11 juin 2018 | Local, Naval

Joint Support Ship cost up by $1.1 billion - taxpayers will now spend $3.4 billion on project

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN

Taxpayers will have to spend $1.1 billion extra on new navy supply ships that are going to be built starting this summer, the Liberal government now acknowledges.

Previously the cost of building the two ships at Seaspan shipyards in Vancouver, BC had been pegged at $2.3 billion.

But the government ordered a review of that cost figure and in an email to Postmedia, Procurement Minister Carla Qualtrough's office now confirms the cost for the Joint Support Ships, or JSS, is set at $3.4 billion.

Pat Finn, the head of procurement at the Department of National Defence, said the new price tag came as the government decided to do an additional analysis of the project and include other items it had not previously included.

In some cases equipment for the ship has been purchased so there are better costs available on those items, Finn said in an interview Monday. Also taken into account was new infrastructure and the delays with the program, which, in turn, drove up the price as the cost of material increased over the years.

“The build period has changed quite dramatically,” Finn acknowledged.

At one point, the first ship was supposed to arrive in 2012. That has been changed a number of times with the government later hoping for a 2018 delivery and then a 2019 arrival for the first vessel.

The Department of National Defence is now hoping for the delivery of the first ship in 2022 or 2023. Construction will begin at Seaspan this summer of some initial portions of the vessels, Finn said.

The government hopes starting construction on the supply ships in the summer will head off any potential layoffs of skilled employees at Seaspan.

Finn said of the $3.4 billion figure, the actual cost of building the two ships accounts for a little more than 60 per cent.

Finn said the new costing model for the JSS is more akin to the one used by the parliamentary budget office. That office had an even higher estimate for JSS when it concluded in 2013 that the final tally for taxpayers would be $4.13 billion.

The Joint Support Ships are critical for the navy as they provide fuel and supplies for warships at sea.

But the Royal Canadian Navy retired its last two aging supply ships years ago. One was damaged beyond repair in a fire. The other was removed from service because of excessive corrosion. The Canadian military had been relying on the Spanish and Chilean navies to provide supply vessels for short periods of time to help fuel up Canadian warships at sea.

Because of the delays in the JSS program, the previous Conservative government entered into agreement with Davie Shipyards in Quebec to lease a commercial vessel that had been converted into a refueling and supply ship.

That ship, the MV Asterix, is at the heart of federal government's case against Vice Admiral Mark Norman. Norman has been accused by the RCMP of warning Davie in the fall of 2015 that Liberal cabinet ministers wanted to derail the Asterix project.

Word of the Liberal plan leaked out to the news media and the resulting embarrassment forced the Trudeau government to back down on its plans and the conversion of Asterix proceeded.

Norman was put under investigation and Prime Minister Justin Trudeau predicted on two occasions the officer would ultimately end up in court.

In March, the RCMP charged Norman with a single count of breach of trust. A date for the trial has not yet been set.

Norman denies the charge and has said he looks forward to clearing his name.

Asterix is considered a rare achievement in Canadian military procurement in that it was delivered on time and on budget. The supply ship is now at sea with Royal Canadian Navy and is headed to a major military exercise to begin later this month.

http://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/joint-support-ship-cost-up-by-1-1-billion-taxpayers-will-now-spend-3-4-billion-on-project

