15 mars 2021 | International, C4ISR

Israel Establishes Center to Develop Non-GPS Navigation Tech

The Israel Ministry of Defense (IMOD)'s Directorate of Defense Research and Development (DDR&D) and Israel Aerospace Industries (IAI) inaugurated a new center established to develop non-GPS accurate navigation technology.

The new navigation technology center has been set up at TAMAM, IAI's electro-optics and navigation house in IAI's Systems Missiles & Space Group. In the new center, IAI will develop and manufacture inertial sensors. These sensors will enable the production of next-generation navigation systems, and will significantly increase their performance and capabilities.

The innovative navigation sensor technology is founded on unique Israeli innovation based on years of research and collaboration between DDR&D and IAI. These sensors will be implemented in various operational systems within Israel's defense systems, thus enabling Israel to maintain its qualitative advantage.

https://www.defenseworld.net/news/29127#.YE_Rb51KiUk

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  • Défense  Nouvelle commande pour l'Airbus A330 MRTT  2 DÉFENSE

    29 septembre 2020 | International, Aérospatial

    Défense Nouvelle commande pour l'Airbus A330 MRTT 2 DÉFENSE

    L'Occar transforme en commande ferme une option sur un Airbus A330 MRTT dans le cadre du contrat MMF qui vise à créer une flotte de ravitailleurs pour plusieurs pays européens. Quatre Airbus A330 MRTT en un mois Après la commande passée par la France pour trois Airbus A330 transformables en MRTT dans le cadre du plan de relance du gouvernement, c'est au tour de l'Occar transformer en achat ferme une des trois options prises dans le cadre du contrat MMF (Multinational MRTT Fleet) qui porte sur huit Airbus A330 MRTT fermes. Initié en 2012 par l'Agence européenne de la Défense, ce contrat est géré par l'Occar pour le compte de la NSPA, l'agence de soutien et d'achats de l'OTAN. L'objectif est de mettre le parc à la disposition de plusieurs pays européens : les Pays-Bas, le Luxembourg, la Norvège, l'Allemagne, la Belgique et la République Tchèque. Le Luxembourg veut plus d'heures Les Etats participant au programme MMF ont un accès exclusif aux ravitailleurs qui sont gérés en pool par l'OTAN. Les coûts et le personnel sont répartis en fonction du nombre d'heures de vol requises par chaque pays. C'est la demande du Luxembourg d'augmenter son quota d'heures de vol qui a d'ailleurs déclenché cette commande qui porte désormais à neuf le nombre d'Airbus A330 MRTT commandés fermes auxquels s'ajoutent deux options. Le Luxembourg veut en effet passer de 200 à 1 200 heures de vol. Des avions multimissions Comme les deux premiers exemplaires livrés, l'appareil sera configuré pour réaliser plusieurs missions : le ravitaillement en vol mais aussi le transport de personnels et de fret ainsi que les opérations d'évacuation médicale. La pandémie de coronavirus ou covid-19 a d'ailleurs été l'occasion pour les A330 MRTT Phénix de l'Armée de l'Air de démontrer ses capacités en matière d'évacuation médicale d'urgence dans le cadre de l'Opération Résilience qui a nécessité l'installation de postes de réanimation lourde pour accompagner le transport des patients. https://air-cosmos.com/article/nouvelle-commande-pour-lairbus-a330-mrtt-23664

  • Remplacement des F-16 : quels impacts pour l’économie belge ?

    23 juillet 2018 | International, Aérospatial

    Remplacement des F-16 : quels impacts pour l’économie belge ?

