27 janvier 2021 | Local, Aérospatial

MBDA to arm Hellenic Air Force’s new Rafale fighter jets

January 25, 2021 - Lieutenant General Theodoros Lagios, General Director for Defence Investments and Armaments of the Greek Ministry of Defence and Eric Béranger, CEO of MBDA, today signed a contract to provide the armaments for 18 Rafale combat aircraft intended for Greece's air force.

A signing ceremony was held in Athens in the presence of the French Minister for Armed Forces, Florence Parly, and the Greek Minister for Defense, Nikolaos Panagiotopoulos.

The new aircraft's weapons will benefit from the strong commonality with those from the Mirage 2000s and Mirage 2000-5s currently in service in the Hellenic Air Force.

Like these, the Rafales will be armed with SCALP cruise missiles, AM39 Exocet anti-ship missiles and MICA multi-mission air-to-air missiles. Additionally, MBDA will also supply Meteor beyond visual range air-to-air missiles.

Eric Béranger, CEO of MBDA, said: “The signing of this agreement turns a new page in our relationship with Greece, which we have had for more than half a century.

The country was the very first customer of the Exocet missile in 1968, showing great confidence in it and in our predecessor companies. This confidence has been renewed over the years and is being renewed again today. It is our duty to do everything we can in order to continue delivering on this confidence into tomorrow.

View source version on MBDA: https://www.mbda-systems.com/press-releases/mbda-to-arm-hellenic-air-forces-new-rafale-fighter-jets/

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  • Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    16 novembre 2017 | Local, Aérospatial

    Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    Article de nouvelles / Le 14 novembre 2017 Aviation royale canadienne Le projet de système interarmées de surveillance et d'acquisition d'objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote (JUSTAS) de l'Aviation royale canadienne a été mis sur pied en vue de l'achat d'un système d'aéronef sans pilote (UAS) pour les Forces armées canadiennes (FAC). Le projet en est actuellement au stade de l'analyse des options. Cet automne, le nom du projet a été changé pour celui de système d'aéronef télépiloté (SATP). Ce changement correspond aux modifications apportées aux lexiques et aux systèmes de classification de nos alliés et reflète plus précisément le mode d'utilisation des systèmes. Comme le précise la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, publiée en juin 2017, les systèmes d'aéronefs télépilotés (SATP) font maintenant partie intégrante des opérations militaires modernes. Des aéronefs télépilotés (ATP), comme le CU-170 Heron de l'ARC et d'autres aéronefs sans pilote, ont été déployés au cours d'opérations militaires canadiennes et offrent plusieurs avantages, notamment la capacité de rester en vol beaucoup plus longtemps que les véhicules de surveillance stratégique actuels. L'utilisation d'aéronefs télépilotés réduit aussi les risques courus par les militaires des FAC qui font fonctionner l'appareil à distance et à partir d'un endroit moins dangereux, et permet de déterminer les menaces potentielles qui pourraient peser sur les militaires des FAC qui se trouvent dans la zone des opérations. Les aéronefs télépilotés seront munis d'une large gamme de charges utiles et de capteurs qui détecteront les sujets d'intérêt au cours d'opérations tous temps, y compris dans l'Arctique canadien, et qui pourront apporter leur concours à une large gamme de missions, de la surveillance continue aux missions de combat en passant par le soutien aux missions de recherche et de sauvetage. Les responsables du projet SATP prévoient que les aéronefs télépilotés peuvent, en fait, être employés dans le cadre des huit missions essentielles décrites dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, au pays et à l'étranger. Le projet SATP appuie directement les initiatives 91 et 92, qui indiquent que le gouvernement « investira dans divers systèmes télépilotés » et « fera de la recherche et du développement pour les capacités terrestres, maritimes et aériennes télépilotées ». Le projet SATP Bien que le nom ait changé, l'objectif du projet SATP reste d'offrir une capacité de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectifs et de reconnaissance persistante à long rayon d'action. Le projet fera partie d'un réseau de systèmes de systèmes et pourra fournir des renseignements en temps quasi réel aux commandants tactiques, opérationnels et stratégiques, en soutien aux opérations au pays et aux opérations de déploiement. Au besoin, il pourra aussi fournir une capacité de frappe de précision en soutien aux opérations. Le projet vient compléter les capacités existantes des FAC, comme l'aéronef de patrouille à long rayon d'action CP-140 Aurora. Le projet SATP ne vise pas à remplacer des véhicules. Phases du projet Le projet SATP en est actuellement au stade de l'analyse des options : L'analyse des options permet à la haute direction du ministère de prendre une décision éclairée quant à la meilleure façon de mettre en œuvre un projet afin de tenter d'atteindre la capacité indiquée d'une façon acceptable aux yeux du gouvernement. Au cours de cette phase, les options sont formulées, les coûts et les avantages sont évalués et une analyse de rentabilité est développée pour chacune des options. La phase de définition d'un projet marque la transition entre la détermination de ce qui devrait être fait pour combler une insuffisance de capacité et la détermination de la façon dont l'option privilégiée sera mise en œuvre. C'est au cours de cette phase que le projet est planifié. Les activités incluent notamment : l'exécution d'un examen détaillé des exigences du projet et d'une évaluation des risques, l'établissement des coûts et la planification de la phase de mise en œuvre et le choix de la stratégie d'approvisionnement privilégiée. Les projets qui se trouvent en phase de mise en œuvre ont reçu les approbations nécessaires pour la conclusion de contrats et l'engagement des fonds et des ressources nécessaires pour que le projet soit mené à terme. La capacité opérationnelle initiale, le moment où la capacité d'emploi de la ressource est d'abord atteinte, est prévue pour l'année financière 2025-2026, selon la directive présentée dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement. Coûts du projet Les coûts sont évalués dans le cadre de la phase d'analyse des options et se préciseront au cours de la phase de définition. Le coût estimatif dépendra de la stratégie d'approvisionnement approuvée, de l'infrastructure et du type de véhicule choisi. Les coûts comprendront les capteurs, les éléments au sol et l'infrastructure connexes. Nombre d'appareils Aucune décision n'a été prise relativement au nombre d'appareils. Le nombre de SATP sera suffisant pour répondre simultanément à trois lignes de missions et pourrait être touché par la stratégie d'approvisionnement, l'infrastructure, et les véhicules précis choisis. Retombées économiques La politique relative aux retombées industrielles et technologiques, proposition de valeur comprise, s'appliquera à la présente activité d'approvisionnement, et exige que l'entrepreneur principal du projet investisse 100 % de la valeur du contrat dans l'économie canadienne. La proposition de valeur est l'engagement économique que le soumissionnaire prend initialement envers le Canada au moment de la soumission, et est un facteur noté et pondéré lors du choix de l'adjudicataire. Elle devient un engagement contractuel pour l'adjudicataire. Les exigences de la proposition de valeur sont adaptées à chaque approvisionnement afin de permettre au gouvernement de canaliser les investissements et de profiter des occasions économiques uniques offertes par chaque projet. Utilisations des SATP Au pays, les SATP renforceront la capacité de surveillance des approches maritimes et nordiques du Canada et appuieront les opérations de recherche et de sauvetage. Les SATP permettront aux FAC d'aider d'autres ministères gouvernementaux en offrant du soutien à la sécurité lors d'événements spéciaux, comme les sommets internationaux, en apportant de l'aide aux autorités civiles, comme lors des incendies de forêt ou d'inondations, ainsi qu'en offrant du soutien aux opérations des autorités policières. À l'étranger, les SATP pourront détecter, reconnaître, identifier et poursuivre des cibles d'intérêt dans des milieux complexes et s'intégrer aux systèmes nécessaires pour traiter et fusionner les informations recueillies en renseignement donnant un droit d'action. Capacité de frappe de précision des SATP La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement indique que les SATP auront une capacité de frappe de précision – ils pourront être armés. La capacité de cibler et d'exécuter des frappes de précision assure que si une menace est détectée, elle pourra aussi être neutralisée à ce moment. Comme lors de l'utilisation de tout autre système d'armes, les aéronefs télépilotés seront utilisés par les FAC conformément aux lois nationales et internationales. Les opérations seront exécutées dans le strict respect des contrôles, procédures et règles d'engagement qui régissent l'utilisation de la force ou de toute autre arme. Tous ces systèmes seraient télépilotés par des militaires des FAC participant directement au processus de prise de décision de l'exécution d'une frappe. Cependant, les SATP ne seront armés que si cela est nécessaire pour la t'che attribuée. Milieux opérationnels Le SATP pourra être utilisé partout dans le monde, dans toutes les conditions météorologiques, à tout moment de la journée, et aura le rayon d'action et l'autonomie pour atteindre tout endroit dans l'espace aérien du Canada à partir de tout emplacement d'opérations adéquat. Le système devra aussi pouvoir fonctionner dans des milieux de faible à moyen risque, dans des contextes de collaboration avec d'autres ministères gouvernementaux et dans le cadre d'une coalition avec nos alliés. L'ARC assure la souveraineté du Canada au moyen de sa capacité de répondre rapidement à toute menace. L'investissement dans le projet SATP, comme il est indiqué dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, permet d'augmenter la capacité de l'ARC de continuer à fournir une puissance aérienne de façon agile et intégrée tout en disposant de la portée nécessaire pour répondre à toute demande formulée par le gouvernement du Canada. Tout fournisseur intéressé devrait adresser toute question liée à ce projet au Responsable de l'approvisionnement de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Article: http://www.rcaf-arc.forces.gc.ca/fr/nouvelles-modele-standard.page?doc=mise-a-jour-et-nouveau-nom-du-projet-de-systeme-interarmees-de-surveillance-et-d-acquisition-d-objectifs-au-moyen-de-vehicules-aeriens-sans-pilote/j9u7rzyf

