19 mars 2020 | Local, Naval

Construction of new Arctic ships, maintenance of frigates halted because of COVID-19

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN

Construction of the Royal Canadian Navy's new Arctic and Offshore Patrol Ships and maintenance of its frigates has been halted because of the novel coronavirus.

“We are immediately suspending industrial activities at Halifax Shipyard, Marine Fabricators, and Woodside Industries related to the AOPS construction program and the Halifax-class In-Service maintenance program,” wrote Irving Shipbuilding president Kevin McCoy.

“The decision became necessary given the high density of the employee population in certain work areas, high absenteeism, and reduced critical vendor support in materials and services.”

Irving will review its decision on a week-by-week basis to assess the latest information about COVID-19, McCoy added.

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/construction-of-new-arctic-ships-maintenance-of-frigates-halted-because-of-covid-19

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  • La création d’emplois par l’approvisionnement en défense

    17 mai 2018 | Local, Aérospatial

    La création d’emplois par l’approvisionnement en défense

    Communiqué de presse Aider l'industrie canadienne à saisir une occasion qui ne se présente qu'une fois par génération Le 16 mai 2018, Ottawa (Ontario) Le Canada prévoit d'acheter 88 chasseurs, ce qui constitue son plus important projet d'approvisionnement dans le domaine de l'aérospatiale en plus de 30 ans. Il s'agit d'une occasion qui ne se présente qu'une fois par génération de créer des emplois et de générer des retombées pour les Canadiens. L'achat de ces chasseurs est assujetti à la Politique des retombées industrielles et technologiques (RIT), selon laquelle l'entrepreneur retenu doit faire au Canada des investissements d'une valeur égale aux dépenses effectuées par le gouvernement dans le cadre de grands projets d'approvisionnement en défense. La Politique permet de tirer parti du pouvoir d'achat du gouvernement pour stimuler l'innovation et créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne. Voilà le message communiqué lors d'une série de six forums régionaux organisés dans tout le pays par Innovation, Sciences et Développement économique Canada, de concert avec Défense nationale, Services publics et Approvisionnement Canada et des organismes de développement régional. Des représentants de plus de 250 entreprises et 50 universités et instituts de recherche ont pris part à ces séances. Au total, 750 rencontres où ces représentants ont eu la chance de rencontrer les fabricants de chasseurs et de commencer à établir les liens et les partenariats qui les aideront à tirer profit des occasions découlant de ce projet d'approvisionnement d'envergure. En travaillant de près avec les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense, le gouvernement s'assure que les Canadiens tirent les plus grands avantages possible d'achats majeurs dans le domaine de la défense. Citations « Gr'ce à la Politique des retombées industrielles et technologiques, ce plus important investissement dans l'Aviation royale canadienne depuis des décennies se traduira par des emplois pour la classe moyenne et des retombées économiques pour tous les Canadiens. » — Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains « Notre gouvernement a franchi encore un autre jalon important alors qu'il poursuit la mise en œuvre du remplacement de la flotte de chasseurs du Canada. Ce processus créera des retombées économiques importantes pour la population canadienne, et notre gouvernement s'est engagé à veiller à ce que les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense soient bien positionnées pour participer au renouvellement de la flotte canadienne de chasseurs. » — La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, l'honorable Carla Qualtrough « Une flotte d'avions-chasseurs modernes est essentielle pour faire respecter la souveraineté du Canada, assurer la sécurité du continent et contribuer à la paix et à la sécurité internationales. Je suis heureux d'entendre parler des conversations productives qui ont eu lieu avec les membres et les partenaires de l'industrie canadienne au cours des dernières semaines. Cette concurrence représente une excellente occasion pour l'industrie canadienne de participer au maintien de la flotte de chasseurs de l'avenir. » — Le ministre de la Défense nationale, l'honorable Harjit S. Sajjan Faits en bref Globalement, les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense offrent plus de 240 000 emplois de qualité. En 2016, l'industrie de l'aérospatiale a contribué directement au produit intérieur brut pour 13 milliards de dollars et a employé plus de 87 000 travailleurs. Le secteur canadien de la défense compte plus de 650 entreprises qui offrent des emplois de grande qualité à des travailleurs hautement qualifiés. Depuis 1986, la Politique des RIT du Canada, et la Politique des retombées industrielles et régionales qui l'a précédée, ont injecté près de 40 milliards de dollars dans le produit intérieur brut du pays. L'application de la Politique mène annuellement à la création d'environ 40 000 emplois. https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2018/05/la-creation-demplois-par-lapprovisionnement-en-defense.html

  • Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    4 février 2019 | Local, Aérospatial

    Airbus veut croître en Amérique du Nord en visant la défense

    DJALLAL MALTI Agence France-Presse Airbus veut profiter de son implantation industrielle croissante en Amérique du Nord pour accélérer dans la défense aux États-Unis et au Canada, avec comme argument clé d'être un acteur local qui investit et crée des emplois sur place. « Pour n'importe quel acteur du secteur aéronautique et défense, jouer aux États-Unis, c'est aujourd'hui pratiquement incontournable », relève Philippe Plouvier, directeur associé au cabinet de conseil Boston Consulting Group. « Parce que dans la défense, les États-Unis, c'est 50 % des budgets mondiaux. » Mais « jouer en Amérique du Nord, c'est avoir une base industrielle sur place. Il n'y a pas de grand acteur là-bas qui n'ait pas une base importante », souligne ce spécialiste de l'aéronautique et de la défense. Airbus a renforcé son empreinte industrielle outre-Atlantique ces dernières années. Déjà présent aux États-Unis depuis 2004 avec une usine d'hélicoptères à Columbus, il a inauguré en 2015 une ligne d'assemblage finale (FAL) destinée à l'A320 à Mobile. Mais avec la prise de contrôle du programme CSeries de Bombardier, il a encore accru cette présence. Au Canada, il a « hérité » de la ligne d'assemblage de l'A220 à Mirabel et aux États-Unis, il a décidé d'en implanter une seconde, à Mobile, ce qui fait du géant européen un acteur local. Airbus se targue d'avoir dépensé 48 milliards de dollars aux États-Unis ces trois dernières années, ce qui se traduit par 275 000 emplois américains soutenus par l'avionneur. « Lorsqu'un industriel de la défense veut vendre ses produits dans un autre pays que le sien, il y a généralement trois étapes à franchir », relève Stéphane Albernhe, du cabinet Archery Consulting. Les deux premières sont les compensations au transfert de technologies. « La troisième, qui est particulièrement importante aux États-Unis, c'est la capacité à être perçu comme un actual good US citizen, qui consiste à mettre les conditions pour que l'industriel soit considéré par les Américains comme pleinement américain. » « Pour réussir cela, beaucoup de leviers peuvent être activés », mais « ce qui compte pour remporter un contrat au-delà du respect des spécifications techniques et du prix, c'est véritablement de s'intégrer pleinement dans le paysage américain. » « Le meilleur avion pour l'armée la plus puissante » Huit ans après avoir perdu celui des avions ravitailleurs face à Boeing, Airbus s'est allié à Lockheed Martin pour répondre aux besoins de l'armée de l'air américaine en termes de ravitaillement en vol. Le géant européen propose son A330 MRTT, qu'il a déjà vendu à une douzaine de pays. « Je ne comprends toujours pas pourquoi l'armée de l'air la plus puissante du monde ne volerait pas avec le meilleur avion ravitailleur sur le marché ? Parce que c'est clairement ce qu'est le MRTT », a lancé le président exécutif d'Airbus, Tom Enders, récemment à Mobile. « Nous avons remporté toutes les compétitions à part les États-Unis », a-t-il poursuivi. « Alors tout ce que nous voulons faire est d'amener l'avion ravitailleur le plus performant à la plus grande armée de l'air du monde. Cela fait sens, non ? » Airbus vise également un appel d'offres de la marine américaine pour 130 hélicoptères, alors qu'il fournit déjà l'armée américaine avec des UH-72A Lakota. Au Canada, il est en lice avec l'Eurofighter Typhoon pour l'appel d'offres qu'Ottawa doit lancer en mai pour remplacer sa flotte d'avions de combats : 88 appareils à livrer en 2025, un contrat estimé à 19 milliards de dollars. Tom Enders a laissé entendre qu'une partie de l'assemblage pourrait se faire sur place. « Quatre-vingt huit appareils, c'est important pour le Canada, ce serait important pour nous aussi », a-t-il l'ché. À plus long terme, Airbus vise le remplacement des ravitailleurs de l'armée de l'air canadienne, à l'horizon 2021-2022. Restent les enquêtes qui le visent : Airbus, qui coopère avec les autorités judiciaires en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis, espère vite tourner cette page qui ternit son image. « C'est généralement très long et dure plusieurs années », souligne Stéphane Albernhe. « Une fois que l'instruction a démarré, il y a deux objectifs pour l'industriel : faire en sorte de converger le plus rapidement possible pour réduire les impacts "réputationnels", et négocier afin que la sanction financière soit raisonnable. » https://www.lapresse.ca/affaires/economie/transports/201902/01/01-5213165-airbus-veut-croitre-en-amerique-du-nord-en-visant-la-defense.php

