15 octobre 2019 | International, Aérospatial

Lockheed Martin's Modernized Turret Adds Performance, Operational Capabilities To The AH-64E Apache Helicopter

WASHINGTON, Oct. 15, 2019 /PRNewswire/ -- The U.S. Army recently awarded Lockheed Martin (NYSE: LMT) a $40.6 million contract to produce Modernized Turrets (M-TUR) for the AH-64E Apache helicopter, an upgrade to the Modernized Target Acquisition Designation Sight and Pilot Night Vision Sensor (M-TADS/PNVS) system with enhanced operational and performance capabilities.

"Our primary objective with the Modernized Turret is to improve system performance, increase reliability, and reduce required maintenance and support costs," said Tom Eldredge, director of Apache Fire Control programs at Lockheed Martin Missiles and Fire Control. "The M-TUR demonstrates our commitment to delivering advanced, affordable capabilities and innovative solutions to our nation's warfighters, enabling increased readiness, reliability and survivability in battle."

In addition to performance improvements that provide greater rates and acceleration of sensors in azimuth and elevation, M-TUR's new modular design improves turret reliability by 40 percent and reduces operation and support costs with a dramatic decrease in time required to conduct flight line maintenance. The design also allows for subassembly replacement on the flight line and includes higher reliability components that will improve aircraft availability.

M-TADS/PNVS provides Apache helicopter pilots with long-range, precision engagement and pilotage capabilities for mission success and flight safety during day and night, and in adverse weather conditions. Lockheed Martin has delivered more than 1,400 M-TADS/PNVS systems and spares to the U.S. Army and 16 international customers in 15 nations over the last 14 years. For additional information, visit our website: www.lockheedmartin.com/mturret.

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 105,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services.

SOURCE Lockheed Martin

https://news.lockheedmartin.com/2019-10-15-Lockheed-Martins-Modernized-Turret-Adds-Performance-Operational-Capabilities-to-the-AH-64E-Apache-Helicopter

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    7 décembre 2018 | International, Naval

    Les frégates de la classe Nansen souffrent d’un défaut sérieux de conception. Le chantier Navantia mis en cause

    (B2) Un premier rapport du bureau enquêtes accidents norvégien (AIBN) l'affirme sans ambages. La collision entre une frégate de la marine norvégienne KNM Helge Ingstad et un tanker maltais (Sola TS) dans la baie de Hjeltefjorden en Norvège le 8 novembre, révèle un problème grave de conception sur certains navires fabriqués par les chantiers navals espagnols Navantia. Une alerte sécurité vient d'être envoyée Un naufrage à proximité des côtes Rappelons-nous, c'était juste après l'exercice de l'OTAN Trident Juncture, la frégate norvégienne (qui porte le numéro de coque F-313), effectuait des manœuvres à proximité des côtes, près du terminal pétrolier de ce fjord norvégien situé non loin de Bergen, quand il heurte le pétrolier qui naviguait en sens inverse. La collision ne provoque que peu de dég'ts dans le pétrolier, mais pour le navire militaire les conséquences sont autrement plus graves. Une enquête des bureaux d'accidents civil et militaire norvégiens La frégate norvégienne, qui fait alors partie de la force navale permanente de l'OTAN (SNMG1), est atteinte « au-dessus et au-dessous de la ligne de flottaison » et « absorbe énormément d'eau » comme le signale le ministère norvégien de la Défense. Il n'est plus stable et doit être échoué. Ses 137 marins doivent être évacués. Une enquête est alors diligentée associant le bureau d'enquête accidents maritime norvégien (AIBN) et son pendant militaire (DAIBN), auquel est associé l'unité d'enquête maritime maltaise (MSIU), autorité du pavillon du pétrolier. Les compartiments non étanches Trois compartiments étanches à bord du KNM Helge Ingstad sont inondés : « la salle du groupe électrogène arrière, les quartiers de l'équipage du pont Orlop et le magasin » selon le rapport de l'AIBN. La stabilité est jugée « médiocre », mais le navire est encore considéré comme 'sauvable'. Cette première évaluation ne résiste pas. L'eau gagne du terrain. Elle « coule de la salle des génératrices arrière vers la salle des engrenages via les arbres creux de l'hélice, puis de la salle des engrenages, vers les salles des machines avant et arrière via les boîtes de rangement dans les cloisons ». Quand la salle d'engrenage est inondée, l'évacuation des 137 marins est décidée. Le navire est considéré comme « perdu ». Huit marins sont légèrement blessés dans les différentes manœuvres. Le navire échoué coule à pic Les autorités espèrent encore pouvoir récupérer le navire, qui flotte toujours, en le fixant avec des c'bles. Mais dans la nuit du 12 au 13 novembre, ils s'arrachent et le navire coule à pic. Le navire est désormais considéré comme irrécupérable, même si les travaux sont toujours en cours pour être renfloué, comme le précise le ministère norvégien de la Défense. Perte sèche : 4,2 milliards de couronnes (environ 220 millions d'euros). Une enquête nécessaire chez Navantia L'autorité norvégienne préconise une vérification des navires norvégiens de même conception. Oslo dispose encore de quatre navires de la même classe — le KNM Fridtjof Nansen, le KNM Roald Amundsen, le KNM Otto Sverdrup et le KNM Thor Heyerdahl — construits sur les chantiers navals espagnols de Ferrol de Navantia. Elle demande ainsi à Navantia de mener « une enquête sur les problèmes identifiés lors de la première enquête et de déterminer s'il s'agit également d'un problème lié à d'autres navires ». L'industriel espagnol doit aussi envoyer une notification aux chantiers, propriétaires et exploitants concernés, pour leur indiquer « les mesures à prendre pour assurer la sécurité ». (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2018/12/un-defaut-de-conception-dans-les-fregates-de-type-nansen-le-chantier-navantia-mis-en-cause/

