8 mars 2021 | International, Aérospatial

Dassault boss Trappier floats ‘Plan B’ considerations for the troubled FCAS warplane

Sur le même sujet

  • US urges speed in Booz Allen antitrust case as NSA intel contract nears

    15 juillet 2022 | International, C4ISR, Sécurité

    US urges speed in Booz Allen antitrust case as NSA intel contract nears

    U.S. attorneys argue a speedier clip is necessary to preserve competition on a National Security Agency contract dubbed Optimal Decision, which deals with signals intelligence and simulation services.

  • The Air Force’s experimental navigation satellite cleared for fabrication

    6 août 2020 | International, Aérospatial

    The Air Force’s experimental navigation satellite cleared for fabrication

    Nathan Strout WASHINGTON - The U.S. Air Force has completed critical design review of an experimental navigation satellite, clearing the way for fabrication to begin and keeping the launch on track for 2022. The Air Force Research Laboratory's Navigation Technology Satellite 3 (NTS-3) is one of the Air Force's first Vanguard programs — platforms that can delivers remarkable new capabilities to the war fighter. NTS-3 is being developed to demonstrate new positioning, navigation and timing (PNT) technologies that will inform how future GPS satellites work. AFRL plans to operate the satellite in geosynchronous orbit for one year to experiment with new PNT signals and test new architectures. Beyond the space-based test vehicle itself, NTS-3 will also demonstrate new ground-based command and control as well as new software-defined radios. And, once on orbit, NTS-3 could provide immediate support to the war fighter. The experimental satellite will augment the GPS constellation from geosynchronous orbit, providing a geographically focused signal. “The NTS-3 Vanguard is an experimental, end-to-end demonstration of agile, resilient space-based positioning, navigation, and timing,” Arlen Biersgreen, the NTS-3 program manager, said in a statement. “It has the potential for game-changing advancements to the way the Air Force provides these critical capabilities to war fighters across the Department of Defense.” L3Harris is the prime contractor on NTS-3, and was awarded an $84 million contract for the experimental satellite in 2018. With the critical design review complete, the company can now move forward with fabrication, demonstration and testing. The NTS-3 contract includes a follow-on option for production of an entire constellation, if the Air Force chooses to exercise it. “Collaboration with our customers has enabled us to move rapidly through important milestones to design this experimental satellite,” said Ed Zoiss, president of space and airborne systems at L3Harris. “Our goal is to deliver new signals to support rapidly evolving warfighter missions.” Due to scheduling, NTS-3 technology is unlikely to be included on the any of the GPS III satellites in production, but it will likely inform aspects of the subsequent GPS IIIF satellites which are set to go on orbit in the late 2020s. L3Harris is developing the payloads for those satellites as well. https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2020/08/04/the-air-forces-experimental-navigation-satellite-cleared-for-fabrication

  • Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    24 mai 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Europe de la défense: entre Paris et Berlin, des ambitions et de la méfiance

