17 novembre 2020 | International, Terrestre

Iron Dome batteries activated to fill cruise missile defense gap

By:

WASHINGTON — The Army has activated two air defense artillery batteries at Fort Bliss, Texas, that will evaluate the Iron Dome system for possible integration into the Army's air-and missile defense architecture, according to a Nov. 13 statement from the service.

The Iron Dome batteries will serve as an interim capability to fill a cruise missile defense gap. The change was mandated by Congress while the Army determines a long-term solution to combat such threats in addition to countering rockets, artillery, mortars and drones.

The Army took receipt of the first Iron Dome battery in Israel in October. The Fort Bliss-based units are expected to receive one Iron Dome system in December followed by the second in January.

To stand up the two batteries, the Army is converting a Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) battery and realigning resources from the U.S. Army Air Defense Artillery School — which is a part of the Army's force realignment initiative — according to the statement.

The move is expected to be complete by Nov. 16 and will result in 26 additional personnel at Fort Bliss. The Army chose Fort Bliss because of its proximity to White Sands Missile Range, New Mexico, where the systems will be tested and evaluated.

The units will spend the next year training, testing and working with the systems to prepare Iron Dome for operation deployment by late 2021.

Part of the effort, according to the statement, will include integration of Iron Dome into the Army's Integrated Battle Command System, which is the command-and-control element of the service's future Integrated Air and Missile Defense architecture. The IBCS system is expected to reach a production decision this month and will undergo an initial operational test and evaluation in 2021. Northrop Grumman is the prime contractor on the program.

The Army plans to make a final stationing decision on where and how to employ the systems “through either a forward stationing decision and/or Dynamic Force Employment concept in response to contingency operations” when the batteries reach operational deployment capability, the statement notes.

The service plans to hold a shoot-off to determine an enduring capability for its Indirect Fires Protection Capability Increment 2 system — designed to defend against C-RAM, UAS and cruise missile threats — in the spring of 2021. Elements of the Iron Dome system will be part of that shoot-off.

Iron Dome has a long track record of operational success in Israel and is produced through a partnership with Israeli-based Rafael and Raytheon.

Those companies are making plans to produce Iron Dome systems in the United States and are expected to pick a location for production by the end of the year.

https://www.defensenews.com/land/2020/11/13/iron-dome-batteries-activated-to-fill-cruise-missile-defense-gap/

Sur le même sujet

  • La France veut consacrer près de 300 milliards d'euros à sa défense en sept ans

    8 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    La France veut consacrer près de 300 milliards d'euros à sa défense en sept ans

