3 novembre 2021 | International, Aérospatial

La marine américaine précise ses attentes sur le successeur du F/A-18 Super Hornet

Contrairement à l'US Air Force, le F-35 n'a pas vocation à constituer l'épine dorsale de l'aviation embarquée de l'US Navy étant donné que celle-ci n'en a commandé 273 exemplaires auprès de Lockheed-Martin. Aussi, elle s'appuie essentiellement sur le F/A-18 Super H

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  • Le choix du remplaçant des F-16 belges va tomber

    21 octobre 2018 | International, Aérospatial

    Le choix du remplaçant des F-16 belges va tomber

    Le gouvernement fédéral est désormais en mesure de formaliser sa décision sur le choix du prochain avion de combat de l'aviation belge. Un appareil qui devrait voler à partir de 2023 et durant au moins quatre décennies sous les cocardes tricolores rouges, jaunes et noires, qu'il soit américain ou européen. Les principaux ministres de l'équipe Michel ont été «briefés» mercredi par des experts sur le «retour sociétal» (les retombées économiques et les autres formes de coopération offertes à la Belgique) proposé par les promoteurs des deux candidats officiellement en lice pour le remplacement des F-16 vieillissants: le F-35 Lightning II du groupe américain Lockheed Martin et l'Eurofighter – alias Typhoon – du consortium européen éponyme promu par le Royaume-Uni, dans le cadre d'un marché d'État à État. Le 4 octobre, le conseil ministériel restreint (»kern») avait déjà entendu le rapport des militaires qui ont conduit l'évaluation exhaustive des deux candidats, sous l'égide d'une cellule de l'état-major de la Défense, l' «Air Combat Capability Program» (ACCaP), dirigée par le colonel Harold Van Pee. Un troisième candidat potentiel est le Rafale de l'avionneur français Dassault Aviation, pour lequel peu de données chiffrées sont disponibles. Car Paris n'a pas répondu à l'appel d'offres officiel, préférant proposer à la Belgique un «partenariat approfondi et structurant» fondé sur le Rafale et une implication belge dans le développement d'un avion de combat de nouvelle génération, envisagé par la France et l'Allemagne à l'horizon 2040 dans le contexte d'une relance de la défense européenne. Avant le départ de Vandeput? Le gouvernement dispose de toutes les informations pour faire son choix, dans un climat de lobbying intense et alors que les États-Unis ont accepté de prolonger pour une courte période – apparemment jusqu'à la fin du mois – leur offre pour le F-35 qui expirait formellement le 14 octobre, date des élections communales et provinciales. Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), qui quittera cette fonction d'ici le 1er janvier pour devenir bourgmestre de Hasselt, a dit lundi espérer encore pouvoir boucler cet épineux dossier avant son départ. «Ce serait beau si je pouvais conclure les gros investissements. Nous avons mis beaucoup de choses sur les rails qui sont aujourd'hui mûres pour être tranchées», a-t-il déclaré. Le Premier ministre Charles Michel (MR) a lui aussi cité, dans sa déclaration de politique générale à la Chambre le 8 octobre, les chantiers à boucler par le gouvernement – dont les décisions à prendre pour plusieurs programmes militaires, comme le remplacement des F-16 – mais en se montrant plus prudent sur l'échéance. «Nous prendrons très vite, et en tout cas avant la fin de la législature (en mai prochain, NDLR), les décisions qui s'imposent pour chacun de ces programmes», a assuré M. Michel. Car, comme souvent en Belgique, le dossier ACCaP s'est retrouvé mêlé à au moins deux autres programmes militaires: l'achat de nouveaux drones, potentiellement armés, et de nouveaux blindés pour la composante Terre, un programme baptisé «CaMo» portant sur 477 engins et à mener en coopération avec la France. L'approche de la dernière ligne droite avant une décision sur le nouveau chasseur-bombardier a accentué les efforts de lobbying dans ce marché d'un montant initial de 3,6 milliards d'euros – et une quinzaine de milliards sur la durée de vie attendue de l'appareil, soit une quarantaine d'années – même si les offres américaine et britanniques semblent «en dessous» de ce cadre financier, selon des sources concordantes. Les Britanniques, qui promeuvent le Typhoon au nom du consortium Eurofighter (rassemblant également l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie), craignent une décision (trop) h'tive en faveur du F-35 prise en dépit de nombreuses incertitudes sur le coût du chasseur furtif américain, tant à l'achat – la version proposée à la Belgique est le Block 4, dont le développement n'a pas encore été financé – qu'à l'utilisation. Plusieurs ministres britanniques, dont ceux des Affaires étrangères et du Commerce international, Jeremy Hunt et Liam Fox, viennent ainsi d'écrire à leurs homologues belges pour, selon une source informée, leur rappeler l'intérêt pour la Belgique d'une solution européenne, l'Eurofighter étant produit à 75% sur le continent. https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181018_01244354/le-choix-du-remplacant-des-f-16-belges-va-tomber

