2 décembre 2022 | International, Terrestre
France qualifies Serval armored patrol vehicle variant for its Army
The green light signifies a step forward for realizing the ground service's large-scale Scorpion modernization program.
7 mai 2020 | International, Aérospatial
By: Joe Gould
WASHINGTON ― Raytheon and Lockheed Martin's joint venture for the Javelin has completed production of its first F-Model of the shoulder-fired anti-tank weapon, meant to be more lethal against advanced armor and soft targets, the companies announced Wednesday.
Though there's no contract for international customers yet, Poland could be in line to be the first. The European country recently completed negotiations with the U.S. to buy 180 Javelin missiles and 60 launchers for its paramilitary Territorial Defence Forces, launched in 2016 amid tensions with Russia.
“I believe that the Poland case actually hasn't been determined which way it's going to go yet, so they could make the F-Model available to them, or they could take the E-Models out of stock,” said Javelin Joint Venture Vice President Dave Pantano. “That would be up to the government-to-government process to make that determination.”
The weapon's final assembly takes place in Troy, Alabama, with 511 in the first lot and deliveries to U.S. government set for this fall.
The new model, also known as FGM-148F, has an advanced multipurpose warhead that combines charges to defeat explosive-reactive armor, and it has a fragmenting steel case for striking unarmored and lightly armored targets, according to the team. Its new command launch unit boasts a reduction in weight and an improved target tracker.
“The warhead now combines multiple effects into one,” Pantano said. “It multiplies fragmentation, as well as the standard high-explosive anti-tank [charge]. So now the war fighters are prepared for any mission, without having to switch out different rounds for different targets.”
Taiwan drew an immediate protest from China last year when the former asked to purchase more than 100 tanks from the U.S., along with air defense and Javelin systems. (Several kinds of Chinese-made tanks have been reportedly seen with explosive-reactive armor.)
European allies with an eye on Russian armored vehicles are likely to be interested in the F-Model, according to James Hasik, a defense industry analyst and senior research fellow at George Mason University.
“This is definitely about Russian armor. The Javelin is, by all accounts I've heard, a great weapon, but recent developments in active protection systems may lend some concern for its continued ability to reliably destroy tanks. I'd encourage any defense ministry in Europe, but especially those along the eastern frontier, to buy a lot of those or a similar weapon," Hasik told Defense News.
“I should also note that the dual-purpose warhead is a welcome feature. The infantry ideally should have a single weapon for engaging multiple types of target. That's less essential with other arms, which may have a few more seconds to think about how to react, and more carrying capacity for multiple types of weapons.”
The U.S. announced April 2 that it delivered 128 anti-tank Javelin missiles to Estonia.
Polish Defence Minister Mariusz Błaszczak announced in a tweet last month that talks to buy Javelins were complete and that Warsaw was working to get more light anti-tank missiles. “This is not the end of strengthening these abilities,” he said.
Days earlier, the U.S. Defense Security Cooperation Agency announced that Poland was cleared to buy the Javelin missiles and 79 command launch units for $100 million. The sale will help Poland “build its long-term defense capacity to defend its sovereignty and territorial integrity,” DSCA said.
Domestically, the Pentagon last year awarded the joint venture a production contract for 2,100 F-Model missiles after passing qualification tests. The full-rate production agreement for the FGM-148F replaced the FMG-148E (Block 1).
The president's fiscal 2021 budget request in February asked Congress for $210 million, or 773 Javelin missiles for the Army and 98 for the Marine Corps; that's up from the $163 million Congress enacted in FY20.
In October, the U.S. Army delayed plans to integrate the Javelin atop the Stryker combat vehicle over problems were discovered in connecting the weapon to the vehicle's remote weapons station. The Army also plans to mount a 30mm cannon on the vehicle.
Officials with the joint venture expect to restart the Stryker efforts this summer or early fall.
Also last year, an Estonian robot at Redstone Arsenal Test Center in Alabama test-fired the missile using a Kongsberg remote launcher on an unmanned ground vehicle. The Titan unmanned ground vehicle was built by Qinetiq North America and the Estonian company Milrem Robotics.
2 décembre 2022 | International, Terrestre
The green light signifies a step forward for realizing the ground service's large-scale Scorpion modernization program.
17 mai 2023 | International, C4ISR
Command posts of the past were relatively stationary, cumbersome to set up and break down, and often identifiable by the heat and noise they emit.
24 mars 2020 | International, Naval
Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724