31 mai 2019 | Local, Aérospatial, C4ISR

Canadian Armed Forces’ unmanned surveillance drones will be equipped with Leonardo E-scan radar

At the CANSEC Exhibition, Leonardo has announced that it has signed a multi-million Euro contract with prime contractor QinetiQ to provide a number of PicoSAR Active Electronically Scanned Array (AESA, also known as ‘E-Scan') radars. The radars will equip the new unmanned intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance (ISTAR) aircraft that have been ordered by the Canadian Armed Forces. Designed and manufactured by Leonardo in Edinburgh, U.K., PicoSAR will be employed by Canadian military units at sea and on land, for both domestic and international operations.

PicoSAR offers high-performance E-scan surveillance capabilities in an extremely compact package. It is ideally suited for installation aboard the Canadian Armed Forces new system, which is based on the lightweight UMS Skeldar V-200 unmanned aerial system (UAS). With PicoSAR on-board, operators will benefit from a range of modes including high resolution synthetic aperture radar (SAR) imaging and ground moving target indication (GMTI). Together, these will deliver an effective all-weather ground mapping and surveillance capability for ISTAR missions.

PicoSAR is an extremely flexible system and has flown on more than 10 different aircraft. The radar has been flown in Oceania, the Far East, the Middle East, Europe, North Africa, North America and South America and has been acquired by more than 10 customers. PicoSAR is part of a wider portfolio of airborne radars that include M-Scan (mechanically-scanning) and E-scan (electronically scanning) systems for both surveillance and fire-control missions.

https://www.skiesmag.com/press-releases/canadian-armed-forces-unmanned-surveillance-drones-will-be-equipped-with-leonardo-e-scan-radar/

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  • La modernisation des hélicoptères Cormorant améliorera les capacités de recherche et sauvetage et offrira des possibilités économiques à la population canadienne

    27 avril 2023 | Local, Aérospatial

    La modernisation des hélicoptères Cormorant améliorera les capacités de recherche et sauvetage et offrira des possibilités économiques à la population canadienne

