20 novembre 2024 | International, C4ISR, Sécurité
Ngioweb Botnet Fuels NSOCKS Residential Proxy Network Exploiting IoT Devices
Ngioweb malware fuels NSOCKS proxy service, exploiting IoT vulnerabilities for botnet monetization in minutes
24 mai 2019 | International, Aérospatial
Frédéric Lert, Bordeaux - Jane's Defence Weekly
The French Air Force is ramping up the recruitment and training of unmanned aerial vehicle (UAV) crews to cope with the service's expanding air vehicle inventory.
While the 1/33 Belfort UAV squadron currently flies five GA-ASI MQ-9 Reaper medium-altitude long-endurance (MALE) UAVs using 20 qualified crews (with each crew consisting of a pilot, sensor operator, tactical co-ordinator and image analyst), the plan is to have 24 MALE UAVs operational by 2030, generating a requirement for 80 to 100 crews.
The greatest urgency is to train the pilots to cope with this expansion, so the air force is introducing a new course into its flying schools alongside those already existing for fighters, transport aircraft and helicopters.
The first phase of training will fall under the responsibility of the Centre d'excellence drone (CED) in Salon de Provence, southern France. The CED, which until now was more oriented towards research, thus sees its mission considerably evolve. During this phase the students will fly Cirrus light aircraft and receive some specific training, especially in relation to instrument flight rules (IFR).
The second phase will then take the student pilots to the air force flying school in Cognac, where they will improve their piloting skills on the Grob 120 basic trainer. They will then move on to the UAV Operational Conversion Squadron (Escadron de Transformation Opérationnelle Drone - ETOD) and the 1/33 Belfort to acquire the particular tactical know-how required to operate the Reapers.
https://www.janes.com/article/88729/french-air-force-introduces-new-uav-pilot-training-scheme
 
					20 novembre 2024 | International, C4ISR, Sécurité
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					29 avril 2024 | International, Terrestre
US Army's 5-4 Air Defense Artillery Regiment (ADAR) and the 2nd Cavalry Regiment (2CR) have successfully taken part in a CALFEX in Poland.
 
					7 janvier 2019 | International, Aérospatial, Naval
Nicolas Berrod Après deux années de rénovation, le « Charles-de-Gaulle », à nouveau opérationnel, s'apprête à reprendre la mer. Nous avons pu passer 48 heures à bord, au côté de l'équipage, actuellement en pleine phase d'entraînement. « Wave off ! » Le cri de l'officier résonne sur le pont d'envol pour signifier à tout le monde de... « dégager ». Bienvenue à bord du « Charles-de-Gaulle », le seul porte-avions de la marine française, qui vient de subir un lifting intégral d'une durée de deux ans, pour un coût total de 1,3Mds €. Avant de repartir en mission dans quelques mois, ce mastodonte de 42 000 t pour 261 m de long poursuit ses entraînements au large de Toulon, son port d'attache. « On était orphelins, le Charles-de-Gaulle nous a manqué », sourit Christophe, capitaine de frégate et chef des pilotes. Avec ses collègues, ils ont eu beau s'être entraînés sur piste classique et sur un porte-avions américain le temps de la rénovation, rien ne vaut à leurs yeux le prestige du bateau français, en service depuis 2001. Le « Charles-de-Gaulle » aura un successeur, a assuré Emmanuel Macron, lorsqu'il sera mis hors service vers 2040. Coût estimé : minimum 3 Mds€. Et durée de la construction : 15 ans... au moins ! Chiens jaunes Alors, en attendant, la France compte sur son unique porte-avions, véritable village flottant de 2000 habitants - un équipage de 17 à 55 ans, dont 140 officiers de pont, 300 techniciens, 33 cuisiniers, 2 boulangers, 17 % de femmes au total. Après 18 mois passés à la cale, il faut le remettre en service. D'où, en cette fin d'automne, un entraînement intensif en Méditerranée, à quelques dizaines de kilomètres des côtes françaises. Entre quatre et vingt Rafales (NDLR : avions de combat) sont catapultés trois fois par jour, décollant sur une piste d'à peine quelques dizaines de mètres. Au signal des « chiens jaunes », ces officiers de pont reconnaissables à leur gilet coloré, les avions atteignent en quelques secondes les 200 km/h. Ce lundi-là, une poignée de jeunes pilotes - entre 22 et 26 ans - effectuent leur baptême de vol sur le « Charles-de-Gaulle ». Pour pouvoir manœuvrer sur un porte-avions, il leur faut avoir un minimum de 100 heures de vol sur Rafale. « On porte une attention toute particulière à ces jeunes », glisse, l'œil rivé à la piste, Jean-Philippe, chef des « chiens jaunes ». À l'issue de leur vol - ce jour-là dans un ciel dégagé -, ces pilotes doivent accrocher l'un des trois brins d'arrêt situés sur la piste pour apponter. Ces épais c'bles qui stoppent le Rafale d'un coup sont indispensables sur une piste aussi courte. « C'est comme si on pilait sur autoroute », glisse un officier, qui scrute à l'horizon les premiers avions sur le retour. Paradoxalement, au moment de toucher le pont à 250 km/h, les pilotes doivent remettre les gaz à fond. Car, s'ils ratent les brins, il faut pouvoir redécoller à temps ! « On appelle ça un bolter, c'est un peu un bizutage pour les nouveaux », sourit l'expérimenté capitaine Christophe, 2000 heures de vol sur Rafale derrière lui. Article complet: http://www.leparisien.fr/politique/le-porte-avions-charles-de-gaulle-reprend-la-mer-comme-neuf-06-01-2019-7981617.php