14 septembre 2023 | International, Terrestre
B-21 ground tests proceed as bomber’s first flight deadline approaches
Engine runs on the first B-21 are underway, with tests of its fuel systems, doors, landing gear and more already complete.
19 juillet 2021 | International, Aérospatial
The Eurodrone project to build a twin-turboprop aircraft —in both an intelligence, surveillance and reconnaissance version and a battlefield version — aims to wean Europe off its reliance on U.S. and Israeli UAVs.
14 septembre 2023 | International, Terrestre
Engine runs on the first B-21 are underway, with tests of its fuel systems, doors, landing gear and more already complete.
14 juin 2018 | International, Aérospatial
Olivier Gosset L'offre française de partenariat stratégique n'a jamais été étudiée dans le détail. La version complète n'a d'ailleurs pas été déposée auprès des autorités du pays. La proposition de partenariat stratégique mise sur la table par Paris pour le remplacement des F-16 n'a jusqu'ici pas été examinée en détail par la Belgique, dont les autorités ne sont même pas en possession de l'offre complète, a-t-on appris d'une source proche du dossier. La France a décidé de ne pas participer à l'appel d'offres (Request for Government Proposal ou RfGP) lancé en mars 2017 par la Belgique pour l'achat de 34 chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. S'engageant dans une autre voie, Paris a fait parvenir le 6 septembre 2017 au cabinet du ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, une lettre proposant un "partenariat approfondi et structurant" fondé sur l'avion de combat Rafale. Une coopération allant bien au-delà de la seule fourniture d'avions de combat, selon les responsables français. La proposition française est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense. Quelques éléments de cette offre ont filtré, principalement en ce qui concerne les retombées industrielles potentielles si la Belgique achète le Rafale. Des retours économiques que la France chiffre à 20 milliards d'euros sur 20 ans. Ensuite, plus rien! Du moins jusqu'au 15 mai dernier, lorsqu'une délégation de membres du cabinet de la ministre française des Armées, Florence Parly, s'est rendue à Bruxelles – pour la première fois en huit mois – dans le but d'expliciter auprès de leurs homologues belges l'offre française. Mais la proposition n'a pas été réellement scrutée à la loupe ni examinée sous tous les angles, puisque le document complet, qui fait plus de 3.000 pages, n'a jamais été formellement déposé en Belgique. À l'exception de la Défense, aucun cabinet belge n'a été autorisé à recevoir des représentants de l'Hexagone, et encore moins à réceptionner le volumineux dossier. Que ce soit au niveau du Premier ministre ou des Affaires étrangères. Aucun contact, même informel, ne semble avoir eu lieu non plus avec le SPF Économie ou le cabinet qui le chapeaute. Bref, la proposition française – ou du moins son résumé – est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense qui, de son côté il est vrai, était tenu de travailler dans le seul cadre de l'appel d'offres en l'absence de décision politique du gouvernement remettant cette procédure en cause. Rien de nouveau? Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que ce même cabinet ait toujours jugé non pertinente l'offre française. Ou qu'il ait indiqué n'avoir "rien entendu de nouveau" lors de la visite des émissaires français il y a quelques semaines. Que les experts militaires de l'équipe Accap, chargée d'évaluer les deux offres finales considérées comme juridiquement valables, n'aient pas pris en compte la proposition française, rien de plus normal. Pour rappel, les deux candidats qui ont remis des offres en bonne et due forme sont les Etats-Unis avec le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l'Eurofighter Typhoon du consortium européen éponyme. Le rapport de ces experts se trouve désormais sur le bureau de leur ministre, qui doit le transmettre au kern. Par contre, que le contenu du partenariat français n'ait jamais été examiné de près à un autre niveau en l'absence de tout engagement, voilà qui a de quoi surprendre. D'abord parce qu'il contient visiblement des éléments intéressants, comme une éventuelle participation au programme de Système de combat aérien du futur (Scaf) franco-allemand, ou encore, selon nos informations, une période très courte (sur moins de trois ans) pour la livraison des 34 appareils, quel que soit le moment où le contrat serait signé. Par ailleurs, le gouvernement belge serait bien avisé de garder plusieurs fers au feu. Parce que le résultat de l'appel d'offres risque de se heurter à des obstacles géopolitiques imprévus. Il ne va pas être très aisé en effet de justifier l'éventuelle acquisition d'appareils américains alors que l'administration Trump a déclaré une guerre commerciale au Vieux continent et que Paris et Berlin tentent de relancer l'Europe de la défense. https://www.lecho.be/entreprises/defense-aeronautique/la-belgique-a-survole-l-offre-de-dassault-pour-le-remplacement-des-f-16/10021780.html
18 janvier 2019 | International, Aérospatial
WILSONVILLE, Ore. — FLIR Systems, Inc. (NASDAQ: FLIR) announced today it has been awarded a contract from the French Defense Procurement Agency (DGA) in support of the French Operational Pocket Drone (DrOP) program. The contract has a ceiling value of $89 million to provide the FLIR Black Hornet® 3 nano-unmanned aerial vehicle (UAV) and Personal Reconnaissance System (PRS) to support French Armed Forces operations. #FLIR Awarded $89M contract from @defense_gouv to deliver Black Hornet Personal Reconnaissance System #Military #France #ArmedForces The Black Hornet PRS is the world's smallest combat-proven nano-Unmanned Aerial System (UAS) and is currently deployed in more than 30 countries. The Black Hornet enables the warfighter to maintain situational awareness, threat detection, and surveillance no matter where the mission takes them. Equipped with electro-optical/infrared sensors and the ability to fly up to 25 minutes, the Black Hornet bridges the gap between aerial and ground-based sensors, provides the same situational awareness and threat detection capabilities as larger unmanned air and ground vehicles. “We are honored to support the French Armed Forces' mission with the delivery of the Black Hornet PRS and related services,” said Jim Cannon, President and CEO at FLIR Systems. “This award strengthens our partnership with the French Armed Forces and our focus on unmanned technology, an emerging area that is strategically critical to FLIR's business.” This program provides the expanded capability of the Black Hornet 3 for the French Armed Forces. The contract will be managed and executed by FLIR in Hvalstad, Norway. For more information about Black Hornet VRS, visit www.flir.com/blackhornet. About FLIR Systems, Inc. Founded in 1978, FLIR Systems is a world-leading industrial technology company focused on intelligent sensing solutions for defense, industrial and commercial applications. FLIR Systems' vision is to be “The World's Sixth Sense,” creating technologies to help professionals make more informed decisions that save lives and livelihoods. For more information, please visit www.flir.com and follow @flir. https://business.financialpost.com/pmn/press-releases-pmn/business-wire-news-releases-pmn/flir-systems-awarded-89-million-contract-from-french-armed-forces-to-deliver-black-hornet-personal-reconnaissance-system