    Par Challenges le 08.02.2018 à 08h45 Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Objectif de cet "effort budgétaire inédit", selon les propos du président Emmanuel Macron : porter les dépenses de défense de la France à 2% du PIB en 2025, conformément à ce que réclame l'Otan de la part de ses membres, selon cette LPM présentée jeudi matin en conseil des ministres dont l'AFP a obtenu les détails. Le budget des armées, de 34,2 milliards d'euros en 2018, va bénéficier d'une hausse de 1,7 milliard d'euros par an jusqu'en 2022, avant des "marches" de 3 milliards par an à partir de 2023. Soit après la prochaine élection présidentielle. Cette trajectoire budgétaire ascendante contraste avec les réductions d'effectifs et les tensions financières endurées pendant plus d'une décennie par l'institution militaire, avant un redressement amorcé après les attentats de 2015. Reste une incertitude quant à la forte hausse des moyens programmée en 2024 et 2025, au-delà du quinquennat Macron. Pour l'heure, ce sont 198 milliards d'euros de besoins, de 2019 à 2023, qui sont "couverts de manière ferme", souligne-t-on au ministère. Les montants des années suivantes seront "précisés" lors d'une actualisation de la LPM en 2021. L'ancien chef d'Etat-major des armées Pierre de Villiers a appelé à la vigilance mercredi soir sur France 3, en soulignant que la mise en oeuvre de ces projections budgétaires était rarement fidèle aux engagements initiaux. "Nous sommes sur une pente à 1,7 milliard jusqu'en 2022 et ensuite la pente est à 3 milliards à partir de 2023 (...) Evidemment, nous avons l'expérience, il faudra être vigilant" sur l'exécution de ces engagements, a lancé le général, qui a démissionné en juillet 2017 après un conflit avec le chef de l'Etat en raison de coupes budgétaires. Le projet de LPM érige en priorités l'amélioration du quotidien du soldat et à la modernisation d'équipements à bout de souffle, alors que la France est engagée tous azimuts, au Sahel (opération Barkhane), au Levant (Chammal) et sur le territoire national (Sentinelle). Livraisons accélérées et augmentées Après quelque 60.000 suppressions d'effectifs entre 2005 et 2015, le ministère des Armées ambitionne de créer quelque 6.000 postes d'ici à 2025, en particulier dans la cyberdéfense (1.500) et le renseignement (1.500). Pour améliorer la condition des quelque 200.000 militaires français et les fidéliser, la LPM augmente nettement les crédits consacrés aux petits équipements (+34% sur 2019-23) -- gilets pare-balles, treillis... --, à l'entretien du matériel (+30%) et aux infrastructures (+71%), longtemps négligés. Deuxième grand axe : la modernisation accélérée des matériels existants, nombreux à aligner plusieurs décennies de service, a été privilégiée, et l'accent mis sur les capacités de renseignement (avions, drones, satellites...) susceptibles d'accroître l'autonomie stratégique française et européenne. L'armée de Terre va voir le renouvellement accéléré de ses véhicules blindés médians (programme Scorpion), dont 50% des nouveaux modèles seront livrés d'ici à 2025. Les fameux VAB, 40 ans au compteur, seront remplacés par les blindés Griffon, dont 150 exemplaires supplémentaires seront commandés. La Marine obtient quatre pétroliers ravitailleurs nouvelle génération, dont deux d'ici à 2025, un b'timent spécialisé dans le recueil de renseignement, et 19 patrouilleurs au lieu des 17 prévus pour surveiller les zones économiques exclusives françaises outre-mer. L'armée de l'Air se voit allouer 8 avions légers de surveillance, et le renouvellement accéléré de sa flotte quinquagénaire d'avions ravitailleurs Boeing KC-135 par 15 A330 MRTT, dont 12 auront été livrés en 2023. Pour préparer l'avenir, la France va lancer des études sur le remplacement de son unique porte-avions, qui sera retiré du service vers 2040. Seront également financées des études sur le système de combat aérien du futur et sur le char de combat du futur. Sur le plan de la dissuasion nucléaire, clé de voûte de la défense française, les travaux de renouvellement des deux composantes (navale et aérienne) seront engagés au cours du quinquennat. Budget estimé : 37 milliards d'euros entre 2019 et 2025. (Avec AFP) https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-veut-consacrer-pres-de-300-milliards-d-euros-a-sa-defense-en-sept-ans_566000

  • Oshkosh robot trucks could roll out to the Army by 2020

    9 octobre 2018 | International, Terrestre

    Oshkosh robot trucks could roll out to the Army by 2020

    By: Kelsey Atherton Simple subtraction explains the impetus for self-driven supply convoys: For every autonomously driven vehicle, that's one fewer human driver needed, and likely one or two fewer human escorts in the vehicle itself. Fewer humans means fewer injuries and deaths whenever the convoy encounters violence, like an ambush or an improvised explosive device. Then there is multiplication: Take the driver and the escorts out of each truck in a seven-truck convoy, and that's suddenly 14 to 21 soldiers that can do other tasks, like escorting the convoys in other, better-armored vehicles, ones that can withstand IEDs or provide more protection from small arms fire. In June, the U.S. Army awarded Oshkosh Defense $49 million to integrate autonomous technology with the Palletized Load System vehicles in order to put robotics in the driver's seat. “It actually drives very, very human,” says John Beck, senior chief engineer for unmanned systems at Oshkosh. “The motion control algorithms that are done both on the by-wire side and on the autonomy side drive this vehicle much like a person does.” Full article: https://www.c4isrnet.com/digital-show-dailies/ausa/2018/10/07/oshkosh-robot-trucks-could-roll-out-to-the-army-by-2020/

  • Damen unveils new Multi-Purpose Support Ship (MPSS) to meet todays defence and security challenges

    28 février 2024 | International, Naval

    Damen unveils new Multi-Purpose Support Ship (MPSS) to meet todays defence and security challenges

    Latest Damen design an answer to increased use of drone technology at sea.

Toutes les nouvelles