1 février 2023 | International, Aérospatial

L3Harris Viper Shield Electronic Warfare System achieves Critical Design Review milestone

The AN/ALQ-254(V)1 Viper Shield successfully completed a CDR milestone with partner Lockheed Martin and the U.S. Air Force observing

https://www.epicos.com/article/753428/l3harris-viper-shield-electronic-warfare-system-achieves-critical-design-review

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  • Lockheed Martin Uses Virtual Reality And 3D Printing To Reduce Injuries On The Job

    29 mars 2019 | International, Autre défense

    Lockheed Martin Uses Virtual Reality And 3D Printing To Reduce Injuries On The Job

    BETHESDA, Md., March 26, 2019 – Four Lockheed Martin (NYSE: LMT) teams advance as finalists in the 22nd Applied Ergonomics Conference Ergo Cup® Competition, which showcases innovation aimed at reducing risk of injury in the workplace. Lockheed Martin will be one of over 20 companies discussing their ergonomic innovations in the Ergo Cup Competition. “With more than 100,000 employees developing a broad portfolio of products and solutions for national defense, cyber security, logistics and energy we must modernize our approach to ergonomics, safety and health,” says Lockheed Martin Fellow and Corporate Ergonomist Anthony Banks. “This requires new techniques and tooling. Some examples of this include 3D printed tools for helicopter assembly, performing ergonomic evaluations in a virtual environment, and drastically improving manufacturing applications. By focusing on safety, wellbeing and improved business practices, Lockheed Martin is committed to prioritizing sustainability to innovate for the future.” The Lockheed Martin teams competing include: Virtual Reality to Enhance Ergonomics Integration, THAAD Missile Canister Shock Isolator Compression Tool, Weightless High Torque Motor Application for F-35 Vertical Tails Installation and the CH-53K helicopter harness installation from Sikorsky, a Lockheed Martin company. Since their implementation in the workplace, each of the team's ergonomic innovations have yielded outstanding sustainability results and are projected to deliver continued cost savings. The 22nd Applied Ergonomics Conference (AEC) convenes in New Orleans March 25-28 for the annual meetup and exchange of ideas and best practices in ergonomics, healthcare, safety, human resources and risk management. To learn more about #AppliedErgo2019, visit www.iise.org/AEC. https://news.lockheedmartin.com/2019-03-26-Lockheed-Martin-Uses-Virtual-Reality-and-3D-Printing-to-Reduce-Injuries-on-the-Job