    Le 27 avril 2023 – Enfield (Nouvelle-Écosse) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Aujourd’hui, la ministre de la Défense nationale Anita Anand a visité l’entreprise IMP Aerospace à Enfield, en Nouvelle-Écosse, et s’est jointe à des représentants de Leonardo U.K. Ltd., d’IMP Aerospace et d’autres partenaires, qui ont annoncé l’octroi d’un important contrat de sous-traitance à IMP Aerospace dans le cadre du projet de modernisation à mi-vie du Cormorant (MMVC). Le projet de MMVC a pour but de moderniser la flotte d’hélicoptères CH-149 Cormorant du Canada, qui joue un rôle indispensable dans les opérations de recherche et sauvetage (SAR) de notre pays. Cette flotte assure la prestation de services fiables et essentiels au Canada depuis 2001, mais elle doit maintenant faire l’objet d’une mise à niveau pour conserver son efficacité opérationnelle. Grâce à un contrat d’une valeur de 1,168 milliard de dollars accordé en décembre 2022 à l’entreprise Leonardo U.K. Ltd, le Canada met donc à niveau sa flotte actuelle d’hélicoptères Cormorant à la version la plus avancée de l’appareil, en plus de faire l’acquisition de cellules et de pièces supplémentaires afin de porter la taille de sa flotte de 13 à 16 hélicoptères. La ministre Anand a accueilli favorablement l’annonce faite aujourd’hui par Leonardo U.K. Ltd. selon laquelle l’entreprise IMP Aerospace & Defence s’occupera en sous traitance, dans ses installations d’Halifax (Nouvelle Écosse), de la modernisation de 13 hélicoptères de recherche et sauvetage AW101/CH-149 Cormorant en service. Ainsi, dans le cadre de ce contrat de sous traitance, IMP livrera au Canada 13 des 16 Cormorant modernisés depuis ses installations d’Halifax. La mise à niveau des trois premiers hélicoptères sera, pour sa part, réalisée dans les installations britanniques de l’entreprise Leonardo. Les membres du personnel d’IMP iront suivre une formation en cours d’emploi au Royaume-Uni en vue de travailler sur les 13 autres hélicoptères visés par le projet de MMVC au Canada. La ministre Anand a souligné que le projet de MMVC a le potentiel de contribuer au PIB canadien en raison de près de 79 millions de dollars par an et de créer 650 emplois annuellement pour les entreprises canadiennes sur une période de 12 ans – preuve de notre engagement à veiller à ce que la sécurité nationale et la prospérité économique aillent de pair. La modernisation de la flotte de CH-149 Cormorant permettra à ces hélicoptères de rester opérationnels pour les décennies à venir, et les travaux d’entretien connexes contribueront aussi au maintien de bons emplois à Greenwood et à Halifax, en Nouvelle-Écosse, ainsi qu’à Gander, à Terre-Neuve-et-Labrador. Grâce au projet de MMVC, nous serons en mesure de continuer à exécuter des opérations SAR depuis Comox (Colombie-Britannique), Gander et Greenwood, et d’accroître la capacité de SAR à Trenton (Ontario). Citations « En modernisant la flotte d’hélicoptères Cormorant du Canada, nous investissons pour assurer la sécurité des Canadiens et soutenir la création de bons emplois pour la classe moyenne au pays. L’hélicoptère CH-149 Cormorant constitue un atout essentiel à l’appui des opérations de recherche et sauvetage au Canada. La modernisation de nos hélicoptères permettra de maintenir notre capacité de recherche et sauvetage tout en favorisant la création d’emplois pour les Canadiens et en injectant des millions de dollars dans l’économie. » L’honorable Anita Anand, ministre de la Défense nationale « Nos militaires jouent un rôle essentiel dans la protection du Canada et de ses collectivités. Ils méritent d’avoir à leur disposition l’équipement moderne nécessaire pour répondre aux attentes très élevées que nous leur imposons chaque jour. En modernisant notre flotte d’hélicoptères CH-149 Cormorant, nous aidons nos équipes de recherche et sauvetage à mener des opérations de la manière la plus sécuritaire et efficace possible, tout en favorisant la création de centaines d’emplois bien rémunérés dans nos collectivités. C’est une excellente nouvelle pour notre province. » L’honorable Sean Fraser, ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté et député de Nova-Centre  « Le projet de modernisation à mi vie des hélicoptères Cormorant est une excellente nouvelle pour la Nouvelle Écosse. La mise à niveau de ces hélicoptères permettra aux Forces armées canadiennes (FAC) de disposer des outils nécessaires pour mener leurs missions de recherche et sauvetage tout en offrant d’importantes possibilités économiques ici, dans notre province. Je suis particulièrement ravi que ces améliorations permettent aux FAC de maintenir leurs capacités de recherche et sauvetage à la 14e Escadre Greenwood, dans notre belle vallée de