Huntington Ingalls Industries Awarded More Than $930 Million to Build Two More National Security Cutters for U.S. Coast Guard

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  5 novembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

  Armed Services committees and the election: Here’s what we know

  By: Joe Gould WASHINGTON — As results for key congressional races and the presidency continue to roll in, several Senate Armed Services Committee leaders are still battling tough races. But here is what we do know, as of mid-morning Thursday. This story will be updated as results come in: • Georgia Republican Sen. David Perdue, the chairman of the Seapower Subcommittee, is leading in his race against Democrat John Ossoff, potentially denying Democrats what would have been a vital pickup for seizing control of the Senate. It's also too soon to call the race between Vice President Joe Biden and President Donald Trump for the state's 16 electoral votes. Democratic hopes of controlling the Senate for the first since 2015 appear to be slipping. To win the Senate, Democrats would have to gain three seats if Biden prevails against Trump, or four seats if Trump wins the election. • Senate Military Personnel Subcommittee Chairman Thom Tillis, R-N.C., led challenger Cal Cunningham by 96,000 votes and declared victory Wednesday, but Cunningham refused to concede while more than 117,000 absentee ballots were outstanding. • Senate Readiness and Management Support Subcommittee Chairman Dan Sullivan, R-Alaska, on Thursday morning appeared to have a 60,000-vote lead on Independent challenger Al Gross, with only half the votes counted. However, Alaska's tally is expected to take days as officials count mail-in ballots. • Sen. Joni Ernst, R-Iowa, had a similarly tough race but denied Democrats what would have been a key pickup for seizing control of the Senate. Ernst, the Emerging Threats and Capabilities Subcommittee chair and a member of Senate Republican leadership, is the first female combat veteran elected to Congress. • Michigan Democrat Sen. Gary Peters, the ranking member on the Emerging Threats and Capabilities Subcommittee, prevailed Wednesday night in a razor-tight race against businessman and Iraq war veteran John James. Hours after Biden defeated Trump in the state, Peters was roughly 60,000 votes ahead. • Senate Armed Services Committee Chairman Jim Inhofe, R-Okla., and ranking member Sen. Jack Reed, D-R.I., both won reelection handily, and if the Senate stays in Republican hands, they will almost certainly stay in their leadership roles. Senate Airland Subcommittee Chairman Tom Cotton, R-Ark., had no Democratic challenger and won reelection. Senate Cybersecurity Subcommittee Chairman Mike Rounds, R-S.D., also won. New Hampshire Democrat Sen. Jeanne Shaheen, another senior member of SASC, easily won a third term. All three were projected wins. • SASC Republican Sen. Martha McSally, the Air Force's first female fighter pilot to fly in combat, lost to Mark Kelly, an astronaut and retired Navy captain, in Arizona. She has yet to concede, however. • SASC Democrat Sen. Doug Jones, D-Ala., lost decisively to Republican opponent Tommy Tuberville. • House Armed Services Committee Chairman Adam Smith, D-Wash., soundly defeated his Republican challenger, while two lead Republican contenders to replace Rep. Mac Thornberry, R-Texas, as ranking member ― Reps. Mike Turner of Ohio and Mike Rogers of Alabama ― also won reelection. • Two Democratic freshmen on HASC ― Reps. Kendra Horn of Oklahoma and Xochitl Torres Small of New Mexico ― lost seats that Democrats flipped in 2018. As of Wednesday afternoon, Rep. Anthony Brindisi, D-N.Y., was trailing his Republican challenger but refused to concede until absentee ballots are counted. • Nebraska Republican Rep. Don Bacon, a former Air Force one-star general whose policy positions sometimes clashed with Trump, carved out a reelection win. Because Nebraska awards its electoral votes by congressional district, NE-02 was also a crucial win for Biden. • Rep. Elissa Slotkin, D-Mich., won reelection. Slotkin, a former CIA analyst and Pentagon official, is at the top of an influential class of Democratic freshmen who have hands-on national security experience. Addressing supporters Wednesday, she reportedly said Biden will win in Michigan, but there may be a tumultuous transfer of power. https://www.defensenews.com/congress/2020/11/04/armed-services-committees-and-the-election-heres-what-we-know/

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  26 août 2021 | International, Aérospatial

  Lockheed: New missile defense system upgrades will produce more comprehensive battlefield picture

  New upgrades are afoot for the Command Control Battle Management and Communications system linking missile defense capability globally.