    par Eurasiatimes La Belgique choisira-t-elle de remplacer ses avions de combat par les F-35 américains, sans aucune garantie de retombées économiques, ou fera-t-elle le choix de constructeurs européens qui s'engagent, au contraire, à créer des emplois et vivifier le tissu économique et industriel belge ? La Belgique doit prochainement remplacer sa flotte d'avions de combat, et son secrétaire d'Etat en charge du Commerce extérieur a sa petite idée sur la question. Pour Pieter de Crem, seuls les F-35 de l'Américain Lockheed Martin seraient à même de prendre le relai des antiques F-16 de la flotte belge, au motif que la Belgique doit « réaliser le meilleur achat en termes militaires et économiques. L'argument géographique ne compte pas. Ainsi, le fait d'être »un bon Européen » ne suffit pas », expédie le ministre. Les F-35 américains auraient « un très faible impact sur l'économie belge » L'argument des retombées économiques – un passage obligé dans ce type de négociations – du programme américain ne convainc pourtant pas. En témoigne une note interne des services de la Région de Bruxelles-Capitale, obtenue début juin par l'agence AFP. Un document selon lequel le gouvernement bruxellois suggère d'écarter la candidature du F-35 au profit de l'un de ses deux concurrents, le Typhoon d'Eurofighter, un consortium réunissant le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, et le Rafale de l'avionneur français Dassault. La note des services de Bruxelles évalue le « retour industriel possible » à « 4 milliards d'euros sur 20-30 ans », dont l'économie de la région bruxelloise profiterait à hauteur de « 5-10% ». « Le choix du partenaire sera important sur les retours économiques », poursuit le document, qui torpille les F-35 : « En effet, les experts aéronautiques avancent que l'avionneur américain, partenaire jusqu'ici semblant être privilégié par le gouvernement fédéral, n'est pas connu pour être très volontariste ni même actif en termes de retours économiques ». « Cela fait craindre un très faible impact sur l'économie belge ainsi que sur l'économie bruxelloise », conclut la note. Dans un paysage politique aussi complexe que celui de la Belgique, l'achat de nouveaux avions est décidé au niveau fédéral, mais les retombées économiques le sont au niveau régional. Mais au-delà de la sempiternelle opposition entre Flandre et Wallonie, « la première erreur du gouvernement belge est d'avoir dit qu'il voulait un avion sans obliger le marché à garantir des retombées économiques », estime le député Benoit Hellings, vice-président de la Commission de la Défense à la Chambre. De fait, seules de très hypothétiques collaborations en matière de recherche sont évoquées par l'Américain. « Il serait anormal qu'un contrat de plusieurs milliards ne débouche pas sur des emplois durables », s'inquiète le député Sébastien Pirlot, qui met aussi en garde contre l'explosion des coûts habituellement constatée avec les avions de Lockheed Martin. Alors qu'un F-35 coûte entre 80 et 100 millions de dollars, « les pays qui ont déjà eu le F-35 ont vu la facture monter jusqu'à 125 millions », ajoute le député. Typhoon, Rafale : des milliers d'emplois et des dizaines de milliards de retombées à la clé Au contraire du F-35, ses concurrents britanniques et français promettent des retombées économiques non négligeables pour la Belgique. Les Britanniques de BAE Systems promettent ainsi quelque 19 milliards d'euros de retombées et pas moins de 6 000 emplois créés localement. Le gouvernement anglais propose également d'installer deux centres de fabrication, l'un en Flandre et l'autre en Wallonie – malin –, ainsi que la construction de centres de formation, d'innovation et de cybersécurité. Quant au groupement français d'intérêt économique (Dassault Aviation, Thales et Safran), il évoque la création de 5 000 emplois « à haute valeur technologique » en Belgique, assortie de 20 milliards d'euros de retombées économiques sur une période de 20 ans. La France propose aussi à la Belgique un partenariat comprenant, outre la fourniture de 34 Rafales, « une coopération approfondie » dans les domaines militaire et industriel – et évoque la nécessité d'un geste hautement symbolique, à l'heure où l'Europe de la Défense, véritable serpent de mer, est en passe d'être relancée. Des promesses trop belles pour être vraies ? « On ne demande pas de nous croire les yeux fermés, explique Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation. On apportera les garanties de ce que nous affirmons aujourd'hui ». Autant d'arguments dont on espère qu'ils parviendront aux oreilles du gouvernement fédéral et du ministre Pieter de Crem. http://www.eurasiatimes.org/20/07/2018/remplacement-des-f-16-quels-impacts-pour-leconomie-belge/

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    17 janvier 2024 | International, Aérospatial

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