l’Annapolis. »  Kody Blois, député de Kings—Hants « Depuis plus de 20 ans, la flotte d’hélicoptères de recherche et sauvetage AW101/CH-149 “Cormorant” munit l’Aviation royale canadienne d’une capacité fiable de SAR d’un bout à l’autre du Canada. Le programme de modernisation à mi-vie prévoit la livraison d’une haute technologie de niveau supérieur à l’appui de la capacité de SAR tous temps que le pays mérite. Nous nous réjouissons d’exécuter ce programme par l’entremise de Team Cormorant. Nous pourrons ainsi réduire les coûts associés à la propriété de la flotte, tout en accroissant davantage la fiabilité et les capacités de la flotte, de même que la sécurité de la population canadienne. » Gian Piero Cutillo, directeur général, Leonardo Helicopters « L’entreprise Leonardo est ravie de poursuivre la relation qu’elle entretient avec le Canada depuis plus de 20 ans par l’attribution du projet de modernisation à mi-vie du Cormorant, lequel prévoit la mise à niveau et l’augmentation de la flotte existante d’hélicoptères de recherche et sauvetage AW101/CH-149 “Cormorant” du Canada. Leonardo travaillera étroitement avec ses partenaires de Team Cormorant pour assurer le transfert des connaissances et des capacités, puisque la modernisation de la majorité des hélicoptères visés par le projet de MMVC sera réalisée au Canada par l’industrie canadienne. » Adam Clarke, directeur général, Leonardo Helicopters UK « Depuis 2001, IMP soutient avec fierté la flotte d’hélicoptères de SAR du Canada. L’octroi de ce contrat reconnaît notre expérience unique avec le CH149 et notre rôle essentiel dans son maintien en puissance, aujourd’hui et à l’avenir. Notre partenariat avec le Canada et Leonardo permettra d’assurer des services de SAR ininterrompus et de renommée mondiale tout au long du projet de MMVC et de la transition vers la flotte de Cormorant de prochaine génération. » David Gossen, président, IMP Aerospace & Defence Faits en bref La valeur des deux contrats visant la modernisation à mi-vie du Cormorant et de la solution de simulation connexe s’élève à 1,24 milliard de dollars (toutes taxes comprises). Ce montant comprend : un contrat de 1,168 milliard de dollars (toutes taxes comprises) octroyé à Leonardo U.K. Ltd de Yeovil, au Royaume-Uni, pour la modernisation des hélicoptères; un contrat de 78 millions de dollars (toutes taxes comprises) octroyé à CAE Inc. de Montréal, au Québec, pour la solution d’instruction. Le renforcement des capacités et la mise à niveau de l’équipement visant la flotte de CH-149 ont pour but d’améliorer le service offert aux Canadiens et de satisfaire aux exigences de disponibilité opérationnelle pour appuyer le service national de SAR accessible en tout temps. Dans le cadre du projet, la flotte de CH-149 sera modernisée et passera à la version la plus avancée de l’hélicoptère, le modèle AW101-615, le même que la Norvège a acquis récemment pour exécuter ses missions SAR menées au moyen d’aéronefs à voilure tournante. Le choix de cette configuration déjà établie accélère considérablement la mise en œuvre du projet. Des solutions d’instruction seront également acquises dans le cadre du projet afin d’établir au Canada une capacité d’instruction du personnel navigant. Ce projet réutilisera autant de pièces que possible de l’inventaire des CH-149 actuels, entre autres, boîtes de vitesse, trains d’atterrissage et gouvernes, de sorte à réduire les coûts et à garantir un bon rapport qualité-prix. Les premières livraisons d’appareils mis à niveau et de systèmes d’instruction sont attendues en 2026, et on prévoit atteindre une capacité opérationnelle totale en 2030. Dans le cadre de la Politique des retombées industrielles et technologiques (RIT) du Canada, CAE Inc. et Leonardo U.K. Ltd collaboreront à des activités opérationnelles de haute qualité dans le secteur canadien de l’aérospatiale et de la défense de classe mondiale afin de garantir des retombées économiques pour l’industrie canadienne d’une valeur équivalant à celle des contrats accordés. Les entrepreneurs collaborent avec plusieurs entreprises canadiennes conformément à leurs engagements industriels au Canada, notamment dans des domaines de capacités industrielles clés, entre autres, l’intégration des systèmes de défense, la formation et la simulation, les systèmes et les composants aérospatiaux. Outre le contrat de sous-traitance accordé à IMP Aerospace & Defence, Leonardo investira la totalité de la valeur du contrat axé sur la MMVC parmi d’autres partenaires et fournisseurs canadiens. https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2023/04/la-modernisation-des-helicopteres-cormorant-ameliorera-les-capacites-de-recherche-et-sauvetage-et-offrira-des-possibilites-economiques-a-la-populat.html

