1 novembre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

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    21 septembre 2020 | International, Aérospatial

    Florence Parly cherche à rassurer sur les prélèvements de Rafale pour la Grèce

    La ministre des Armées Florence Parly assure que les prélèvements de Rafale sur la flotte de l'armée de l'Air au profit de la Grèce, qui compte acquérir 18 avions de combat français dont plusieurs d'occasion, seront réalisés "avec infiniment de sérieux" pour éviter tout impact. Revenant sur la vente de Rafale à la Grèce, la ministre des Armées Florence Parly cherche à rassurer, en promettant de minimiser l'impact pour l'armée de l'Air de la France. Dans un contexte de tensions accrues avec la Turquie voisine, Athènes a annoncé samedi son intention d'acquérir 18 Rafale, dont six appareils neufs et douze d'occasion, selon le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, qui a évoqué de premières livraisons à la Grèce en 2021. "C'est une excellente nouvelle pour l'Europe", a insisté Florence Parly, interpellée en commission défense de l'Assemblée nationale sur le risque de trou capacitaire pour l'armée de l'Air, très engagée sur de multiples fronts mais qui va devoir céder à Athènes certains appareils sur sa flotte actuelle de 102 Rafale. "C'est ma priorité de m'assurer que de tels prélèvements n'auront pas d'impact opérationnel sur nos forces. C'est ma responsabilité première", a réagi Mme Parly. "Nous examinons ces possibles prélèvements avec infiniment de sérieux", a-t-elle assuré. "Est-ce à dire qu'il n'y a pas de marge de manoeuvre, qu'il n'y a pas de solution intelligente? La réponse est évidemment non", a poursuivi la ministre. "Il y aura un petit creux sur une période qui reste à définir mais on fera en sorte de minimiser l'impact au maximum pour l'armée de l'Air", commente-t-on au ministère des Armées, en soulignant notamment que "l'armée de l'Air rénove 55 Mirage qui permettent d'assumer un certain nombre de missions". Entre 2022 et 2024, Dassault Aviation doit produire 28 appareils pour la France. En fonction de la cadence de production, tout ou partie des 6 avions neufs grecs pourraient être finalement prélevés sur les 28 à produire pour Paris. "Nous ne pouvons pas à la fois vouloir promouvoir une politique de préférence européenne et puis nous désoler lorsque la Grèce fait ce choix", une première pour un pays européen, a poursuivi la ministre devant la commission parlementaire, en vantant également "une très bonne nouvelle pour notre industrie" dans un contexte économique profondément assombri par la crise sanitaire. "Sans les exportations d'armement, nous ne pourrions pas assurer à nous seuls l'entretien et la pérennité des chaînes industrielles", a-t-elle insisté. En outre, "les activités d'exportation permettent aussi de réduire le coûts d'acquisition pour nos armées des capacités dont nous avons besoin". https://www.capital.fr/economie-politique/florence-parly-cherche-a-rassurer-sur-les-prelevements-de-rafale-pour-la-grece-1380855

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    27 octobre 2022 | International, Aérospatial

    GKN Aerospace franchit une étape importante avec la première rotation du moteur RM16 dans le banc d'essai.

    GKN Aerospace a achevé avec succès le premier tour moteur du moteur RM16 de pointe qui équipera le JAS 39 Gripen E. Cette étape importante permet à GKN Aerospace de fournir un support produit RM16 complet aux forces armées suédoises, garantissant ainsi la disponibilité du moteur pour les futures missions des forces aériennes suédoises.

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    10 septembre 2018 | International, Aérospatial

    Accord belgo-britannique pour une participation à l'Eurofighter

    Le groupe de défense et de sécurité britannique BAE Systems et les entreprises aéronautiques belges ont signé ce jeudi soir à Bruxelles un accord non exclusif de coopération. Il fixe les modalités de la participation de l'industrie belge au programme de l'avion de combat Eurofighter en cas de choix de cet appareil pour succéder aux F-16 vieillissants. BAE Systems et des représentants des trois associations régionales - Entreprises wallonnes de l'aéronautique (EWA), Brussels Aeronautical Group (BAG) à Bruxelles et Flemish Aerospace Group (FLAG) en Flandre se sont mis d'accord sur les modalités d'une éventuelle collaboration si le gouvernement fédéral opte pour l'Eurofighter - Typhoon, avion de chasse britannique, pour remplacer les F-16 de l'armée belge. Ce partenariat associe aussi les "clusters" qui leur sont liés, a-t-on expliqué de source industrielle en marge de la cérémonie de signature, organisée par l'ambassade du Royaume-Uni, qui promeut l'Eurofighter - Typhoon pour les Britanniques - en Belgique. Cet accord chapeaute en quelque sorte ceux déjà signés séparément par les industriels belges et les partenaires du consortium Eurofighter, rassemblant les trois principaux groupes européens du secteur - BAE Systems, Airbus Defence&Space (ASD) et Leonardo. L'accord est non-exclusif car des industriels belges ont également conclu des ententes avec le groupe américain Lockheed Martin, constructeur du chasseur furtif F-35 Lightning II, et avec le groupement français qui propose, hors d'appel d'offres, le Rafale de Dassault Aviation. Il doit servir de tremplin pour discuter de la participation de l'industrie belge à la maintenance et au soutien d'une flotte belge d'Eurofighter, au développement des capacités futures de cet appareil européen et à la définition d'une plate-forme de combat aérien future. Le gouvernement Michel souhaite acheter 34 nouveaux chasseurs, pour un montant initial de près de 3,6 milliards d'euros. https://www.lecho.be/entreprises/defense-aeronautique/accord-belgo-britannique-pour-une-participation-a-l-eurofighter/10047057.html

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