1 août 2024 | International, Terrestre

Israel moves to strengthen defense production amid boycott calls

Calls to boycott the sale of ammunition to Israel have led to a push to strengthen production independence.

https://www.defensenews.com/global/mideast-africa/2024/08/01/israel-moves-to-strengthen-defense-production-amid-boycott-calls/

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    21 février 2020 | International, C4ISR, Sécurité

    DOD budget pushing house cleaning pivot to leading-edge technologies: out with the old and in with the new

    Budget has $9.8 billion for cyber security and cyber warfare; $3.2 billion for hypersonics; and $800 million for artificial intelligence (AI) research. THE MIL & AERO COMMENTARY – The 2021 U.S. Department of Defense (DOD) budget proposal is out, and it looks like several years of consistent growth driven by the Trump Administration may be leveling off. A closer look, however, may indicate a pivot to new leading-edge technologies and away from legacy systems. DOD leaders in their fiscal 2021 budget request to Congress, which was released last month, are asking for $705.4 billion, which is down about 1 percent from this year's level of $712.6 billion. Before you conclude that the Pentagon budget has turned flat, however, take a look at where the money's going. First, the bad news: procurement. This is where big-ticket items like aircraft, combat vehicles, and ships get funding. The DOD's procurement budget request for 2021 is $136.9 billion, down nearly 7 percent from this year's level of $147.1 billion. Contained in the DOD budget for procurement, moreover, are aggressive cuts to legacy weapons systems. The U.S. Air Force, for example, will retire 24 RQ-4 Block 20 and Block 30 Global Hawk Battlefield Airborne Communications Node (BACN) unmanned aerial vehicles (UAVs) and Block 30 multi-intelligence aircraft UAVs next year. Related: Army researchers eye fuel cells to provide power for infantry wearable electronics on the leading edge The U.S. Navy, meanwhile, will retire four Ticonderoga-class missile cruisers. The U.S. Army plans to eliminate 13 programs involving munitions, fires, protection, sustainment, mobility, mission command, and cyber programs that no longer are priorities. Additional cuts are expected. Next year the Navy plans no additional purchases of P-8A Poseidon maritime patrol aircraft; the MQ-4 Triton long-range maritime patrol UAV; or the MQ-25 Stingray UAV. The counterweight to these procurement cuts, however, is in the DOD's budget for research, development, test, and evaluation (RDT&E). As procurement spending is going down, the research budget is headed in the other direction. The Pentagon is asking for $106.6 billion, which is up about 1 percent from this year's research budget of $106.6 billion. Revealing is money is going. The DOD next year plans to spend $9.8 billion for cyber security and cyber warfare -- up 81 percent from $5.4 billion this year; $3.2 billion for hypersonics; $1.5 billion for military microelectronics and 5G networking; and $800 million for artificial intelligence (AI) research. Related: The new era of high-power electromagnetic weapons The Pentagon hypersonics budget will pay for research and development initiatives to develop the Army Long-Range Hypersonic Weapon; Navy Conventional Prompt Strike (CPS); and Air Force Advanced Rapid Response Weapon (ARRW). Research money also would include $1.1 billion for the Navy's next-generation frigate; $4.4 billion for the future Columbia-class ballistic missile submarine; and $464 million for two Large Unmanned Surface Vessels. The U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) is asking for $3.6 billion in 2021, a 3 percent increase from the $3.5 billion the agency received this year. DARPA has asked for $322.7 million for electronics research in 2021 -- a 1.7 increase from the 317.2 million the agency received this year. For sensors research, DARPA is asking for $200.2 million in 2021 -- a 26 percent increase over the $158.9 million the agency received this year. Related: Military researchers host industry day briefings for artificial intelligence (AI) and machine learning So, in short, it sounds like out with the old, and in with the new at the Pentagon. Four Navy cruisers that are at least 30 years ago are heading for retirement. Large, slow, and vulnerable Global Hawk UAVs are to be taken out of service, and Army programs no longer relevant amid today's global threats will be taken off the board. At the same time, enabling technologies considered crucial for today's military needs are on the upswing: hypersonic munitions and aircraft, cyber security and cyber warfare, 5G networking, and artificial intelligence. Perhaps the DOD has been due for a house cleaning like this for a while. Getting rid of obsolescent weapons systems makes sense because they're past the point of diminishing returns. Pumping more money into technologies for tomorrow's battlefield makes sense, too. These kinds of realignments are painful, yet essential. https://www.militaryaerospace.com/defense-executive/article/14168362/dod-budget-leadingedge-technologies-research

  • Italy places order for up to 24 Eurofighter Typhoon jets

    25 décembre 2024 | International, Aérospatial

    Italy places order for up to 24 Eurofighter Typhoon jets

    The new Italian Eurofighter Typhoon jets will replace Italian Tranche 1 versions that are currently in service. 

  • Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    24 mars 2020 | International, Naval

    Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724

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