  • UK welcomes US participation in Tempest fighter jet concept

    9 août 2018 | International, Aérospatial

    UK welcomes US participation in Tempest fighter jet concept

    Pat Host The United Kingdom plans to work closely with US industry as it develops its next-generation Tempest fighter jet concept, according to the UK defence secretary. “We have a great tradition at producing the best fighters in the world and we have a great tradition of having that national sovereign capability, and we are never going to be wanting to surrender that,” Gavin Williamson told an audience on 7 August at the Atlantic Council think tank in Washington. “In terms of actually working with international partners, we're very open to it.” Williamson announced the Tempest concept in mid-July at the UK Farnborough International Airshow. The Tempest team currently comprises BAE Systems, Leonardo, MBDA, and Rolls-Royce. The United Kingdom wants a Tempest business case by the end of the year, a final investment decision by 2025, and the aircraft flying by 2035. The United States is home to leading fighter jet companies Lockheed Martin and Boeing. Lockheed Martin is developing the fifth-generation F-35 Lightning II Joint Strike Fighter (JSF), developed the fifth-generation F-22 Raptor, and supports the F-16 Fighting Falcon while Boeing supports the F-15 Eagle. The United Kingdom is a partner on the F-35 programme. There is already international interest in Tempest. Japan has approached the United Kingdom about participating, having had an “exchange of opinions” about the possibility of a joint air combat project. Japan is looking to replace its Air Self-Defense Force's (JASDF's) Mitsubishi F-2 fighters. https://www.janes.com/article/82256/uk-welcomes-us-participation-in-tempest-fighter-jet-concept

  • La France, troisième exportateur mondial d'armes

    23 mars 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    La France, troisième exportateur mondial d'armes

    Selon l'Institut international de recherche pour la paix de Stockholm (le Sipri), l'Hexagone est devenu le troisième plus gros exportateur d'armes sur la période 2015-2019, assurant 7,9 % des livraisons mondiales. Seuls les États-Unis (36 %) et la Russie (21 %) font mieux. En revanche, la France dépasse la Chine et l'Allemagne, respectivement troisième et quatrième sur la période précédente (2010-2014). Cela se traduit dans les comptes des entreprises françaises de l'armement, secteur qui totalise 13 % des emplois industriels du pays. En livrant 26 Rafale à l'export l'an passé, Dassault Aviation a vu son chiffre d'affaires bondir de 44 % à 7,3 milliards d'euros. Thales affiche, lui, une rentabilité opérationnelle record de 14 % dans ses activités de défense et sécurité. Selon le Sipri, la France a livré des armes à 75 États entre 2015 et 2019. L'Égypte, le Qatar et l'Inde sont les trois principaux clients captant 54 % des exportations françaises. "Les livraisons de l'avion de combat Rafale [de Dassault Aviation] à ces trois pays représentaient près d'un quart des exportations d'armes françaises en 2015-2019", détaille le Sipri. Le Moyen-Orient compte pour 52 % des exportations françaises, devant l'Asie et l'Océanie (30 %). Et les pays européens pèsent de plus en plus : ils ont représenté 25 % des exportations en 2018 contre 10 % en moyenne les années précédentes. https://www.usinenouvelle.com/article/la-france-troisieme-exportateur-mondial-d-armes.N941696

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