24 avril 2024 | International, Aérospatial

Lockheed to supply Australia with air battle management system

Overhauling Australia’s overhead defenses is expected to generate hundreds of local jobs as well as open the door to a multibillion-dollar export market.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/c2-comms/2024/04/24/lockheed-to-supply-australia-with-air-battle-management-system/

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    1 juin 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    The Missile Defense Agency’s $8.9B budget request focuses on next-gen defense

    The Missile Defense Agency's budget request set to tackle major next-generation defensive capabilities against emerging threats from intercontinental ballistic missiles to cruise missiles to hypersonic weapons.

  • Thales lance Iven, une marketplace pour fédérer les achats des acteurs défense et civil

    25 septembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Thales lance Iven, une marketplace pour fédérer les achats des acteurs défense et civil

    AUDE CHARDENON Thales a lancé début septembre une place de marché baptisée Iven. Destinée à mettre en relation vendeurs et acheteurs de l'environnement Défense et Civil, elle implique un nouveau métier pour le géant français. Les détails de Pascal Geoffroy, directeur enhanced customer operations services. Thales devient un commerçant. Le géant industriel français a lancé début septembre une plateforme B2B qui met en relation les clients et les principaux fournisseurs d'articles dédiés à l'environnement Défense et Civil quel que soit le milieu : aérospatial, terrestre ou naval. Fonctionnant selon un modèle de marketplace, Iven – pour Intermediation vendor entreprise – a nécessité deux ans de travail. Lancée le 1er septembre, Iven est un service en ligne dédié aux Industriels souhaitant optimiser leurs approvisionnements. La plateforme compte à date 150 000 références. On y trouve notamment des consommables industriels (pièces détachées), et actualité oblige, des produits liés à la situation sanitaire. DIGITALISER LA SUPPLY CHAIN DE BOUT EN BOUT Iven n'est pas née par hasard. En 2018, l'entreprise se retrouve face à un constat. "Nous avons gagné un gros contrat de supply chain, et nous nous sommes rendus compte que nous devions être plus fluides et plus rapides. Très rapidement, la marketplace nous a paru être la solution pour mettre en relation acheteurs et vendeurs pour de futurs contrats de même nature", explique en préambule Pascal Geoffroy, Directeur Enhanced Customer Operations Services chez Thales. Vient alors l'idée de transformer la supply chain de bout en bout et de "digitaliser les achats pour être compétitif", avec la mise en ligne des catalogues des marchands et par conséquent l'abandon des canaux offline (devis, contrats, téléphone/mail...), la fin de la logique transactionnelle impliquant une négociation pour chaque commande, et la digitalisation du workflow, permettant un gain de temps pour le traitement administratif. THALES, TIERS DE CONFIANCE Iven fonctionne comme une plateforme e-commerce classique. Les marchands y mettent en visibilité leurs produits et leurs offres (prix, disponibilité, conditions de vente...). L'acheteur consulte et compare les différentes offres répondant à son besoin, puis il passe sa commande. Le règlement est effectué par virement à Iven, l'encaissement se déroulant via un intermédiaire financier indépendant. Iven supervise la transaction. La commande est ensuite expédiée et livrée directement par le marchand sur le site client. L'ensemble du parcours est digitalisé, du sourcing jusqu'à la livraison. La solution s'appuie sur l'expertise de différents sous-traitants, dont Mirakl. L'enjeu pour Thales est de se positionner "en tiers de confiance" pour les grands comptes ainsi que pour des organismes d'Etat. Dans un écosystème où intervient parfois le secret-défense, Iven ne peut être, et ne sera pas, une place de marché comme les autres. "Thales se positionne comme un tiers de confiance notamment en matière de cybersécurité, où la fiabilisation des échanges est essentielle", rappelle Pascal Geoffroy. Pour ce faire, l'équipe va "sélectionner les vendeurs et les acheteurs. Il en va de la crédibilité de cette marketplace", insiste-t-il. DES MARKETPLACES PRIVÉES POUR LES GRANDS FOURNISSEURS Fournisseurs qualifiés par Thales, articles certifiés, crédibilité financière... Le paiement est conditionné à la réception, et des technologies de cybersécurité sont garanties pour assurer l'intégrité et la confidentialité des données. Iven jouera d'ailleurs un rôle d'intermédiation en cas de litige. Outre le cas d'usage classique évoqué plus haut, Iven propose aux fournisseurs de construire leur propre marketplace via un système d'onboarding du catalogue privé et des marchands spécifiques. Le lancement d'Iven n'était pas forcément acquis pour une société comme Thales. "C'est un nouveau métier pour Thales, et un nouveau métier de la supply chain", reconnaît Pascal Geoffroy. Pourtant, le rôle fédérateur du groupe, à la croisée du monde militaire et civil, en fait l'interlocuteur privilégié de nombreux acteurs, y compris des PME-ETI. "Le tissu industriel est très fragmenté, il est composé de beaucoup de petites structures, analyse Pascal Geoffroy. Et je suis très attaché à développer cet écosystème dont font partie les PME, qui n'ont pas toujours la puissance de se développer en ligne, y compris à l'international". Iven va en effet être déployée dans cinq pays européens limitrophes à la France, avec des ambitions ultérieures bien plus vastes. Iven s'enrichira d'outils de monitoring de la performance fournisseur ainsi que de fonctionnalités algorithmiques dédiées à l'optimisation des achats. La plateforme pourra se connecter d'ici quelques mois aux ERP des grands comptes. A moyen terme, Iven vise 100 marchands. "Le secteur de la défense est un monde fermé, en retard en matière de transformation digitale par rapport au civil. Cela va secouer certains acteurs", prévient Pascal Geoffroy.

