1 octobre 2018 | International, Naval

LOCKHEED MARTIN CONTRACT TO MARRY MACHINE LEARNING WITH 3-D PRINTING FOR MORE RELIABLE PARTS

U.S. Navy research contract could make complex metal additive manufacturing a reality both in production centers and deep in the field

DENVER, Oct. 1, 2018 /PRNewswire/ -- Today, 3-D printing generates parts used in ships, planes, vehicles and spacecraft, but it also requires a lot of babysitting. High-value and intricate parts sometimes require constant monitoring by expert specialists to get them right. Furthermore, if any one section of a part is below par, it can render the whole part unusable. That's why Lockheed Martin (NYSE: LMT) and the Office of Naval Research are exploring how to apply artificial intelligence to train robots to independently oversee—and optimize—3-D printing of complex parts.

The two-year, $5.8 million contract specifically studies and will customize multi-axis robots that use laser beams to deposit material. The team will develop software models and sensor modifications for the robots to build better components.

  • Lockheed Martin Metal 3D printer

"We will research ways machines can observe, learn and make decisions by themselves to make better parts that are more consistent, which is crucial as 3-D printed parts become more and more common," said Brian Griffith, Lockheed Martin's project manager. "Machines should monitor and make adjustments on their own during printing to ensure that they create the right material properties during production."

Researchers will apply machine learning techniques to additive manufacturing so variables can be monitored and controlled by the robot during fabrication.

"When you can trust a robotic system to make a quality part, that opens the door to who can build usable parts and where you build them," said Zach Loftus, Lockheed Martin Fellow for additive manufacturing. "Think about sustainment and how a maintainer can print a replacement part at sea, or a mechanic print a replacement part for a truck deep in the desert. This takes 3-D printing to the next, big step of deployment."

Currently, technicians spend many hours per build testing quality after fabrication, but that's not the only waste in developing a complex part. It's common practice to build each part compensating for the weakest section for a part and allowing more margin and mass in the rest of the structure. Lockheed Martin's research will help machines make decisions about how to optimize structures based on previously verified analysis.

That verified analysis and integration into a 3-D printing robotic system is core to this new contract. Lockheed Martin, along with its strong team, will vet common types of microstructures used in an additive build. Although invisible from the outside, a part could have slightly different microstructures on the inside. The team will measure the performance attributes of the machine parameters, these microstructures and align them to material properties before integrating this knowledge into a working system. With this complete set of information, machines will be able to make decisions about how to print a part that ensures good performance.

The team is starting with the most common titanium alloy, Ti-6AI-4V, and integrating the related research with seven industry, national lab and university partners.

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 100,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. This year the company received three Edison Awards for ground-breaking innovations in autonomy, satellite technology and directed energy.

SOURCE Lockheed Martin

https://news.lockheedmartin.com/2018-10-01-Lockheed-Martin-Contract-to-Marry-Machine-Learning-with-3-D-Printing-for-More-Reliable-Parts