  • UAVs remain a persistent problem around Canadian airports

    7 janvier 2019 | Local, Aérospatial, Sécurité

    UAVs remain a persistent problem around Canadian airports

    by Ken Pole Transport Canada data on unmanned aerial vehicles (UAVs) flown in or near controlled airspace in 2018 show that this remains a persistent problem, even as the federal government continues to work on updated regulations. Interim regulations in effect since last May prohibit UAVs inside controlled or restricted airspace, and require them to be flown at least 5.6 kilometres away from any area where aircraft take off or land. These regulations also require unmanned aircraft to be at least 1.9 kilometres away from heliports. UAVs must be flown only during daylight hours, always in line of sight, below 90 metres above ground level (AGL), and at least 30 to 76 metres from vehicles, vessels and the public. The only exception is for operations from a field or an event approved by the Model Aeronautics Association of Canada. Last summer, Transport Canada initiated two pilot projects involving emergency responders and several private companies which operate UAVs beyond visual line-of-sight (BVLOS) in an attempt to collect safety information to help regulators understand the challenge. “Transport Canada has indicated that they have now completed a few operational tests and will continue their trials,” wrote aviation lawyer Auriol Marasco, a partner in the Toronto law firm Blake, Cassells & Graydon, in a Jan. 3 website article. “The industry is anxiously awaiting the results as they will provide key indications as to how the BVLOS operations will be regulated.” Marasco also said Transport will be releasing updated regulations for UAV operations within visual line-of-sight (VLOS). Updated rules were expected by the end of December, but a Transport Canada spokesperson told Skies in a Jan. 4 email that the department “continues to work on getting the final regulations published . . . as soon as possible in 2019.” Meanwhile, the department's Civil Aviation Daily Occurrence Reporting System (CADORS) for last year–which could be amended as any year-end reports are incorporated–includes at least 123 reports involving UAVs not in compliance with the regulations. In some cases, the UAV was close enough for pilots to identify the make, model, and even estimate its weight. All major scheduled and charter carriers have filed reports about encounters at various altitudes, some within close proximity to runways. In June, the crew of an Air Inuit Boeing 737 on final approach 3.7 kilometres from Montreal/Pierre Elliott Trudeau Airport reported an orange UAV at some 360 metres AGL. At the same airport three months earlier, the tower advised an aircraft taking off that there was a UAV approximately 900 metres from the runway threshold at about 200 metres AGL. Quebec accounted for “only” eight CADORS reports in 2018. Given their traffic volumes, Ontario, British Columbia and Alberta topped the list with 48, 37 and 16 reports, respectively. One of the B.C. reports came from the crew of an Air Canada Airbus A321 on final approach to Vancouver International Airport. Descending downwind, they reported a UAV “whizzing by” at approximately 7,000 feet AGL. In another notable incident, the Vancouver Harbour Flight Centre (VHFC) reported a UAV some 200 feet above the floatplane docks as a Seair Seaplanes aircraft was taxiing out for departure. The only other detail provided in the CADORS was that “the UAV operator was located and counselled by a VHFC representative” and that the UAV had been landed. Reports were filed by commercial, corporate, private and military fixed-wing and helicopter pilots as well as members of the public. In most cases, the CADORS notes “no impact on operations.” However, that wasn't the case last February with a Cessna 172S registered to B.C.-based Chinook Helicopters. On a training flight from Abbotsford to Chilliwack, as it turned on right base to Chilliwack, the pilot reported that the leading edge of his left wing had been struck by an unknown object. He landed without further incident and police were advised. No UAV debris was found but blue paint was evident on the Cessna's damaged area. It was a situation that clearly could have been much worse. https://www.skiesmag.com/news/uavs-remain-a-persistent-problem-around-canadian-airports

  • Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training adds three new strategic partners to its FAcT team

    13 septembre 2021 | Local, Aérospatial

    Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training adds three new strategic partners to its FAcT team

    Marcello Sukhdeo, Vanguard Magazine September 10, 2021 The Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training team recently announced the addition of three partners – FlightSafety International (FSI), L3Harris Technologies and Top Aces – for Canada's Future Aircrew Training (FAcT) program. Canada is looking to procure a 25-year contract aircrew training program that provides aircraft, ground-based training systems, civilian instructors, and essential services, such as air traffic control, aircraft and airfield maintenance, accommodation, and food services for the Royal Canadian Air Force. According to a news release, Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training is committed to providing an innovative training solution and optimal benefits to Canada's economic and strategic goals through the FAcT program. This is further deepened by the team's far-reaching know-how and strong ties with Canada. “We are extremely proud to have FlightSafety International, L3Harris Technologies and Top Aces join the Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training Team. We believe that together we can deliver added value to Canada now and in the future and we are ready to provide the best solution for the Royal Canadian Air Force,” said Jana Lee Murray, Program Director, Babcock Leonardo Canadian Aircrew Training. New partner, FlightSafety International, is a premier professional aviation training company and supplier of flight simulators, visual systems and displays to commercial, government and military organizations. The company provides training for pilots, technicians and other aviation professionals from 167 countries and independent territories. FlightSafety operates the world's largest fleet of advanced full-flight simulators at Learning Centers and training locations in the United States, Canada, and the United Kingdom. “We're excited to join this powerhouse of a team and bring our 70 years of ground-based training in support of the Royal Canadian Air Force,” said Brad Thress, President & CEO of FlightSafety International. “More than 40 international governments put their trust in FlightSafety to train their aviators and the company has a long history of supporting aviation training in Canada through their Montreal and Toronto learning centers.” The other new team member, L3Harris, is one of Canada's largest and most diverse defence and security companies and is committed to adding value to the Canadian economy through high-tech jobs, innovation, and diversity whilst designing solutions for the future. Located in Mirabel, QC, L3Harris is Canada's leading In-Service Support and Systems Integrator. “L3Harris offers our Canadian teammates the best, most cost-effective and innovative solutions for the FAcT aircraft,” said Ugo Paniconi, General Manager, L3Harris in Mirabel. The third new strategic partner added recently, Top Aces, provides advanced adversary and joint terminal attack controller training to the world's leading Air Forces. Top Aces has the largest fleet of commercially-operated fighter aircraft in active service and is the first company in the world to acquire the supersonic F- 16. The mission-critical training offered by Top Aces enhances the operational readiness of combat forces by providing a realistic real-world experience while creating significant cost efficiencies and extending the lifecycle of military fleets. The company is changing the face of air combat training with its unparalleled safety record, outstanding team and an industry-leading 94,000+ hours of operational training flown in support of its customers worldwide. “Top Aces is a proud Canadian company and trusted training partner to our Canadian Armed Forces since 2005. We're excited to bring our 17 years of experience delivering high performance fighter aircraft training to this team,” said Jason Regenwetter, Vice President of Business Development. Canada is expected to award FAcT by 2023.

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