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  9 décembre 2019 | International, Aérospatial

  Aérospatial : l'Onera, une pépite oubliée ?

  L'organisme de recherche sur lequel repose en grande partie la dissuasion nucléaire, la surveillance spatiale ou le renseignement des armées, se débat avec un budget contraint et des injonctions contradictoires. Par Anne Bauer Publié le 9 déc. 2019 à 8h00 L'Office national d'études et de recherches aéronautiques (Onera) est-il négligé ? Après une audition de son président, Bruno Sainjon, le Sénat a appelé le ministère des Armées à doter les finances de ce spécialiste de la recherche aéronautique de moyens à la hauteur des ambitions. Les « appels répétés pour doter enfin l'Onera de moyens au niveau de son excellence scientifique et technologique n'ont toujours pas été entendus par le gouvernement », s'indigne la Commission des affaires étrangères et de la défense. La querelle n'est pas nouvelle mais elle prend un mauvais tour. Dans le monde aéronautique, spatial et de défense, l'Onera (1910 salariés dont 291 doctorants) est jugé comme un outil stratégique. Les pales du nouvel hélicoptère léger des armées (le Guépard d'Airbus) sont issues de sa recherche. La France lui doit aussi son système de surveillance de l'espace (Graves). Quant à la dissuasion nucléaire, elle ne serait pas crédible sans les recherches menées par l'Onera sur les statoréacteurs et désormais les superstatoréacteurs (vitesse supérieure à Mach 6). Dans le renseignement enfin, les armées exploitent les techniques radars de l'Onera pour voir par tous les temps et au-delà de la ligne d'horizon. Budget bloqué Pourtant malgré ce palmarès, la subvention (106 millions d'euros prévus en 2020) versée à l'établissement par le Ministère des Armées, n'a quasiment pas varié depuis 2015. En outre, l'établissement, qui a fêté ses 70 ans, voit ses effectifs et ses salaires plafonner à un niveau inférieur à 2015, ce qui le met en danger pour garder ses chercheurs de haut niveau. Alors que l'enveloppe budgétaire consacrée à la recherche est en nette hausse dans le projet de budget 2020, la mise à l'écart de l'Onera est surprenante. Sa recherche étant duale : militaire et civile, l'Office est mal défendu au sein de la Défense, qui souhaiterait que les industriels (Safran, Thales, Airbus, etc.) mettent davantage au pot. En 2019, l'Onera a décroché 120 millions d'euros de contrats en sus de sa subvention, portant ainsi son budget à 235 millions d'euros. Revoir le contrat d'objectifs « L'Onera est une pépite technologique de niveau mondial mais cela ne pourra durer si nous continuons à le sous-doter alors que nos partenaires et concurrents accélèrent leur effort », avertit Christian Cambon, président de la Commission Affaires étrangères et défense au Sénat. De fait, la multiplication des projets prévus par le ministère des Armées plaide pour une renégociation du contrat d'objectifs de l'Onera, qui remonte à 2016. Avant que le gouvernement ne décide de renforcer sa lutte anti drone , ne crée un commandement militaire de l'espace ou ne décide de réaliser en coopération avec l'Allemagne le système de combat aérien du futur (programme Scaf). C'était aussi avant que l'Agence spatiale européenne ne décide d'aider la réalisation de petits lanceurs, alors que l'Onera a fait voler cet été un démonstrateur de système de lancement aéroporté de petits satellites, le système Ataïr. Le projet est gelé alors qu'il est essentiel pour l'avenir. Enfin, l'Onera attend avec impatience de savoir quel rôle jouer pour le Scaf, sachant que son homologue, le DLR, a déjà contractualisé avec l'armée allemande ses recherches sur le sujet. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/aerospatial-lonera-une-pepite-oubliee-1154727