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    19 décembre 2018 | International, Aérospatial, C4ISR

    L'observation spatiale nouvelle génération parée au lancement

    Helen Chachaty Mise à jour 13h (heure française) : Le lancement est reporté de 24 heures en raison de conditions météorologiques défavorables. L'observation spatiale prend une nouvelle dimension. Le premier satellite CSO (Composante spatiale optique) doit en théorie être mis sur orbite ce 18 décembre par un lanceur Soyouz, depuis le Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou. La constellation CSO - composée de trois satellites - remplacera à terme le système Hélios II et reprendra les missions d'observation spatiale pour les forces armées françaises, mais aussi pour les pays partenaires du programme MUSIS (Multinational space-based imaging system). D'une masse de 3,5 tonnes, CSO-1 sera placé sur une orbite héliosynchrone à 800 kilomètres d'altitude et déployé pour des missions de reconnaissance, avec la capacité de produire des images très haute résolution. CSO-3 aura les mêmes fonctions, alors que CSO-2 sera quant à lui placé sur une orbite polaire à une altitude différente, soit 480 kilomètres d'altitude, afin de remplir la mission d'identification. Le deuxième satellite bénéficiera donc d'une résolution augmentée par rapport à CSO-1 et -3 et sera capable de produire des images d'extrêmement haute résolution - une donnée non-dévoilée. CSO-2 sera théoriquement lancé en mai 2020, toujours par Soyouz, CSO-3 devrait quant à lui être tiré par Ariane 6 en octobre 2021. Ces satellites de nouvelle génération représentent un « saut qualitatif en termes de résolution d'image, de précision de localisation et de nombre de prises de vue », explique un aviateur. Les satellites CSO sont destinés à effectuer des prises de vue en fonction des besoins militaires de la France et des pays partenaires (Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Suède). Dotés de capacités multispectrales et infrarouges, les satellites CSO permettront de disposer d'images mono- et stéréoscopiques. La participation de la Suède, qui met à disposition une antenne à Kiruna, permettra par ailleurs au satellite de « décharger » les données toutes les 90 minutes, contre environ deux fois par jour pour l'antenne de la base aérienne de Creil. La capacité journalière maximale est estimée à environ 800 images. La composante spatiale optique est articulée autour des trois satellites, d'un segment sol de mission pour le contrôle des satellites et d'un segment sol utilisateur. CSO-1, -2 et -3 ont été réalisés sous maîtrise d'oeuvre d'Airbus Defence & Space, l'instrumentation optique a été fournie par Thales Alenia Space France. Le segment sol mission est opéré par le CNES depuis Toulouse. Il est composé d'un centre de programmation (Capgemini) et de commande-contrôle (Airbus Defence & Space) et d'un centre d'expertise qualité image (Thales Service et Capgemini). Quant au segment sol utilisateur, situé à Creil, il a été conçu et réalisé par Airbus Defence & Space. La Direction générale de l'armement est responsable de la conduite du programme et assure la maîtrise d'ouvrage du segment sol utilisateur. Elle a délégué au CNES la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation des satellites et du segment sol de mission, ainsi que le lancement des satellites - qui sera effectué par Arianespace. Le lancement de CSO-1 intervient alors que la ministre des Armées Florence Parly doit prochainement rendre au président de la République Emmanuel Macron un rapport sur la stratégie spatiale militaire française. « Il faut avoir en tête que l'espace devient le thé'tre de confrontations », avait-elle déclaré à l'occasion d'une rencontre avec des journalistes début septembre, mettant en avant la nécessité de disposer de capacités spatiales efficientes. Florence Parly avait également rappelé que « protéger l'espace, c'est protéger nos opérations. C'est aussi garantir notre souveraineté et trouver l'opportunité de partenariats avec nos alliés européens, et c'est surtout protéger nos modes de vie et notre quotidien ». La Loi de programmation militaire 2019-2025 inclut, outre la mise en oeuvre du programme CSO-MUSIS, la mise en service du programme CERES (Capacité d'écoute et de renseignement électromagnétique spatiale), des deux premiers satellites du système Syracuse IV et le lancement du programme OMEGA (Opération de modernisation des équipements GNSS des armées). Les premières images produites par CSO-1 sont attendues « dans quelques mois », explique-t-on au CMOS (Centre militaire d'observation spatiale). Après le lancement du satellite suivra une période de calibrage des instruments de bord et de calage du télescope et de la structure. https://www.journal-aviation.com/actualites/41584-l-observation-spatiale-nouvelle-generation-paree-au-lancement