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    La Belgique, tout comme l'Italie et les Pays-Bas, ont préféré acheter américain plutôt qu'européen pour leur défense aérienne. Et ce n'est ni le prix, ni les capacités techniques du F-35 qui les ont convaincu, mais leurs alliances. Le “contrat du siècle” belge est tombé dans les mains des Américains: jeudi, la Belgique a officialisé le choix de l'avion de chasse F-35 du groupe américain Lockheed Martin pour remplacer sa flotte d'avions de chasse F-16, écartant le Rafale du français Dassault et le Typhoon du consortium européen Eurofighter. Un achat estimé à 3,6 milliards d'euros. Une décision qui passe mal auprès des partenaires européens de la Belgique. Emmanuel Macron a dit dès le lendemain regretter "la décision du gouvernement belge d'acheter des avions de chasse F-35 américains "plutôt qu'une offre européenne", une décision qui "stratégiquement va a contrario des intérêts européens". La Belgique a choisi son allié américain La Belgique n'est pas le premier pays de l'UE a mettre un coup de canif dans l'Europe de la Défense. L'Italie et les Pays-Bas ont déjà fait le choix du F-35 plutôt que d'un avion européen. Si la Belgique justifie son choix pour des raisons techniques: coordination plus simple avec les pays voisins (comme les Pays-Bas), emport de bombes, interopérabilité au sein de l'Otan... la raison serait surtout diplomatique. "Le choix de l'avion de chasse fait partie des achats les plus stratégiques pour un pays. C'est une arme de souveraineté et choisir une technologie, c'est s'engager pour 30 ou 40 ans. Vous êtes ensuite pieds et poings liés avec votre fournisseur", affirme Philippe Plouvier, directeur associé au Boston Consulting Group sur les questions de défense et d'aéronautique. "Si vous faites une carte du monde, des achats d'avions de chasse par pays, c'est très révélateur des alliances. Quand la Belgique choisit le F-35, elle choisit un parapluie de défense américain plutôt que franco-allemand", poursuit-il. Une explication que donne aussi, à demi-mot, ce vendredi le premier ministre belge Charles Michel: "Pour moi les Etats-Unis ne sont pas devenus un ennemi parce que Donald Trump est président". Et malgré les "divergences de vues" avec Washington "la sécurité pour nos petits-enfants sera liée au maintien et au renforcement d'une double alliance, européenne et transatlantique". Un avion très cher et pas encore opérationnel Car mieux vaut rester ami avec le pays qui vous vend des avions de chasse. Le choix du F-35 ferre la Belgique: "que se soit en termes de pièces détachés ou de mise à jour logicielle... Sans les Etats-Unis, les F-35 belges n'iront pas très loin”, concède Philippe Plouvier. Pour justifier leur choix, les Belges ne pourront en tout cas pas brandir l'argument du prix. Le coût du développement du F-35 a explosé les estimations de départ. L'avion collectionne les problèmes techniques et "il n'atteint pas encore les performances prévues initialement, notamment en termes de furtivité", reconnait Philippe Plouvier. Si 300 appareils ont déjà été livrés (principalement aux Etats-Unis, Canada et Royaume-Uni), les tests opérationnels du F-35 se finiront en 2019. Les pays qui l'ont choisi doivent donc s'attendre à voir la facture s'alourdir pour profiter des améliorations futures. "Ce qui est révolutionnaire dans cet avion, ce ne sont ni ses moteurs, ni sa structure, mais son logiciel embarqué. Les mises à jour auront un prix", promet-il. La fin de l'Europe de la défense? Les deux "perdants" du contrat belge n'ont pas tardé à réagir. Le Français Dassault Aviation a évoqué dans un communiqué un "mauvais signal pour la construction de l'Europe de la défense". De son côté d'Airbus, partenaire du programme Eurofighter, regrette "l'opportunité manquée de renforcer la coopération industrielle européenne au moment où l'on demande à l'Union Européenne de s'unir en matière de Défense". Les deux entreprises continuent en tout cas de travailler en commun pour le projet de Système de combat aérien futur (Scaf), voulu notamment par le président français Emmanuel Macron. "L'Europe doit développer une vraie capacité d'industrie de défense européenne, dans tous les pays qui croient à cette aventure. Ma détermination en sort renforcée", a-t-il déclaré vendredi. "Tout n'est pas perdu. La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont la volonté de créer cet avion européen du futur", juge Philippe Plouvier. Pour le spécialiste, c'est peut-être un mal pour un bien que beaucoup de pays européens ne soient pas concernés. "Il faut reproduire l'exemple réussi du missilier européen MBDA, qui est compétitif, technologiquement haut de gamme et où la France et le Royaume-Uni ont un partage équilibré des responsabilités". Et éviter de reproduire les erreurs des programmes de l'avion de transport militaire A400M et celui de l'Eurofighter "avec des surcoûts, et de l'éparpillement industriel". https://www.bfmtv.com/economie/pourquoi-la-belgique-et-d-autres-pays-europeens-preferent-acheter-des-avions-de-chasse-americains-1552975.html

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