  • Grand entretien avec Joël Barre, délégué général pour l'armement

    1 mars 2019 | International, Aérospatial, Terrestre, C4ISR

    Grand entretien avec Joël Barre, délégué général pour l'armement

    ANNE BAUER « Le spatial devient un champ de confrontation potentiel » « La course à l'armement a bel et bien repris », a affirmé Florence Parly lors des voeux aux armées. Partagez-vous ce constat ? Avec une remontée en puissance des moyens à 295 milliards d'euros sur la période 2019-2025, la loi de programmation militaire promulguée en juillet dernier répond aux conclusions de la revue stratégique menée pendant l'été 2017. Celle-ci identifiait un renforcement des menaces, tant du côté du terrorisme que des stratégies de puissance des grandes nations, lesquelles investissent massivement dans les technologies de rupture. Plutôt que d'une course aux armements, je parlerais surtout d'une dynamique liée à l'apparition de technologies sur lesquelles il faut s'interroger. Quelles sont-elles ? On peut par exemple mentionner le planeur hypersonique évoqué par la ministre des Armées, Florence Parly. Actuellement, l'armée française est capable de pénétrer les systèmes de défense ennemis avec des dispositifs conventionnels, tels que des missiles de croisière, mais elle n'a pas de capacité hypersonique. Nous devons faire preuve d'anticipation et étudier cette technologie. La DGA a dans ce cadre notifié un contrat d'études à ArianeGroup, qui s'appuiera sur les recherches de l'Onera, pour réaliser un prototype de planeur hypersonique à l'horizon de 2021. Envoyé par une fusée-sonde, le planeur non propulsé doit ensuite rebondir sur les couches de l'atmosphère à une vitesse supérieure à Mach 5. Face à la prolifération des missiles de longue portée, les Européens ont-ils conservé leurs capacités d'intervention ? Oui, bien sûr. On l'a démontré en Syrie avec l'opération Hamilton de bombardement des caches chimiques en avril 2018. Nos opérations au Levant nous ont d'ailleurs permis de mesurer les progrès des défenses russes. Logiquement, les défenses s'améliorent dans le temps et il faut s'y préparer. La Chine et la Russie auraient mené des premières expériences sur la technologie hypersonique, mais l'enjeu se pose à l'horizon 2030-2040. Est-il exact qu'avec ce bond hypersonique n'importe quel point du globe pourrait être atteint en moins d'une heure ? On n'en est pas là. Le premier démonstrateur doit servir à évaluer les capacités de ces technologies et à étudier comment les maîtriser. Maîtriser la manoeuvrabilité à très grande vitesse dans des couches de la basse atmosphère exige d'inventer un nouveau système de guidage et de trouver de nouveaux matériaux résistant à la chaleur, ce qui pose d'immenses défis. L'intelligence artificielle va-t-elle bouleverser la défense ? L'IA est d'abord un facteur d'augmentation des capacités des systèmes d'armes existants pour permettre aux soldats de gagner en performance, précision et protection. Par exemple, les développements autour du « Man Machine Teaming » menés avec Dassault consistent avec l'IA à bord du cockpit à aider le pilote à analyser au mieux toutes les données pour réagir à toutes les situations. Dans le domaine terrestre, l'IA va nous permettre de déployer davantage de robotique, par exemple pour la détection des mines improvisées. Dans le domaine naval, l'IA va ainsi permettre de robotiser la chasse aux mines. Faut-il craindre le développement de « robots tueurs » ? Non, la France a une position très claire : elle ne se lancera pas dans le développement de « robots tueurs », capables de tuer de leur propre initiative. La ministre Florence Parly l'a répété plusieurs fois, l'homme doit rester dans la boucle. L'IA aidera l'homme mais ne le remplacera pas. Et comment se prémunir face aux activités balistiques de pays de plus en plus menaçants ? Face à des nations au comportement inquiétant qui respectent de moins en moins les accords internationaux, nous devons nous préparer. Par le passé, plusieurs systèmes d'alerte ont été testés pour surveiller les départs de missiles, comme les satellites Spirale de détection infrarouge ou les radars à très longue portée pour suivre la trajectoire des missiles. Un rapport sur la politique spatiale militaire a été rendu en janvier au président de la République et il devrait en tirer des conclusions. Détecter un départ de missile, le suivre et, le cas échéant, savoir l'intercepter, réclame des développements capacitaires différents. Faut-il les mener tous ? Seul ou avec les Européens ? Comment conjuguer un système d'alerte avec la dissuasion nucléaire ? Autant de réflexions stratégiques importantes. Notre politique spatiale militaire doit-elle être complétée dans d'autres domaines ? La LPM prévoit 3,6 milliards d'euros pour le renouvellement complet de nos satellites optiques, d'écoute électromagnétique et de télécommunication. Il faudra aussi améliorer notre surveillance de l'espace, car le spatial devient un champ de confrontation potentiel entre les différentes puissances. Il faut donc, par