25 décembre 2024 | International, Terrestre, C4ISR, Sécurité

Ruijie Networks' Cloud Platform Flaws Could Expose 50,000 Devices to Remote Attacks

Ruijie cloud flaws risk 50,000 devices; Open Sesame bypasses MQTT. Patches issued post-disclosure.

https://thehackernews.com/2024/12/ruijie-networks-cloud-platform-flaws.html

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  • Reaper Replacement Reveals Bold New GA-ASI Vision

    15 septembre 2020 | International, Aérospatial, Naval

    Reaper Replacement Reveals Bold New GA-ASI Vision

    Steve Trimble In December 2018, General Atomics Aeronautical Systems executives still felt the bitter sting of a losing bid two months earlier for the U.S. Navy MQ-25 contract, but a clearly disappointed company president vowed to return for the next competition against the aerospace industry's largest companies. “If the [request for proposals] comes out for a major program of record, we're all-in,” said David Alexander in that December 2018 interview in his offices in Poway, California. “We'll maybe have a few more lessons learned on what to do and what not to do,” he added. "But we'll go in with both feet planted again and go after it.” Eighteen months later, General Atomics Aeronautical Systems (GA-ASI) is doubling-down on Alexander's commitment, releasing exclusively to Aviation Week a concept rendering of a next-generation unmanned aircraft system (UAS) that reflects the characteristics the company's designers view as essential for the class of aircraft that could replace the MQ-9 by the early 2030s. Ultra-long-endurance UAS proposed GA-ASI hints at propulsion advances GA-ASI was among at least five industry teams that responded to the U.S. Air Force's request for information (RFI) for a next-generation intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) and strike UAS to enter service in fiscal 2030. Northrop Grumman and Lockheed Martin shared concepts for next-generation UAS designs on Sept. 11. Boeing and Kratos also responded to the Air Force RFI by the July 15 deadline but declined to release concepts at this nascent stage of the bidding process. Arguably, GA-ASI invented the role of the ISR/Strike UAS with the MQ-9, and the company's concept for the Reaper is no less provocative, featuring a jet-powered aircraft with distinctive, tear-shaped inlets and a long, high-aspect-ratio wingspan that appear optimized for ultra-long-range flight at high altitudes. “We're embracing ultra-long endurance to keep our next-generation ISR/Strike UAS in the fight for longer periods than many ever imagined possible,” Alexander said in a statement to Aviation Week. Although GA-ASI released no specifications with the rendering, it is clear Alexander means the next-generation concept should have even longer range that the 27-hr. endurance currently offered by the Air Force's MQ-9. The Air Force Research Laboratory defined ultra-long-endurance in 2019, when a popular light sport aircraft, the Pipistrel Sinus, was modified to fly autonomously for 2.5 days over the Dugway Proving Ground, Utah. The modified aircraft was called the Ultra-Long-Endurance Aircraft Platform. How the new GA-ASI concept achieves ultra-long endurance is likely to include intriguing surprises beyond the disproportionately long, thin-chord and highly swept wings. The tear-shape inlets appear to feed airflow through parallel ducts down the middle of the fuselage into a mysterious propulsion system. Alexander's statement hints that the aircraft's engine is a critical element of the ultra-long-endurance capability. “Our advancements in propulsion technology will give commanders a longer reach than ever before,” Alexander said. In the late-1990s, GA-ASI designed the MQ-9 to perform the hunter-killer UAS mission's three “F's”—find, fix and finish—by itself if necessary, with a targeting sensor embedded beneath the nose and AGM-114 Hellfire missiles along with GBU-12 laser-guided or GBU-38 GPS-guided gravity bombs under the wing. GA-ASI's next-generation UAS concept appears capable of performing the role in a similar stand-alone fashion. A faintly visible bulge under the leading edge suggests capacity for a large payload bay, allowing the future concept to carry sensors and weapons internally, unlike the MQ-9. But the Air Force's concept of operations is changing. Whether manned or unmanned, any aircraft in the future combat fleet must be capable of finding and striking targets on their own, but they are expected to be able to operate as part of a network. Data from onboard sensors must be shared to the network, and data coming from other sensors elsewhere on the network must be receivable. GA-ASI's concept is adapted to that approach, Alexander said. “We envision [the] next-gen ISR/Strike [aircraft] as a conduit, supplier and consumer of information,” hesaid. “We believe it is imperative that future unmanned systems are able to communicate, share information and collaborate—together and intuitively with their human counterparts—across systems and domains in record time.” The next-generation UAS also addresses the workforce needed to operate the MQ-9, including separate teams of pilots and sensor operators during cruise flight and takeoff and landing. GA-ASI notes that the company has already qualified technologies to enable the existing fleet to taxi, take off and land automatically as well as a ground control system that allows a single pilot to control six UAS. “Our team has been developing and delivering automation solutions for years,” Alexander said. https://aviationweek.com/shows-events/afa-air-space-cyber-conference/reaper-replacement-reveals-bold-new-ga-asi-vision

  • Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Le Brexit déjà en marche dans la politique européenne de défense