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Le gouvernement travaille activement avec ses partenaires étrangers au développement et à l’utilisation responsables de l’IA. Le Canada s’est forgé, à l’échelle internationale, une excellente réputation de chef de file en matière de développement éthique et responsable de l’IA et il continue de collaborer avec ses partenaires, particulièrement ceux du G7 et de l’Organisation de coopération et de développement économiques, pour favoriser l’adoption d’approches prudentes et interopérables en matière de réglementation touchant l’IA. Le Canada a participé étroitement à la création du Partenariat mondial sur l’intelligence artificielle, composé de 29 pays membres qui collaborent pour orienter le développement de technologies fondées sur l’IA en fonction de valeurs communes. Le gouvernement a, en outre, entrepris des discussions avec des pays qui partagent la même vision en ce qui concerne l’avenir de la réglementation régissant l’IA à l’échelle mondiale. Le gouvernement a de sérieuses préoccupations concernant les risques possibles liés à un déploiement rapide et à grande échelle de systèmes générateurs d’IA de pointe et il entend bien atténuer le plus possible ces risques. Voilà pourquoi le gouvernement a proposé la nouvelle Loi sur l’intelligence artificielle et les données, qui vise à atténuer les risques possibles liés à l’IA, à établir la confiance envers l’industrie canadienne de l’IA et à protéger les Canadiens contre toute une variété de menaces. Ainsi, on s’assurera que le Canada est l’endroit au monde où l’IA est utilisée de la façon la plus responsable et fiable qui soit. Aujourd’hui, la secrétaire parlementaire du ministre du Tourisme et ministre associé des Finances, Rachel Bendayan, a souligné, au nom du ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, l’honorable François-Philippe Champagne, l’octroi de plus de 124 millions de dollars à l’Université de Montréal, par l’entremise du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (le fonds Apogée), pour l’initiative IAR3 : nouveaux paradigmes pour une intelligence artificielle robuste, raisonnante et responsable et son adoption. Cet octroi s’inscrit dans l’investissement de 1,4 milliard de dollars visant à soutenir 11 initiatives de recherche d’envergure. Il permettra à des chercheurs universitaires canadiens de mettre à profit les forces de leurs secteurs de recherche et d’attirer des capitaux ainsi que des talents de calibre international. L’initiative IAR3 donnera lieu à la mise en place de nouvelles stratégies quant à la conception et à l’adoption responsables de l’IA dans des domaines d’importance pour le Canada, comme la découverte de molécules, l’amélioration des systèmes de santé et l’atténuation des changements climatiques. En soutenant des initiatives qui visent, entre autres, à traiter et à prévenir les maladies cérébrales et cardiaques, à réduire les émissions de carbone dans nos communautés ainsi qu’à faire des découvertes grâce à l’utilisation responsable de l’IA, à la robotique et à l’informatique de pointe, le fonds Apogée aide les chercheurs canadiens à faire œuvre de pionniers dans le monde entier et à renforcer les écosystèmes d’innovation sociale et technologique du Canada. Citations « La recherche actuelle donnera lieu aux innovations de demain. Dans le domaine de l’intelligence artificielle, le Canada peut compter sur quelques-uns des meilleurs chercheurs de la planète. Notre pays est aussi l’un des premiers à s’être doté d’une stratégie en matière d’IA entièrement financée. C’est avec grande fierté que notre gouvernement, par l’entremise du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada, est en mesure de se démarquer encore plus en investissant 124 millions de dollars dans la recherche pour une intelligence artificielle responsable. Le Canada poursuivra ses efforts pour maintenir sa position de chef de file de la recherche, de la gouvernance et de l’innovation en matière d’intelligence artificielle, notamment dans les domaines de la mise au point de médicaments, des technologies de la santé et de l’atténuation des changements climatiques. » – Le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, l’honorable François-Philippe Champagne « Les recherches menées à l’Université de Montréal sont déterminantes pour ce qui est de l’adoption responsable de l’intelligence artificielle. 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Grâce à la subvention du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada, l’Université de Montréal et ses partenaires seront en mesure de consolider le leadership qu’ils se sont bâti au fil des années. » – Le recteur de l’Université de Montréal, Daniel Jutras Faits en bref Créé en 2014, le Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada appuie les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens pour qu’ils deviennent des chefs de file mondiaux en recherche. Il aide les universités, les collèges et les écoles polytechniques du Canada à rivaliser avec les meilleurs établissements au monde pour attirer des talents et former des partenariats. Il les aide également à faire des découvertes révolutionnaires, à saisir de nouvelles occasions et à promouvoir leurs meilleurs atouts sur la scène internationale, ainsi qu’à mettre à exécution des stratégies institutionnelles avant-gardistes et transformatrices d’envergure. Au moyen d’un processus d’évaluation par les pairs des plus concurrentiels tenu tous les sept ans, le fonds Apogée investit environ 200 millions de dollars par année pour aider les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens qui ont été sélectionnés à transformer leurs principales forces en atouts de calibre mondial. Le fonds Apogée est un programme interorganismes géré par le Secrétariat des programmes interorganismes à l’intention des établissements, qui relève du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, pour le compte des trois organismes fédéraux de financement de la recherche : le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et les Instituts de recherche en santé du Canada. Les initiatives financées au titre du fonds Apogée sont sélectionnées à l’issue d’un processus indépendant, multidisciplinaire, international et concurrentiel d’évaluation par les pairs. La première phase de la Stratégie pancanadienne en matière d’intelligence artificielle a été lancée en 2017 en partenariat avec l’Institut canadien de recherches avancées (CIFAR) à la suite d’un investissement de 125 millions de dollars visant à créer un important bassin et un dynamique écosystème de talents canadiens. Cette phase comprenait la création de centres de recherches, d’innovation et de formation au sein des instituts nationaux d’IA. Dans le cadre du budget de 2021, le Canada a investi plus de 443 millions de dollars dans la deuxième phase de la Stratégie pour favoriser la commercialisation de l’IA et la recherche, établir des normes et attirer des personnes de talent. Depuis 2017, plus de 125 chercheurs de renom ont été recrutés dans le cadre du programme des chaires en IA Canada-CIFAR, la moitié d’entre eux provenant de l’étranger et ayant été attirés par la stratégie et les investissements du Canada. De plus, les instituts nationaux d’IA ont formé plus de 1600 étudiants de cycle supérieur et boursiers de recherches postdoctorales. Plusieurs sont des étudiants étrangers qui ont été attirés au Canada en raison de la renommée des instituts. Liens connexes Au sujet du fonds Apogée Résultats du concours 2022 du fonds Apogée Résultats du deuxième concours du fonds Apogée tenu en 2016 Résultats du premier concours du fonds Apogée tenu en 2015 https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2023/06/le-gouvernement-du-canada-investit-dans-la-recherche-sur-lutilisation-responsable-de-lintelligence-artificielle-menee-a-luniversite-de-montreal.html