exemple, pouvoir discriminer dans l'espace un débris d'un objet potentiellement hostile. Pour rester dans la course, il n'y a pas d'autre solution que la coopération européenne. Nous avons ainsi proposé aux Allemands de définir ensemble une feuille de route dans le domaine de la surveillance de l'espace. Et nous proposerons ensuite à la Commission européenne des projets réunissant plusieurs Etats pour avoir accès aux financements du futur Fonds européen de défense. Qui a des capacités de destruction des satellites ? Les Chinois ont détruit un de leurs propres satellites avec un de leurs missiles pour montrer qu'ils savaient le faire. Les Etats-Unis ont conduit des expériences équivalentes. Rappelons que le budget spatial public des Etats-Unis s'élève entre 50 et 60 milliards de dollars par an, en incluant la Nasa, l'US Air Force et les « black programs ». L'Europe peut-elle rester dans la course face à de tels montants ? Pour la première fois, le budget européen va pouvoir contribuer au financement de programmes de défense. Les enjeux sont donc très importants. Il faudra financer de réels besoins. Dans le cadre des actions préparatoires, des premiers contrats seront passés à la fin de l'année 2019 pour une première tranche de financement de 500 millions d'euros. Dans ce cadre, nous soutenons par exemple avec l'Allemagne le financement de l'Eurodrone moyenne altitude longue distance, un projet d'Airbus, Leonardo et Dassault, ou bien le programme Essor de radio logicielle de nouvelle génération, dont Thales est le leader et qui réunit les Allemands, les Belges, les Italiens, l'Espagne et la Suède. L'idée est de faire naître un standard de radio logicielle indépendant et interopérable avec celui de l'Otan. Nous promouvons aussi d'autres projets, par exemple autour des HAPS, High Altitude Pseudo-Satellite, concept qui correspond au ballon Stratobus de Thales et au Zephyr d'Airbus. Combien va investir la DGA cette année ? La première mission à la DGA est d'équiper les forces armées le plus efficacement possible. Cette année, nous allons engager 14 milliards d'euros, soit 10 % de plus qu'en 2018, sur plus d'une centaine de programmes d'armement. Premier investisseur public, notre responsabilité est donc très grande. Comme la ministre Florence Parly l'a indiqué, il nous faut « faire mieux avec plus ». C'est pourquoi la DGA veut améliorer ses méthodes d'acquisition, avec des processus moins « linéaires » pour aller vers plus de collaboration entre la DGA, les armées et les industriels dès le stade de la définition des besoins. Nous discutons aussi avec l'industrie pour inclure des clauses de disponibilité dans les contrats ainsi que pour trouver le bon équilibre afin d'obliger chacun à mieux maîtriser les délais et les coûts, et les risques. Les exportations sont-elles en hausse ? Il est trop tôt pour avancer un chiffre précis, mais nous devrions atteindre un chiffre comparable à l'année 2017, soit environ 7 milliards d'euros. Il faut garder à l'esprit que cela représente 30 % du chiffre d'affaires de notre industrie de défense et est indispensable pour entretenir les chaînes de production à la cadence nécessaire. L'an dernier, la DGA a mis au point un nouveau dispositif de soutien à l'exportation avec le contrat Camo négocié avec les Belges. La Belgique nous délègue la gestion du contrat au sein d'un partenariat gouvernemental entre la France et la Belgique. De plus en plus, les pays acheteurs de matériel de défense réclament des garanties en performance et en fiabilité, que seule la DGA peut leur apporter. Veto américain, gel allemand, la France n'a-t-elle pas de plus en plus de mal à exporter son matériel de défense ? Pour limiter notre exposition aux réglementations étrangères qui peuvent contraindre nos exportations d'armements, quand ceux-ci contiennent des composants de pays tiers, nous menons, sur certains composants stratégiques, une politique de souveraineté européenne que nous défendons dans le contexte du Fonds européen de défense. Et à l'échelon européen, je souhaite que nous nous mettions d'accord sur les règles d'exportation des matériels développés en commun, notamment entre la France et l'Allemagne. Les accords Debré-Schmidt, qui permettent à chacun d'exporter selon sa réglementation nationale, sont une excellente source d'inspiration et doivent être actualisés. A l'heure où nous développons des programmes ambitieux en coopération franco-allemande, notamment pour le système de combat aérien du futur et le char du futur, il est urgent de trouver des règles du jeu communes. Les lettres d'intention signées par les ministres de la défense française et allemande en octobre 2018 sur ces deux programmes contiennent déjà une clause d'exportabilité. Elle doit être améliorée, développée et précisée dans les prochains contrats qui seront conclus en juin pour un démonstrateur d'avion de combat et le démonstrateur du moteur du futur. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0600724272068-grand-entretien-avec-joel-barre-delegue-general-pour-larmement-2248854.php

