29 mai 2023 | Local, Autre défense

Defence threats call for unorthodox ideas from younger Canadians, argues international politics prof

Major threats to Canada's security include melting ice in the Arctic, aggression from Russia and China, and a personnel shortage in the Canadian Armed Forces, according to experts.

https://www.hilltimes.com/story/2023/05/29/defence-threats-call-for-unorthodox-thinking-of-younger-canadians-argues-international-politics-prof/388460/

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    3 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Comment le F-35 est réapparu sur le radar d’Ottawa

    Marc Godbout Justin Trudeau s'était engagé à ne pas acheter le F-35, l'avion de chasse de Lockheed Martin. Pourtant, de récentes manoeuvres rendent de plus en plus probable l'acquisition de l'appareil américain. Une réelle compétition aura-t-elle vraiment lieu pour remplacer les vieux chasseurs des Forces armées canadiennes? Les jeux de coulisse se sont intensifiés toute la semaine à Ottawa. L'enjeu est énorme : un contrat de 19 milliards de dollars pour 88 avions de combat canadiens. En toile de fond, le salon canadien des équipements militaires. Non seulement les lobbyistes sont plus actifs que jamais, mais leurs clients ont mis le paquet pour séduire et chercher à influencer le futur acheteur. Airbus et SAAB ont même fait venir d'Europe, par navire, des répliques de leurs avions de chasse respectifs. Mais au-delà des apparences, l'inquiétude s'est installée. Après le F-35, le F-35 Après des années d'attente, de dérapages et d'interminables débats, un appel d'offres du gouvernement fédéral doit finalement être lancé d'ici la mi-juillet. Il le sera juste avant la campagne électorale, près de quatre ans après l'élection des libéraux qui avaient promis d'amorcer le processus immédiatement en arrivant au pouvoir. Résultat? Le choix du gagnant ne sera annoncé qu'en 2022, et les premiers avions, livrés en 2025, au plus tôt. Les concurrents potentiels pour la construction des avions de chasse canadiens : Boeing (Super Hornet) Airbus (Typhoon) Saab (Gripen) Lockheed Martin (F-35) Quatre joueurs souhaiteraient être de la course. Mais le seront-ils tous? Le portrait pourrait très bien changer. Les pressions exercées par Washington sur Ottawa y sont pour beaucoup. L'administration Trump a obtenu des assouplissements au processus d'évaluation des retombées économiques au Canada pour s'assurer que le F-35 soit de la course. La politique canadienne d'approvisionnement militaire exige depuis très longtemps que les entreprises dépensent au pays l'équivalent de la valeur d'un contrat afin de renforcer l'industrie canadienne. Or, le programme du F-35, dont le Canada est l'un des neuf pays partenaires, est structuré autrement. Les entreprises canadiennes ont le droit de soumissionner pour des contrats mondiaux liés à la chaîne d'approvisionnement. Les pays partenaires ne peuvent, par contre, exiger des avantages économiques comme condition préalable à l'achat de l'appareil. Voilà que la récente révision obtenue par Washington permet à Lockheed Martin et son avion de ne pas être écartés de la compétition quoiqu'ils seraient pénalisés s'ils choisissent un système différent. On est donc bien loin de la promesse électorale de 2015 de Justin Trudeau, qui s'engageait à ne pas acheter l'avion de Lockheed Martin. Les libéraux ont tout fait pour se distancer du F-35 dans la foulée du fiasco qui collait à la peau des conservateurs. Mais la réalité a fini par rattraper le gouvernement Trudeau. « Sélectionner un appareil autre que le F-35 pourrait créer des tensions avec les Américains », soutient Justin Massie, professeur de science politique à l'UQAM. « Le F-35 est important pour l'administration Trump, qui veut développer davantage l'industrie militaire américaine. » Ce revirement a eu l'effet d'une douche froide chez les concurrents. « Il ne serait pas étonnant de voir des joueurs se retirer dès le départ ou en cours de route. Ils sont furieux », a confié à Radio-Canada une source très proche du dossier. Tant l'américaine Boeing que l'européenne Airbus et la suédoise Saab disent maintenant attendre « l'ensemble des exigences » de l'appel d'offres avant d'annoncer leurs intentions finales. « Nous sommes sur nos gardes [....] et de plus en plus incertains de vouloir nous lancer », a même indiqué un dirigeant de l'une de ces compagnies, sous le couvert de l'anonymat. Retour vers le futur Le temps est-il en train de jouer en faveur du F-35? Possiblement. « Le volume de production du F-35 entraîne la diminution du coût à l'unité qui est inférieur à celui de ses concurrents qui sont moins avancés sur le plan technologique », expliquait récemment Richard Shimooka dans un rapport de l'Institut Macdonald-Laurier. Alors que le coût par avion dépassait les 200 millions de dollars américains au début de la production en 2007, il devrait passer sous la barre des 80 millions d'ici 2020, selon le Pentagone. Plus de 390 appareils ont été livrés dans le monde. Et pas plus tard que cette semaine, le président américain annonçait la vente de 105 avions supplémentaires à l'issue d'un sommet avec le premier ministre japonais. Les pays qui ont choisi le F-35 : États-Unis Royaume-Uni Italie Pays-Bas Norvège Danemark Belgique Turquie Japon Australie Israël Corée du Sud Il s'est déjà écoulé neuf ans depuis l'annonce par le gouvernement Harper de l'achat de 65 avions F-35. « La modernisation de nos vieux F-18 a coûté beaucoup d'argent. Et l'acquisition de chasseurs intérimaires australiens a coûté au bas mot un milliard de dollars de plus aux contribuables canadiens », déplore Justin Massie. Neuf ans plus tard, le Canada a commencé à recevoir ses premiers F-18 australiens usagés, toujours dans l'attente d'une solution permanente. Il est quand même plutôt ironique de constater que l'Australie voulait s'en débarrasser pour recevoir ses premiers F-35 tout neufs. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1173077/canada-avions-chasse-f-35-achat-armee