  • US Army plans long-range missile fly-offs for future helicopters

    28 juillet 2020 | International, Aérospatial, Terrestre

    US Army plans long-range missile fly-offs for future helicopters

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army plans to conduct a few fly-offs to test possible long-range precision munitions for its fleet of future helicopters, according to the chief of operations in charge of the service's Future Vertical Lift modernization efforts. While the Army has picked Israeli company Rafael's Spike Non-Line-of-Sight missile as an interim solution to deliver long-range lethality from its current and future helicopter fleets, it is also in the market for other options. “The Army has not committed yet to a form factor of long-range precision munitions. If it's Spike, or something else, we have time to work with that. We have time to do one fly-off or more” over the next few years to inform requirements, Col. Matthew Isaacson told reporters during a July 24 briefing. The service is molding a future fleet for the early 2030s, acquiring two manned helicopters, a tactical unmanned aircraft system, air-launched effects, and long-range precision munitions that will be networked together on the battlefield using a common digital, modular, open-system architecture. The Army extensively demonstrated Spike on both foreign and American AH-64 Apache attack helicopters, which led to the decision to buy some to tie the service over until it can assess other capabilities and better refine requirements before developing a permanent solution. The service fired the Spike NLOS missile from AH-64s in Israel and at Yuma Proving Ground, Arizona, last year. Defense News was present for one of six multidomain operations-relevant shots fired from an “E” model Apache at Yuma in August 2019. Isaacson says there are a number of vendors with capabilities that could meet the future need. The Army will need to finalize a preliminary design review across the board for assets within its future fleet in the 2023 time frame, so Isaacson said the Army has roughly three years to work with industry to settle on a capability and ensure it is interoperable with platforms “that are still somewhat on the drawing table,” something he said will be challenging. “We are looking at getting outside of the range of our pacing threats,” he said. The Army is “pleased” with Spike's beyond 30-kilometer range, he added, “so any competitor in any future fly-off will have to demonstrate that they can do very similar and get at a long range in a timely manner after our pacing threats.” Isaacson indicated the Army will likely work through cooperative research and development agreements among other means to demonstrate long-range precision munition capabilities at small venues. Then the munitions would be put to the test with soldiers at the brigade level, followed by higher-level demonstrations at venues like the Joint Warfighting Assessment, to inform requirements, he added. https://www.defensenews.com/land/2020/07/24/army-plans-for-airborne-long-range-missile-fly-offs-for-future-helicopters/

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