31 mai 2019 | International, Naval

Lockheed drops bid to design FFG(X)

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WASHINGTON — Lockheed Martin has decided not to submit a version of its Freedom-class littoral combat ship for the Navy's next-gen frigate design competition.

The contractor's move to abandon its bid to become the prime contractors on the FFG(X) deal leaves four rivals in the running — Huntington Ingalls Industries, Austal USA, Fincantieri and General Dynamics Bath Iron Works.

But the world's largest defense firm still intends to bid on capabilities involved in the FFG(X).

“After careful review, we have decided to focus our attention on the FFG(X) combat system, delivering Lockheed Martin technologies such as the Aegis-derived weapon system, MK 41 Vertical Launching System, anti-submarine warfare processing, and advanced electronic warfare,” the company said in a statement released late Tuesday.

“We will continue to serve as a shipbuilder for the U.S. Navy, and we're exploring opportunities including unmanned surface vessels and the large surface combatant.”

The news was first reported by USNI on Tuesday.

The FFG(X) grew out of a 2014 requirement for an up-gunned frigate that could survive brutal combat at sea, a problem critics raise about the LCS, a vessel that was developed for sneaky missions near shorelines.

The goal of the new frigate design is to both integrate with, and complement, the carrier strike group and operate as a distributed node in a sensor network, officials say.

Planned capabilities include anti-surface warfare, anti-submarine warfare, electromagnetic maneuver warfare and air warfare.

The Navy asked for $1.3 billion for the first FFG(X) hull in 2020 but estimates each subsequent frigate will run closer to $800 million.

David B. Larter in Scotland contributed to this story

https://www.defensenews.com/naval/2019/05/29/lockheed-declines-to-bid-for-ffgx-design

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    29 octobre 2018 | International, Terrestre

    La Belgique renonce aux Rafale, mais achète des blindés à la France

    [ACTUALISE] Si Dassault et son Rafale n'ont pas su séduire le gouvernement belge, au grand dam d'Emmanuel Macron, la Belgique a annoncé concrétiser l'achat de 442 véhicules blindés auprès d'un consortium français composé de Nexter, Thales et Arquus, pour un montant de 1,5 milliard d'euros. Malgré un niveau de commandes plus faible que prévu. Un pas en avant, un pas en arrière. Si le gouvernement belge a suscité bien de la déception dans l'Hexagone en annonçant le 25 octobre ne pas opter pour le Rafale pour remplacer ses avions de chasse F-16 - Emmanuel Macron regrettant vendredi 26 octobre cette décision, estimant qu'elle va "stratégiquement à contrario des intérêts européens" -, il a malgré tout voulu rassurer en confirmant l'achat de véhicules blindés à un consortium français. Ce contrat avec les industriels français Nexter Systems, Arquus et Thales, avait été annoncé en juin 2017 par le ministre de la Défense belge Steven Vandeput. Il a pourtant vu sa voilure légèrement réduite : au lieu de l'achat de "60 nouveaux véhicules de combat médians du type Jaguar et 417 véhicules de combat légers du type Griffon" promis alors, l'armée de terre belge ne s'arrogerait plus que 60 Jaguar et 382 Griffon, qu'elle devrait mettre en service pour 2025-2030. "Ce partenariat inédit comporte également un volet opérationnel incluant des entraînements, de la formation et le maintien en condition opérationnelle des matériels concernés", annonce le ministère français des armées dans un communiqué du 26 octobre, précisant le montant du contrat: 1,5 milliard d'euros. 382 Griffon et 60 Jaguar Ces blindés ont été développés dans l'Hexagone dans le cadre du programme Scorpion de renouvellement des capacités de combat de l'armée de Terre française, auquel participent notamment Nexter Systems, Thales, Renault Trucks Defense ou encore Safran pour l'optronique. Le Griffon est un véhicule blindé multi-rôle (VBMR) disposant de six roues et pesant environ 25 tonnes. Il va remplacer les véhicules de l'avant blindé (VAB) que ce soit pour des missions de transport de troupes, poste de commandement, observation pour l'artillerie et évacuation sanitaire. Le Jaguar est, quant à lui, un engin blindé de reconnaissance de combat (EBRC). Lui aussi dispose de six roues et pèse près de 25 tonnes, mais il va remplacer les chars légers AMX10RC et Sagaie ainsi que les VAB équipés des missiles Hot. Canon de 40 mm télescopé, missile moyenne portée MMP, ou encore tourelleau téléopéré, vont composer son système d'armement. Du budget restant pour la future Europe de la défense Par ailleurs, en choisissant le F-35 américain de Lockheed Martin pour remplacer ses avions de chasse F-16 après 2023, au détriment du Typhoon d'Eurofighter et du Rafale de Dassault, la Belgique devrait économiser 600 millions d'euros par rapport à ce qui était budgété, a annoncé le Premier ministre Charles Michel le 25 octobre. Ils "pourront être en partie utilisés pour des pré-financements afin de sécuriser les retours sociétaux pour notre pays" alors qu'une autre partie est réservée pour d'éventuels projets futurs en matière de défense européenne, comme le futur système de combat aérien, précise le média belge La Libre Belgique. "L'offre française est arrivé après la clôture", a réagi pour sa part le 26 octobre Emmanuel Macron sur ce dossier. "Je regrette le choix fait. Il n'y avait pas que l'offre du Rafale, il y avait aussi l'Eurofighter, un vraie offre européenne. La décision est liée à une procédure belge, à des contraintes politiques du pays mais stratégiquement va a contrario des intérêt européens". "Je ferai tout pour que dans les appels d'offres à venir, des offres européennes soient promues", a promis le Président de la République, qui doit justement rendre le mois prochain une visite d'Etat à la Belgique, et discuter notamment de l'Europe de la Défense. https://www.usinenouvelle.com/article/la-belgique-renonce-aux-rafale-mais-achete-des-blindes-a-la-france.N761104