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    6 février 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Canada Unprepared for Military Aggression Via Arctic, Say Defence Experts

    BY RAHUL VAIDYANATH Modernizing outdated North Warning System not funded as part of defence budget No sooner had a gathering to discuss modernizing the defence of North America taken place than two Russian strategic bombers approached Canadian airspace from the Arctic. The menace underscores the message to the Canadian government and public that the country is at greater risk than it has been in decades. North American Aerospace Defence Command (Norad) reported the Russian activity on Jan. 31, just two days after the Canadian Global Affairs Institute (CGAI) hosted a major defence conference in Ottawa. “They [the Russians and Chinese] have the weapons systems and we are increasingly seeing the intent, so we haven't caught up to that yet,” University of Calgary political science professor and conference panelist Rob Huebert said in an interview following the incident. The Russian aircraft stayed in international airspace and didn't enter U.S. or Canadian sovereign airspace, but it nevertheless highlighted the threat. Huebert says what's been holding Canada back is a decades-long multi-faceted problem of attitudes. Canada is accustomed to playing the “away game” instead of the “home game,” meaning it prefers to face its threats as far away from its borders as possible. Thus the protection of the North American continent requires a change of mindset given the advanced capabilities of the Russians and Chinese. It's also naive on Canada's part to think it can simply talk to Russia and China and get them to play nice. “We have to be a lot more honest with Canadians,” Huebert said. A government can favour certain initiatives, and the current one has shown it can generate broad public buy-in for its environmental initiatives. But even if the public isn't clamouring for better military capabilities—as seen in the lack of interest the topic garnered during the election run-up—experts say the government can no longer ignore the military threat from Russia and China. “What this government has shown no willingness to deal with is a much more comprehensive understanding of security that encapsulates both environmental security and military security,” Huebert said. For example, the Liberals didn't put forth their Arctic policy until a day before the election was called. ‘People have to recognize there is a real threat' Canadian governments have put a lower priority on defence spending for decades, and that has left a consistent drop in capability compared to potential rivals. A case in point is that Canada opted in 2005 to not be a part of the U.S. ballistic missile defence program. Contrast that attitude with the Russians or the Chinese and their imperialist goals. Russia wants to destroy us and China wants to own us, said John Sanford of the U.S.'s National Maritime Intelligence Integration Office, at the CGAI forum. A power play is shaping up between the United States, China, and Russia, and the Arctic is the epicentre of the military conflict. That makes it Canada's business, according to defence experts. “People have to recognize there is a real threat,” said conference opening speaker Commodore Jamie Clarke, Norad's deputy director of strategy. “We are defending our entire way of life.” At risk is Canada's economy and infrastructure, not to mention that of the United States. At the heart of the matter is an outdated detection and deterrence system with no comprehensive replacement in the works. https://www.theepochtimes.com/canada-unprepared-for-military-aggression-via-arctic-say-defence-experts_3228565.html

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