    Char, avion de combat du futur: Paris et Berlin travaillent sur d'ambitieux projets industriels communs dans la défense, mais les rapports restent teintés de méfiance et marqués par des divergences de vue autour de la question des exportations d'armement. Face au Brexit, au rel'chement des liens transatlantiques sous l'ère Trump, et malgré une mauvaise passe dans la relation franco-allemande, Emmanuel Macron a fait de l'Europe de la défense l'un de ses grands chevaux de bataille, qui figure en bonne place dans le programme des candidats de son camp aux élections européennes de dimanche. Réunis par un même besoin de renouveler leurs capacités militaires à horizon 2035-2040, Français et Allemands ont convenu à l'été 2017 de développer main dans la main deux programmes d'équipements majeurs: le système de combat aérien du futur (SCAF), sous leadership du français Dassault, pour remplacer les Rafale et les Typhoon, et le char de combat du futur ayant vocation à remplacer les Leclerc et les Lepoard, sous leadership allemand. Concernant le SCAF, dont le premier contrat d'architecture a été notifié à Dassault et Airbus en janvier, Paris et Berlin comptent annoncer "cet été" le lancement des études de recherche et développement destinées à jeter les bases des démonstrateurs, pour un montant de 150 millions d'euros sur deux ans, selon des sources concordantes. - pas d'annonce au Bourget? - Il n'est toutefois pas certain que l'annonce soit faite mi-juin au salon aéronautique du Bourget comme initialement prévu, admet Paris. Objectif: développer un démonstrateur d'ici 2026 -- pour un coût estimé entre 2 et 3 milliards d'euros -- avant une entrée en service en 2040 de ce système associant avion de combat, drones, futurs missiles de croisière et drones évoluant en essaim. Pour le char, "les industriels préparent une offre pour l'étude d'architecture à horizon de l'été", indique-t-on de source gouvernementale française. Pour continuer à avancer, reste à venir à bout des inquiétudes et grincements de dents de part et d'autre du Rhin. Parmi les motifs de friction figure le partage des compétences de pointe censées alimenter ces grands programmes communs d'armement. En France, où le groupe Dassault a conduit seul le programme-phare du Rafale, certains ne cachent pas leur méfiance. "Il ne faudrait pas que les Allemands profitent de cette coopération pour chiper notre savoir-faire stratégique", glisse-t-on de source proche du dossier. En Allemagne, des parlementaires de la coalition au pouvoir reprochent au gouvernement d'Angela Merkel d'avoir mal négocié la répartition industrielle du projet SCAF et critiquent les exigences françaises en matière de propriété intellectuelle, affirme jeudi le quotidien allemand Die Welt. "Au regard des enjeux industriels et économiques du projet, j'attends de Mme Merkel et de Mme von der Leyen (ministre allemande de la Défense) qu'elles prennent en main ce dossier et en fassent une priorité, comme l'a fait le président Macron", déclare au journal le responsable défense du parti social-démocrate allemand (SPD), Thomas Hitschler. - ventes d'armes aux Saoudiens - "Des débats sur le partage des technologies, les questions de propriété intellectuelle peuvent exister mais ils sont en train de se résoudre. C'est normal que ça tiraille, derrière il y a des enjeux financiers et de compétences industrielles", relativise-t-on à Paris, où l'on préfère vanter "la rapidité" avec laquelle un projet de cette ampleur s'est mis en route. Autre obstacle à franchir: la question des conditions d'exportation des armements, objet de frictions ouvertes entre Paris et Berlin. Depuis l'assassinat fin 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, le gouvernement allemand a décidé de geler les exports d?armes à destination de l'Arabie Saoudite, client controversé de l'industrie française de défense. Une décision vertement critiquée par Emmanuel Macron, puis par l'ambassadrice de France en Allemagne, qui a déploré fin mars "la politisation croissante du débat allemand sur les exportations d'armements", susceptible selon elle de "faire peser un risque sur la coopération de défense européenne". "On ne peut pas se mettre d'accord sur des projets d'une telle envergure sans trouver une position commune sur les conditions d'exportation", renchérit un haut responsable français. Or le sujet est politiquement ultra-sensible en Allemagne. "L'opinion publique allemande est vent debout contre les exports d'armement. Quel est l'homme politique allemand qui se risquera à aller contre ça?", souligne Gaëlle Winter, chercheuse associée à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS). Paris accuse en outre Berlin de pratiquer un double jeu en feignant d'ignorer la livraison d'armement à Ryad par l'industriel allemand Rheinmetall, via ses filiales à l'étranger. "J'entends dans certaines capitales les protestations de vertus offusquées lorsqu'il s'agit d'exportations françaises, mais j'observe que les mêmes responsables ignorent volontiers ce que font les filiales ou les joint ventures de leurs champions nationaux de l'armement", s'est récemment agacée la ministre française des Armées Florence Parly. Sollicité par l'AFP, le ministère allemand de la Défense n'a pas donné suite. https://www.courrierinternational.com/depeche/europe-de-la-defense-entre-paris-et-berlin-des-ambitions-et-de-la-mefiance.afp.com.20190523.doc.1gt4y7.xml

Toutes les nouvelles