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    15 octobre 2020 | International, Terrestre, Sécurité

    The Army’s SAW and M4 replacement is headed to troops by 2022

    Todd South The gun that will replace both the M249 Squad Automatic Weapon and the M16/M4 rifle/carbine weapons — and add a new, widely distributed caliber to the U.S. military inventory for the first time in decades — is less than two years away. The Next Generation Squad Weapon finished its first prototype test event in September. The three previously selected offerings came from Sig Sauer, Textron Systems and General Dynamics Ordnance. Brig. Gen. David Hodne, Infantry School commandant and Soldier Lethality Cross Functional Team director, along with Brig. Gen. Anthony Potts, head of Program Executive Office Soldier, gave updates to Army Times ahead of the Association of the U.S. Army Annual Meeting and Exposition. Concurrently, the Army in April has also selected two companies, L3 Technologies and Vortex Optics, to compete for the fire control for the weapons system. Sig Sauer's design looks much like a conventional assault rifle while GD is using a bullpup design, which shortens the length by building the magazine feed into the weapon stock. Textron has built its weapon around the cartridge, which is unique to them, a cased telescope item that has the projectile inside of the casing to reduce weight. Back in April, each of the companies provided 15 rifles, 15 automatic rifles and 180,000 cartridges using the government-developed 6.8mm projectile. The 6.8mm projectile was chosen after decades of testing and evaluation showed that 5.56mm lethality at mid-ranges on the battlefield was inadequate and existing 7.62mm could be outperformed by the 6.8mm round and save weight for the soldier. The new caliber also gives the soldier both a rifle and automatic rifle firing the same round, both effective past the 600m mark of existing light calibers. Following the September testing, the companies will have six months until their next prototype test, scheduled to begin in February. During the annual Maneuver Warfighter Conference at Fort Benning in Georgia, Maj. Wyatt Ottmar, project officer over NGSW for the Soldier Lethality CFT, laid out some of the recent developments and next steps for the weapons system. Ottmar noted that Sig Sauer provided a combined steel lower and brass upper ammunition cartridge to reduce weight. A contract is expected to be awarded to one of the three companies this coming fiscal year with fielding to start in the fourth quarter of fiscal year 2022, or sometime between August and October 2022, to Infantry, Stryker and Armor Brigade Combat Teams. Ultimately, the weapon will be fielded to all close combat forces, including special operations forces, infantry, combat engineers and scouts. The fire control is expected to field six months ahead of the weapon, Potts said. That will allow the NGSW producer to better integrate the optic with the weapon. https://www.defensenews.com/news/your-army/2020/10/14/the-armys-saw-and-m4-replacement-is-headed-to-troops-by-2022/

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    11 mars 2022 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Défense européenne : entretien avec Nathalie Loiseau, du Parlement européen

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