15 mars 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

Contracts for March 12, 2021

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    DÉFENSE Comment l'armée française tisse des liens avec les startups de cybersécurité Face à l'évolution de la conflictualité qui se joue désormais dans le champ cyber aussi bien que dans les milieux traditionnels (Terre, Mer, Air, Espace), l'armée multiplie les initiatives pour travailler avec les sociétés qui peuvent l'aider à riposter aux menaces. La France a ainsi créé le commandement de la cyberdéfense (COMCYBER), placé sous l'autorité directe du chef d'Etat-major des Armées et qui doit assurer la protection des systèmes d'information des armées, ainsi que la conception, la planification et la conduite des opérations militaires dans le cyberespace. Outre la collaboration avec les grands groupes, tels que Thales ou Atos, l'armée cherche également à se rapprocher des startups de la cybersécurité les plus innovantes. En témoigne la création à Rennes de la Cyber Défense Factory, un incubateur piloté par la Direction générale de l'Armement (DGA), ou la création, en 2018, de l'Agence de l'innovation de défense (AID). Enfin, le ministère des Armées a signé une convention avec ACE Capital Partners, filiale de Tikehau Capital, qui est le fonds privé le plus actif dans la cybersécurité en France. ACE Capital Partners a investi dans onze jeunes pousses dans la cybersécurité, dont Glimps, Thetris, et plus récemment Vade. Les Echos du 9 juin

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    1 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

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    L'arrêt de certaines usines a surpris nombre de militaires. Après un travail de concertation, tous les industriels ont rouvert afin d'assurer le soutien des armées. Par Anne Bauer Publié le 31 mars 2020 à 15h50Mis à jour le 31 mars 2020 à 16h06 C'est une des découvertes de la crise du coronavirus : la défense n'a pas d'obligations de production particulières par rapport à d'autres secteurs . De quoi surprendre les commandants militaires. Aussitôt le confinement déclaré, une entreprise comme Arquus (ex-Renault Trucks Defense), filiale de Volvo, annonçait la fermeture de ses sites industriels sans concertation avec ses partenaires, alors que l'entreprise fabrique avec Thales et Nexter les blindés de l'armée de terre. Après un certain flottement, les choses sont rentrées dans l'ordre et les sites industriels se remettent en marche depuis lundi. Cartographier les besoins prioritaires « Un dialogue s'est ouvert entre les industriels de la défense, la Direction générale de l'armement et le ministère des Armées pour faire une cartographie des activités les plus critiques pour la défense, donner des prévisions d'activité et bien mesurer tous les impacts sur les systèmes de soutien au profit des forces armées », explique-t-on au ministère des Armées. Dès le 20 mars, la ministre Florence Parly envoyait un courrier aux industriels pour leur rappeler que « sans transiger sur les mesures barrières dont le respect strict est indispensable pour endiguer la propagation du virus, l'activité des entreprises de défense devait continuer ». Pas question de ne pas assurer l'entretien des hélicoptères au moment où ils sont plus que jamais engagés dans le transport des malades , de baisser la garde sur la dissuasion nucléaire, ou encore de ne pas pouvoir changer les pièces défaillantes des blindés utilisés au Sahel. Renégociation prochaine des objectifs Après une grosse semaine de fermeture, histoire de bien analyser les conditions de production et de nettoyer les sites de fond en comble, les industriels de la défense ont rouvert. Chez Nexter, les sites de production sont de nouveau actifs, même si la totalité des effectifs n'est évidemment pas appelée. Arquus, de son côté, explique avoir terminé la semaine dernière son inventaire, ce qui lui a permis de livrer à la Direction générale de l'armement nombre de blindés stockés et de rappeler ses salariés pour assurer les livraisons des pièces de rechange, notamment à l'heure où les camions de l'armée sont extrêmement sollicités dans l'opération « Résilience » de soutien à la lutte contre la pandémie. Globalement, le soutien aux armées sur terre, mer et air est assuré, sachant qu'il y aura plus tard, au printemps, des négociations pour réviser les objectifs de livraison de matériel neuf, qui étaient inscrits dans la loi de programmation militaire. Il faudra tenir compte de la baisse de la mobilisation du personnel pour des raisons sanitaires - et sans doute, in fine, d'un recadrage des ressources budgétaires. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/coronavirus-retour-au-travail-pour-les-industriels-de-la-defense-1190687

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    2 avril 2024 | International, Terrestre

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