  • Senate committee outlines recommendations for Canadian SAR

    7 décembre 2018 | Local, Aérospatial

    Senate committee outlines recommendations for Canadian SAR

    by Ken Pole As the Royal Canadian Air Force (RCAF) gears up for the late 2019 arrival of the first of 16 new Airbus CC-295 fixed-wing search and rescue (FWSAR) aircraft, a Senate committee said the government should consider the deployment of even more search and rescue (SAR) aircraft. “This would be a multi-year, mega-government dollar capital procurement project,” the Standing Senate Committee on Fisheries and Oceans acknowledged in an exhaustive new report, When Every Minute Counts: Maritime Search and Rescue. “Repositioning current aeronautical SAR assets is not feasible . . . at this time because the fleet is fully utilized.” The November 2018 report is based on more than two years of study and hearings, which wrapped up in October. While most witnesses were heard in Ottawa — including senior RCAF, Canadian Coast Guard (CCG) and Transport Canada officials, as well as representatives of several industries — the committee also travelled to bases across the country as well as visiting officials and SAR facilities in England, Ireland, Norway and Denmark. RCAF fixed- and rotary-wing assets are a key element in covering nearly 18 million square kilometres of land and sea. In 2017, the Joint Rescue Coordination Centres in Victoria, Trenton and Halifax responded to 10,003 SAR calls, 62 per cent of them maritime. The committee predicts that the number of calls in the Arctic will increase as global warming results in a longer ice-free navigation period. Accordingly, the report recommends that the CCG establish additional primary search and rescue stations in the Canadian Arctic, where no SAR aircraft are currently based. It also calls on the Department of National Defence (DND) to authorize a pilot project which would see private civilian helicopters provide coverage in the North as well as in Newfoundland and Labrador, where the committee says “a disproportionately high number” of SAR incidents occur. In addition to the possible privatization of some missions (CHC Helicopter and Cougar Helicopters Inc. appeared before the committee), the committee also said the CCG should be an independent agency. “The Canadian Coast Guard . . . is hampered by its position within Fisheries and Oceans Canada, which leaves it at the mercy of the department for funding and prevents it from receiving long-term sustainable capital funding.” SAR reaction times were also an issue for the committee. It was told that the CCG's official time is 30 minutes from when a helicopter or ship is tasked until it departs, but that it usually takes less than 15 minutes in the case of a surface vessel, because they are probably on the water already. In comparison, the RCAF has a reaction time of 30 minutes during a typical eight-hour working day five days a week, and two hours at all other times. “Like the CCG vessels, the Canadian Armed Forces (CAF) crews are often airborne sooner than the targeted reaction time, around 20 minutes during working hours and one hour outside of working hours,” the committee notes. “However, there was considerable discussion regarding what witnesses called the CAF's ‘two-tier reaction time.' It was stressed that the two-hour reaction time guaranteed outside of working hours had . . . resulted in missions becoming recovery-oriented instead of rescue-oriented. In their view, the CAF should have a reaction time of 30 minutes, 24/7/365, like the CCG.” DND witnesses told the committee the concern had been addressed “to the extent possible” and it was the responsibility of SAR commanders in the three regions to align the 30-minute reaction time to coincide with the observed periods of greatest maritime SAR activity. “Overall, the committee was told that shifting the regular weekly schedules without increasing the total number of hours worked has improved readiness.” It also was told it was impossible for the RCAF to maintain 30-minute readiness at all times because “pilots and SAR aircrew members have a limit on how long they can engage in flying operations.” Sustaining a 30-minute target would require crews to remain poised on flight lines. “The two-hour reaction time allows the pilots and aircrews to be ‘fresh' and able to deliver a SAR response for up to 14, 16, 18 hours, which allows them to then go longer, further distances. Moreover, the increased level of readiness would require more aircraft, add more maintenance and necessitate infrastructure upgrades.” The committee says that despite improvements, Canada's SAR reaction time is “not at par” with other countries. “Aeronautical SAR assets operated in the United Kingdom, Ireland, and Denmark respond within 15 minutes during the day and between 30 and 45 minutes at night.” The committee says that given current shortfalls in the RCAF's pilot, flight engineer and SAR Technician cadres, it isn't possible to impose similar reaction times on RCAF crews. But it says it hopes the RCAF will reconsider its reaction time targets once personnel shortages are addressed. https://www.skiesmag.com/news/senate-committee-outlines-recommendations-for-canadian-sar

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