  • New F-35 Modification Facility Brings Strategic Capability to FRCE

    20 août 2019 | International, Aérospatial

    New F-35 Modification Facility Brings Strategic Capability to FRCE

    By Heather Wilburn, Fleet Readiness Center Public Affairs MARINE CORPS AIR STATION CHERRY POINT, N.C. (NNS) -- A recently-completed facility will bring a new strategic capability to Fleet Readiness Center East (FRCE) and the F-35B Lightning aircraft line next year. When the new F-35 laser shock peening facility is fully operational in 2020, FRCE will be one of two sites in the world that will use laser technology to strengthen F-35 structural components. Construction of the $6 million facility wrapped in July, and the contractor providing the laser shock peening service will take occupancy in early spring, said Donald Jeter, portfolio manager of the F-35 aircraft line at FRCE. Under that timeline, the first F-35 aircraft inducted for laser shock peening would arrive in June to undergo the validation and verification process, and then the depot will begin work on the remainder of the F-35 fleet that requires the laser shock peening modification. “This facility is a big get for Fleet Readiness Center East,” Jeter said. “It's very exciting. Being able to perform this laser shock peening process adds a huge strategic capability to our depot. With it, we'll be able to provide a critical support element to the F-35B program and act as a force multiplier for the fleet and the warfighter.” The 16,000-square-foot facility comprises two bays, where the actual laser shock peening process will take place, and a connected area that will house the laser generator. The state-of-the-art laser shock peening process will allow FRCE to conduct heavy structure modifications that will strengthen areas of the F-35's airframe without disassembling the entire aircraft, said Matthew Crisp, the F-35 Joint Program Office site lead at FRCE. The process strengthens designs without adding additional metal or weight, which increases the aircraft's life and reduces maintenance costs. It has been used on the F-22 Raptor and in manufacturing aircraft components including engine blades, Crisp said, but has never been employed for the F-35. Now, FRCE will use the technology to help Marine Corps aircraft reach their full life limit. Aircraft maintenance professionals at FRCE will conduct prep work and some structural modification on the F-35s inducted into the depot, then turn them over to the contractor running the laser shock peening operations. The contractor will complete the process to strengthen the bulkheads and airframes, and FRCE will put the jets back together, perform all the flight test functions and get them back out to the fleet, Jeter said. The end result is aircraft that have been reinforced without adding additional weight, which would reduce the fighter's capabilities by limiting its fuel or weapons carrying capacity. Shot peening is not a new process, Crisp said, but laser shock peening is unique in that it produces a uniform result across the surface being treated. In laser shock peening, the surface of the media is first coated with an ablative layer and covered with a water tamping layer. A high-energy laser beam is fired at the metal, which creates an area of plasma on the metal's surface. The impact creates a shock wave, which travels through the metal, and compressive residual stresses remain. This compression helps improve the metal's damage tolerance, fatigue life and strength. “(Shot peening) has been done for decades,” he explained. “It's where you take a solid media, like glass beads or some kind of metal, and you hit the surface of an item – kind of like sandblasting. You just randomly throw it at the surface, and it creates all these surface dimples. What you get is a very inconsistent surface profile, because it's not controlled.” With laser shock peening, the process is very controlled, Crisp said. “They create a laser beam that's actually square, and the intensity is consistent across the entire laser beam – it's the exact same at the very edge of the beam as it is in the middle,” he said. “They come up with a grid pattern and stack the squares up right beside each other, so the entire surface of the part is completely uniform. You don't have the weak spots in between these areas that would then induce cracking later.” Jeter said he expects laser shock peening to be a main focus of the F-35 line for the next four to five years. Once the first two aircraft have undergone the validation and verification process, it will be a sprint to the finish to complete modifications on the remainder of the F-35B fleet that requires this treatment. “After that val/ver event, the aircraft will basically be nose-to-tail,” Crisp added. “We'll completely fill every aircraft stall that's here, and for the next five years, when one leaves another will come in. That's critical, because this process has to be done on every single airplane that requires it.” The workload does not include every F-35 ever produced, although it does include B and C models, and also encompasses F-35 aircraft owned by partner nations. FRCE will focus solely on the B variant, while Ogden Air Force Base in Utah will work on the F-35C models and take any F-35B overflow. After the first round of laser shock peening modifications, what comes after that is still to be determined, Crisp said. “I'm sure there will be some follow-on work,” he said. “And beyond the F-35 program, this is a little bit exciting, because this really is cutting-edge technology and we have it here at FRCE. I think maybe within the engineering community here, as people find out more about it, they may open additional discussions about how we could implement this on other aircraft lines. We might find a future capability we want to look at.” FRCE is North Carolina's largest maintenance, repair, overhaul and technical services provider, with more than 4,200 civilian, military and contract workers. Its annual revenue exceeds $720 million. The depot generates combat air power for America's Marines and Naval forces while serving as an integral part of the greater U.S. Navy; Naval Air Systems Command; and Commander, Fleet Readiness Centers. https://www.navy.mil/submit/display.asp?story_id=110618

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