26 janvier 2022 | International, Terrestre

Oshkosh unveils hybrid electric Joint Light Tactical Vehicle

Oshkosh has developed a hybrid electric Joint Light Tactical Vehicle as militaries worldwide warm up to the concept.

https://www.defensenews.com/land/2022/01/25/oshkosh-unveils-hybrid-electric-joint-light-tactical-vehicle/

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    24 septembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Hyten to issue new joint requirements on handling data

    Aaron Mehta WASHINGTON — While the phrase “tsunami of data” seems to have exited everyday use by Defense Department officials, the problem remains the same: The Pentagon simply cannot exploit the sheer amount of information that comes in every day to its fullest. It's a challenge that will only get worse as more sources of information come online, with each branch having its own data sets, which often don't talk to each other. At the same time, the lack of ability to properly sort, catalog and exploit the data means the department cannot fully achieve its goals of using artificial intelligence to its fullest. After almost a decade of talking about the problem, military leaders appear to have a target date for when the department will get its arms around the problem, according to Gen. John Hyten, the vice chairman of the Joint Chiefs of Staff. By 2030, the Pentagon expects handling data will no longer be an overwhelming challenge, Hyten said Monday during an event organized by the Defense Innovation Unit. But, he added, the department is looking at any way to move that date closer, including by reworking how requirements are developed in the Joint Requirements Oversight Council, or JROC, a group chaired by Hyten, which serves as an oversight body on the development of new capabilities and acquisition efforts. Currently, “a service develops the capability, it comes up through the various coordination boards in the JROC, eventually getting to the JROC where we validate a service concept and make sure it meets the joint interoperability requirement,” Hyten explained. “But what was intended is the JROC would develop joint requirements and push those out to the services and tell the services ‘you have to meet those joint requirements.'” To get back to that top-down model, Hyten plans to push out a list of joint requirements for two major department priorities in all domain command and control and logistics for joint fires, which will have specific requirements for data and software. “They're not going to be the traditional requirements that you've looked at for years, capability description documents and capability production documents. They're going to capabilities and attributes that programs have to have,” he said. “And if you don't meet these, you don't meet the joint requirements and therefore you don't get through the gate, you don't get money. That's how we're going to hold it.” Hyten added that the goal is to have those data requirements out to the services around the end of the year, shortly after the expected publication of the new joint warfighting concept. That concept — which Hyten has previously described as essentially eliminating lines between units and services on the battlefield — inherently relies on the ability to combine data to be successful, he noted. https://www.defensenews.com/pentagon/2020/09/23/hyten-to-issue-new-joint-requirements-on-handling-data/

  • Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    22 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Pourquoi les Européens n’arrivent pas à convaincre lors de l’achat d’équipements militaires

    Nicolas Gros-Verheyde (B2) Mois après mois, les résultats tombent. Quand ils ont le choix, certains Européens préfèrent acheter américain plutôt qu'européen. Pourquoi ? Un achat de défense n'est pas uniquement un achat En matière de défense, un pays n'achète pas seulement un matériel, il répond à une histoire — tradition maritime, terrestre, etc. —, une géopolitique intérieure — neutralité, non aligné, aligné, autonome —, une affirmation de soi — volonté de prouver au peuple, à ses voisins sa puissance —, un contexte géopolitique — proximité ou non d'adversaires ressentis ou réelle —. La volonté d'avoir une autonomie d'équipements, ou non, découle de tous ces facteurs. La meilleure défense face à un adversaire ... Face à la Russie, nombre de pays européens estiment que la meilleure défense reste les États-Unis. Il ne s'agit donc pas de desserrer les liens qui existent avec les USA, mais de les resserrer. Et le meilleur moyen reste alors les achats d'équipement, qui solidifient de façon claire ce lien euro-atlantique. La duplicité de l'appel à dépenser plus C'est toute la duplicité de l'appel à dépenser davantage pour la défense. Appel largement soutenu par les Américains. Au-delà de l'objectif, justifié, de partage du fardeau entre Européens et Américains, la pression a un objectif purement économique : favoriser l'industrie américaine qui est la seule à répondre à la fois aux objectifs industriel (les matériels), opérationnel (l'interopérabilité), économique (le moins disant) et politique. La panoplie complète des Américains La fourniture des équipements militaires s'accompagne de la logistique, des armements et de la formation. Un ‘package' ordinaire pour ce type d'armements. Mais les Américains ont une panoplie beaucoup plus complète, qui va de l'outil de financement à crédit au soutien logistique dans les opérations extérieures, en passant par la présence de troupes ou de matériels dans les pays concernés, destinés à les rassurer face à des voisins inquiétants, un forcing permanent de leurs politiques, sans oublier l'accueil de jeunes ou moins jeunes officiers ou sous-officiers stagiaires dans leurs écoles. Un effort notable américain de formation Rien que pour la Roumanie, par exemple, pays qui préside actuellement aux destinées de l'Union européenne, ce sont 700 officiers qui franchissent le seuil d'une des écoles militaires US, des écoles de guerre réputées aux simples écoles de gardes nationaux. Cela forge des réflexes, une culture commune, des camaraderies, une solidarité... et l'habitude d'utiliser certains matériels. Peu étonnant ensuite que chacun soit convaincu dans l'armée roumaine qu'il faille acheter ces équipements. Une réflexion à engager Si les Européens veulent un tant soit peu défendre leurs équipements, il va falloir réfléchir sérieusement à se doter de ces cinq outils : les échanges et l'accueil dans les écoles européennes — l'Erasmus militaire prôné dans la fin des années 2000 est un peu tombé dans l'oubli (1) —, le financement croisé, la présence dans les pays (qui ne soit pas dispersée). (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/05/17/pourquoi-les-europeens-narrivent-pas-a-convaincre-lors-de-lachat-dequipements-militaires/

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