et le motoriste MTU Aero Engines . “Il est très important de clarifier les règles et de comprendre comment les partenaires comprennent qu'ils peuvent faire confiance à l'Allemagne en tant que partenaire”, a déclaré Guillaume Faury. Ce commentaire survient alors que la France et l'Allemagne planchent sur un nouvel avion de combat dans lequel Airbus est le partenaire industriel du côté allemand. (Claude Chendjou pour le service français, édité par Benoît Van Overstraeten) https://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N22S4HE