  • At Defence Expo 2020, Make-in-India achievement; Rafale engine doors, Falcon front cockpit. Here’s all Dassault aviation will show

    5 février 2020 | International, Aérospatial

    At Defence Expo 2020, Make-in-India achievement; Rafale engine doors, Falcon front cockpit. Here’s all Dassault aviation will show

    For the first time Dassault Aviation of France will be exhibiting at the Defence Expo and the main attraction besides other displays will be the Rafale mock-up with the Indian colours. Defence Expo 2020 is being held at Lucknow, Uttar Pradesh The Rafale fighter aircraft which were handed over to the defence minister Rajnath Singh last October will be arriving in India early summer. The mock-up in the colours of the IAF is to illustrate the determination of the French company's commitment to meet all future additional fighter aircraft needs. Also, a mock-up of Rafale M (Naval variant) will be on display to present capabilities of the variant taking part in the tender of 57 aircraft to equip Indian Navy aircraft carriers. There will also be a Mirage 2000 I/TI mock-up on display. Highlighting its “Make in India” achievements on display will be Rafale engine doors manufactured in the Dassault Reliance Aerospace Ltd (DRAL) 15000 square meters the facility in Nagpur, and the first Falcon 2000 cockpit front section manufactured at Dassault Reliance Aerospace Limited facility at MIHAN, Nagpur. Eric Trappier, Chairman and Chief Executive Officer of Dassault Aviation has said, “Our participation in the DefExpo is the expression of the company's full dedication to contribute to India's outreach”. According to the company larger infrastructures are being developed which will help in ramping up of DRAL capabilities towards the taking-off of an entire line of Falcon 2000 fully manufactured and assembled in India. This will pave the way for the future manufacturing and assembly of Rafale in India. And these will help to build up an Indian aerospace manufacturing eco-system, both in civil and military fields, which will position India as an international reference in the global aerospace market. The company has played a very important role in helping India to establish a state-of-the-art manufacturing facilities with cutting edge technologies. https://www.financialexpress.com/defence/defence-expo-2020-rafale-mirage-2000-make-in-india-achievement-engine-door-cockpit-dassault-aviation-dral/1855850/

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