19 décembre 2018 | International, Terrestre

Russia wants back in on India’s gun and missile system competition

By:

NEW DELHI — Russia has lodged a protest over India's decision to disquality its two munitions systems from the $1.6 billion Army program, spurring newfound tensions between the two allies.

During a meeting of the India-Russia Inter-Governmental Commission on Military Technical Cooperation in New Delhi Thursday, visiting Russia Defence Minister Gen. Sergei Shoigu made clear his displeasure about the upgraded Tunguska system and a system from Pantsir being kicked out of the pending program, a source from the India Ministry of Defence confirmed.

In October, the Indian Army officially declared Hanwha Defense Systems of South Korea as the only qualified company for the gun and missile system program. In the 2013 global tender, Indian Army shortlisted three companies — Hanwha Defense Systems, which offered its Hybrid Biho system, and Russian companies Almaz Ante, which offered its upgraded Tunguska system, and KBP Tula, which offer its Pantsir system. During the IRIGC-MTC, Gen. Shoigu accused the Indian Army trial teams of purposely not completing the full trials last year. A Russian diplomat said on condition of anonymity that the two defense companies and the Russian defense ministry issued separate letters to MoD last month to reevaluate the entire selection process before making a final call.

However, a senior Indian Army official said both the upgraded Tunguska system fielded by Almaz Ante and Pantsir by KBP Tula systems were not fully compliant during the trials. The program calls for procurement of five regiments, or 104 systems, of gun missiles systems, including 4,928 missiles and 172,260 rounds of ammunition costing $1.6 billion. The winner will have to provide full maintenance technology transfer for missiles to state-owned Ordnance Factory Board. The proposed gun and missile system should have a day and night camera functionality and a built-in simulator, and the gun should engage a target at 350 rounds per second, while the missile should have a range of five kilometers. The system should be able to operate up to 50 kilometers on a single fuel tank, and should have a minimum operation endurance of eight hours without refueling.

The Indian Army is looking for a mix of both gun and missiles mounted on one or separate high mobility vehicles. In addition, the gun as well as the missile should be able to engage aerial targets both with and without the fire control radar, either independently or simultaneously.

https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2018/12/18/russia-wants-back-in-on-indias-gun-and-missile-system-competition/

Sur le même sujet

  • Elbit announces $114 million sale of patrol aircraft in Asia

    11 juillet 2023 | International, Aérospatial

    Elbit announces $114 million sale of patrol aircraft in Asia

    The unnamed customer could be Philippines, which has long searched for such planes on the global market.

  • Amentum Awarded $326.9 Million C5ISR Research Contract Driving Advanced and Emerging Technologies for the U.S. Army

    17 octobre 2023 | International, Terrestre

    Amentum Awarded $326.9 Million C5ISR Research Contract Driving Advanced and Emerging Technologies for the U.S. Army

    Amentum will engineer, integrate and test advanced prototype technologies and systems

  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    5 mars 2019 | International, Aérospatial, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

Toutes les nouvelles