20 mai 2020 | International, Aérospatial

Northrop receives $2.4B contract for two missile defense satellites

Nathan Strout

The U.S. Space Force has awarded Northrop Grumman a $2.375 billion contract for two Next Generation Overhead Persistent Infrared satellites that will help provide ballistic missile warning for the military.

Next Gen OPIR is to replace the Space-Based Infrared System, a crucial part of the nation's missile defense architecture. Utilizing infrared sensors, the satellites will be able to detect and track ballistic missile threats while being more survivable than the legacy system.

The Space and Missile Systems Center plans to have five satellites in the constellation: three geosynchronous satellites built by Lockheed Martin, and two polar satellites being built by Northrop Grumman.

Northrop Grumman was initially awarded a $47 million contract for system and payload requirements analysis and risk reduction for the two polar vehicles in June 2018.

The $2.4 billion contract modification issued May 18 provides for Phase One design and development, the procurement of critical flight hardware, and risk-reduction efforts leading to critical design review. At this time, $70.5 million is being released. Work is expected to be completed by December 2025.

Meanwhile, Lockheed is developing the three geosynchronous Next Gen OPIR space vehicles. That company was awarded $2.9 billion in August 2018 to begin work on the satellites, leading to critical design review. In October 2019, the Space and Missile Systems Center announced the system had passed preliminary design review.

The Air Force has accelerated the timeline for Next Gen OPIR to get the first satellite delivered in 2025. That's required more money up front than initially expected, which was provided through a series of reprogramming requests in 2019. That became a source of tension between competing versions of the annual defense budgets in the House and Senate last year, but SMC credited that reprogramming with keeping Next Gen OPIR on track.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2020/05/19/northrop-grumman-receives-24-billion-for-two-missile-defense-satellites

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En termes de coopération militaire, les Britanniques sont à bord de l'avion de chasse européen, Eurofighter, de l'avion de transport militaire A400M, de la constellation Galileo et de divers programmes de missiles, notamment via la firme européenne MBDA. Et en novembre prochain, la France et la Grande-Bretagne, les deux seules armées du continent européen dotées de l'arme nucléaire, devraient fêter les dix ans du traité bilatéral de Lancaster House et lancer, à l'occasion, un projet clé : le démonstrateur d'un nouveau missile de croisière franco-britannique . Pas de risque à court terme Chez le missilier européen MBDA, on insiste d'ailleurs sur « la force et la pérennité de la relation franco-britannique en matière de défense et de sécurité, initiée en 1998 à Saint-Malo et formalisée en 2010 par le traité de Lancaster House ». Et de rappeler que cette relation bilatérale est au coeur même du projet de l'entreprise , qui est de b'tir un champion mondial des missiles, en partageant l'effort industriel au travers de programmes en coopération européenne. De fait, du côté des industriels de la défense, le Brexit inquiète peu à court terme. Les biens de défense sont exonérés des règles générales de l'OMC sur les droits de douane. Et le commerce des armes est un sujet à part, régi par des conventions particulières. Dans l'aéronautique en outre, chacun est désormais certain que Londres restera membre de l'Agence européenne de sécurité aérienne, qui édicte les normes et veille à leur application. Interrogé par « Les Echos », le patron d'Airbus, Guillaume Faury, déclarait en septembre dernier que « les craintes relatives à la perte des certifications aéronautiques de production et de conception pour les pièces produites au Royaume-Uni, ainsi que pour la libre circulation de nos employés, ont été écartées, à force de travail en interne et avec les gouvernements. » Fonds européen de défense : in or out ? Toutefois, le Brexit intervient au moment même où l'UE engage une dynamique nouvelle en matière de défense. Pour la première fois, le budget européen pourra servir à subventionner la recherche et le développement de programmes d'armement. Or de facto, les Anglais sont déjà hors jeu. Dans l'anticipation du Brexit, ils ne participent pas à la nouvelle politique de « coopération structurée permanente », qui a donné naissance à une quarantaine de projets de coopération dans la défense entre divers pays européens. Et, faute de répondant côté anglais, Paris s'est tourné vers Berlin pour envisager le futur de deux équipements clé de défense : l'avion de combat du futur et le char de nouvelle génération. Les Britanniques ne font pas non plus partie du futur Fonds européen de défense, qui doit aider au financement de ses projets. Enfin, ils quittent les instances dirigeantes de l'Agence européenne de défense. Au sein des industriels du secteur, nombre d'opérateurs souhaitent le retour de la Grande-Bretagne dans les instances européennes. Terrain d'entente Car personne n'a intérêt à maintenir des tensions, comme celles nées de l'exclusion de Londres du réseau protégé de communication gouvernementale, de la constellation Galileo. Dans l'aéronautique, chacun espère que le futur avion de combat franco-allemand, le SCAF, et son concurrent britannique, le projet Tempest mené avec les Italiens et les Suèdois, se rejoindront un jour. « C'est dans l'intérêt des Britanniques comme dans celui des Européens, qu'un terrain d'entente soit trouvé dans les futurs traités d'association qui seront négociés cette année », commente le président de MBDA, Eric Béranger. « Le Royaume-Uni devrait pouvoir bénéficier d'un statut particulier qui permettra de poursuivre les nombreuses coopérations qu'il a en Europe, dans les missiles bien évidemment, mais aussi dans l'aviation militaire ou le spatial de défense », ajoute-t-il. Mais avec un groupe principal de défense BAE Systems, qui est déjà un important fournisseur de l'armée américaine, la tentation britannique peut être de regarder davantage outre-Atlantique qu'outre Manche. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/brexit-londres-promet-de-continuer-a-jouer-un-role-majeur-dans-la-defense-europeenne-1168197

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