    (B2 – exclusif) Peu importe les émois à Westminster et les tourments de Downing Street, ou la conduite sans ceinture du Prince Philippe, dans le domaine des opérations de stabilisation menées par l'Union européenne (au titre de la PSDC), le départ des Britanniques est désormais bien engagé et devrait se terminer bientôt Un mouvement engagé Le transfert du QG de l'opération anti-piraterie Première concernée, la plus emblématique, l'opération anti-piraterie de l'UE (alias EUNAVFOR Atalanta) va déménager de Northwood (près de Londres) à la Rota et à Brest, le commandant britannique cédant sa place au commandant espagnol avec un second français. Le QG de La Rota est en pleine préparation, le QG secondaire de Brest — qui accueille la liaison avec la marine marchande — également. Les officiers ont commencé à rejoindre leur poste. Le « tuilage » est en cours, selon nos informations (lire : La revanche de Trafalgar). Le changement de commandement en Bosnie-Herzégovine Deuxième concernée, l'opération EUFOR Althea en Bosnie-Herzégovine. Plus discrète, après avoir été l'opération phare (de l'OTAN sous le nom IFOR) et de l'Union européenne, elle ne rassemble plus aujourd'hui que 600 hommes maximum. Elle n'en est pas moins importante, car un « poste d'observation » important de ce qui se passe dans les Balkans, notamment en matière de retour des combattants étrangers. Un Français va prendre la tête de l'opération, à partir du QG de l'OTAN à Mons (le SHAPE). Un petit noyau de Français est aussi prévu à Sarajevo au sein de l'état-major de la force (lire : Le retour de la France dans l'opération de l'UE en Bosnie-Herzégovine). L'abandon d'un poste de numéro 2 en Somalie Enfin, au sein de la mission civile EUCAP Somalia chargée d'assurer le conseil et la formation des Somaliens pour la sécurité maritime, le poste de numéro 2 assuré par un Britannique est en voie de changer de main, selon nos informations. Les Britanniques ne pouvant assurer de poste de commandement des opérations européennes. Le retrait du planning des battlegroups De même, en matière de force de réaction rapide de l'UE, les Britanniques se sont retirés du tour d'astreinte des battlegroups (lire : La prise d'astreinte française au battlegroup 2019 se prépare). Du personnel détaché au titre d'un pays tiers Des Britanniques resteront dans quelques unes de ces missions et opérations qu'ils estiment ‘stratégiques', en particulier celles déployées en Somalie et dans l'Océan indien. Mais en tant que pays tiers, dès que le Brexit sera consommé. Un officier britannique de la marine marchande devrait ainsi être positionné à Brest, chargé d'assurer le lien (précieux) avec toutes les structures britanniques de la marine marchande. Et dans la mission EUCAP Somalia, Londres entend détacher un de ses officiers pour occuper le poste de chef des opérations. Une transition en douceur Dans toutes ces opérations et missions, le départ des Britanniques est désormais non seulement acté, mais leur remplacement est assuré, sans difficulté. Il est difficile désormais, voire quasi impossible, de faire machine arrière. Les Britanniques ont perdu leur tour. Difficile de faire machine arrière Si le Brexit devait être repoussé, il ne changera pas les changements opérés dans les commandements : la relève est déjà en place. Les Britanniques qui occupaient ces positions ont déjà (ou vont) retrouver d'autres fonctions dans l'armée britannique, l'OTAN ou d'autres opérations multinationales. Et dans les générations de force actuelles, ce serait un pari insensé pour les planificateurs britanniques de miser sur une possible annulation ou prolongation longue du Brexit pour faire de nouvelles offres de participation importante. Quelques leçons du départ A cette transition en douceur, si en douceur qu'elle passe inaperçue, on peut tirer d'ores-et-déjà quelques leçons. Premièrement, contrairement à ce qu'avaient affirmé certains dignitaires britanniques, assis confortablement dans leurs sièges en cuir dans des ministères londoniens, et quelques observateurs, peu au fait du fonctionnement réel de l'Union européenne, l'apport britannique dans les missions et opérations de l'Europe de la défense reste modeste. Il peut être facilement compensé, avec juste un peu de bonne volonté de quelques pays membres. Deuxièmement, le départ britannique consacre en fait le retour français dans des opérations et missions qu'ils avaient, ces dernières années, un peu délaissées. Au final, il reste tout de même un pincement au cœur. Les officiers de sa Royale Majesté, croisés durant ces années, m'ont toujours fait bonne impression, avec ce mélange de courtoisie, de rudesse, d'ironie et d'enthousiasme qui fait le charme et l'efficacité de l'armée outre-Manche. Dommage... (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/01/28/le-brexit-deja-en-marche-pour-la-defense/

  • France-Parly satisfaite des nouvelles fonctionnalités de l'A400M

    7 septembre 2018 | International, Aérospatial

    France-Parly satisfaite des nouvelles fonctionnalités de l'A400M

    PARIS, 6 septembre (Reuters) - La ministre française de la Défense Florence Parly s'est déclarée jeudi satisfaite des nouvelles fonctionnalités en cours de test sur l'avion de transport militaire A400M d'Airbus. “Nous sommes dans une phase extrêmement positive”, a-t-elle observé lors d'une rencontre avec l'Association des journalistes professionnels de l'aéronautique et de l'espace (AJPAE), disant attendre l'intégralité des fonctionnalités en 2021. Les retards successifs du programme A400M ont conduit les pays clients, comme la France, à réceptionner des appareils n'ayant pas toutes les fonctionnalités contractuelles, comme le largage de parachutistes par les portes latérales, des équipements électroniques de défense et le ravitaillement en vol d'hélicoptères. En mars, Reuters avait révélé que l'armée allemande avait dit dans un rapport confidentiel voir un “risque important” que l'A400M n'ait pas toutes les capacités tactiques requises après 2021, au moment du retrait de sa flotte de C-160 Transall. “Chaque étape que nous passons est une étape qui se franchit avec succès et donc ceci aide chacun à être un peu patient”, a ajouté Florence Parly. L'armée française avait annoncé au printemps la réception de son 14e A400M, avec un objectif de 25 unités en 2025 et une cible de 50 à terme. Le président exécutif d'Airbus Tom Enders a fait état fin juillet d'avancées dans les négociations avec les pays clients de l'A400M pour parvenir à un amendement du contrat d'ici la fin 2018. https://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL5N1VS3VA

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