  • U.S. should follow Canada's lead in placing far right groups on terror list, says report

    15 octobre 2019 | Local, Sécurité

    U.S. should follow Canada's lead in placing far right groups on terror list, says report

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN The U.S. should follow Canada's lead in putting far-right extremist groups on its list of outlawed terrorist organizations, a new report on the danger of the white supremacist movement recommends. There is also a growing trend for white supremacist groups to seek military training and experience in foreign conflicts, particularly in Ukraine, warns the New York-based Soufan Center in its report “White Supremacy Extremism: The Transnational Rise of The Violent White Supremacist Movement. U.S. government efforts to fight white supremacy extremism (WSE) are lacking despite the increasing danger it poses, the report pointed out. “White supremacy extremism is a transnational challenge — its tentacles reach from Canada to Australia, and the United States to Ukraine – but it has evolved at a different pace in different parts of the world,” noted the report. “To make serious progress, the United States should consider building upon Canada and the United Kingdom's leadership by sanctioning transnational WSE groups as foreign terrorist organizations.” The report specifically pointed to Canadian efforts against the international neo-Nazi network called Blood & Honor. In June, Canada for the first time added right-wing extremist groups to its list of terrorist organizations. Blood & Honor as well as its armed branch, Combat 18, which has carried out murders and bombings around the world, were both put on the list. Blood & Honor was founded in the United Kingdom in the late 1980s but has supporters in Canada. By designating white supremacist groups as international terrorists, the U.S. government could hinder the travel of their members and prosecute individuals for providing material support to designated groups. In 2018 white supremacist extremists were connected to 50 murders in the U.S. The Soufan Center, created by former FBI agent Ali Soufan who was involved in a number of counter-terrorism cases, also warned white nationalists have been traveling to Ukraine to learn combat skills. Such recruits are on both sides of the conflict between Ukraine and pro-Russian separatists and an estimated 17,000 foreigners from 50 countries have gone to fight in that war, it added. “In Ukraine, the Azov Battalion has recruited foreign fighters motivated by white supremacy and neo-Nazi beliefs, including many from the West, to join its ranks and receive training, indoctrination, and instruction in irregular warfare,” the report outlined. The Azov Battalion has been formerly incorporated into the Ukrainian military, at least in theory, the report added. But the battalion has cultivated a relationship with members of the Atomwaffen Division, a U.S.-based neo-Nazi terrorist network. In late September police arrested a U.S. Army soldier in Kansas for allegedly sharing bomb-making instructions online and discussing attacks on the news media, left-leaning activists and former U.S. Congressman Beto O'Rourke. The soldier, Jarrett William Smith, was interested in joining the Azov Battalion in Ukraine, according to the FBI. He was corresponding with another man in Texas who had fought in Ukraine for a right-wing extremist organization. In June 2018 Canadian government and military officials in Ukraine met with members of the Azov Battalion, which earlier that year had been banned by the U.S. Congress from receiving American arms because of its links to neo-Nazis The Canadians were photographed with battalion members, images which were shared on the unit's social media site In a statement to this newspaper Department of National Defence spokesman Dan Le Bouthillier said the meeting was planned by Ukrainian authorities and Canadian representatives had no prior knowledge of those who would be invited. “Canada has not, does not, and will not be providing support to Azov and affiliated entities,” Le Bouthillier said. “Canada is strongly opposed to the glorification of Nazism and all forms of racism, racial discrimination, xenophobia, intolerance and extremism.” The Soufan Center report also noted that Russian neo-Nazis have links with white supremacists in western nations. On the other side of the conflict in Ukraine, Russian groups like the Russian Imperial Movement and its paramilitary unit have also attracted and trained foreign fighters motivated by white supremacy and neo-Nazi beliefs, the report added. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/us-should-follow-canadas-lead-in-placing-far-right-groups-on-terror-list-says-report

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