  • A new Defence Procurement Agency – Would it solve anything?

    5 novembre 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    A new Defence Procurement Agency – Would it solve anything?

    By Brian Mersereau Defence Watch Guest Writer During the recent federal election, the issue of considering a new Defence Procurement Agency or DPA surfaced again. The Liberals made such an organization part of their defence platform this time around as part of their plan to improve military procurement. While positive outcomes could result from a new organizational structure, simply installing one will not in and of itself create an efficient procurement model. It most certainly will not address in any substantive manner why taxpayers pay far too much to acquire the defence capabilities Canada needs to protect our sovereign interests in a world that has become increasingly unstable in recent years. It appears that, in many cases, Canada pays more per unit of capability to satisfy its defence needs than most of its allies. Unfortunately, though quite logically, this phenomenon has effectively shrunk the size of our armed forces as the number of platforms we can afford to acquire continues to dwindle due to high costs. While this approach can create short-term jobs, they are ultimately unsustainable since there is no international market for our higher-priced solutions. This is not the direction in which Canada should be headed. Before Canada decides to move ahead with a new procurement agency, it should assemble a “smart persons” panel or forum to thoroughly review the existing system and establish the mandate and objectives of whatever type of organization results from said review. Such a review group must be composed of people from the public and private sector with significant experience, not skewed with staff whose procurement experience primarily consists of exposure to the Canadian “way”. During this review, the panel must examine various issues which are currently perceived to be an impediment to the efficiency of Canada's procurement system. Based on my own years of experience on both the buy and sell sides of the procurement equation, the following areas merit some serious thought: Organizational Structure The fewer individuals, departments and oversight committees with their fingers in the “procurement pie”, the quicker and more coherently things will get done. Even at today's interest rates, time really is money for all involved in the process. Adding more time to a schedule for another management review quite often has a negative impact. While I understand governance and oversight committees have their place, their overinvolvement can produce negative outcomes if mandates are not absolutely clear and if individuals on these committees have limited experience with respect to the issue at hand. Risk Canada's ongoing method for defence procurement is that it will not assume any risk on their side of a contract. If Canada insists the private sector must accept all risk, the private sector will so oblige – but at a significant price and to the detriment of schedules and timelines. As contract prices necessarily increase, so do governments costs to manage the contract. In reality, the most efficient procurement solution for Canada would see some elements of risk managed by the buyer, rather than entirely borne by the seller. More consideration needs to go into balanced risk-sharing formulas. Process Canada has an extremely hands-on procurement process for major systems during the competitive phase, as well as during the implementation of the contract. Even in this digital age, Canada hamstrings its own progress with the sheer degree of detail and bureaucracy it requires; unbelievably, freight trucks are still required to deliver proposals. It seems as though, on occasion, the buyer thinks it knows more about designing and engineering the defence systems Canada needs than the actual designers and engineers for whom it is a primary occupation. Requirements of little or no consequence are painstakingly spelled out in the greatest of detail. Such an approach has a tremendous impact on the amount of time consumed by both the buyer and seller, again driving up costs and extending schedules. Less “hand holding” by the customer must be seriously considered. Sole Source In the procurement world, “sole source” is often viewed as a dirty phrase. Frequently, Canada attempts to run competitions in scenarios where the chances of achieving any meaningful savings or benefits related to competition are low at best. This takes years and drives costs higher at no measurable gain for the buyer. The parameters of when and under what circumstances Canada should move directly to a sole source should be thoroughly reviewed. Significant resources are being wasted managing nearly meaningless processes. Skills Canada's internal skill set for managing large, complex defence procurements does not appear to be adequate. As a result, it turns more and more often to the expertise of external third parties in order to keep up with large private sector firms at the negotiation table from a knowledge and experience standpoint. While there will always be a need for some third-party expertise, project managing many external suppliers in the negotiation phase – each of whom have their own agendas – only further complicates the already convoluted procurement process. Canada would be much better off with an enhanced internal core staff. If Canada takes the time to review the appropriateness of some form of DPA model, it must cast the net wider and review other critical aspects of the procurement process – or else any organizational changes will inevitably succumb to the systematic inertia of the overall process. A failure to do so means Canada will continue struggling mightily to stand-up the level of defence and security necessary to secure its citizens in an increasingly turbulent world. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/a-new-defence-procurement-agency-would-it-solve-anything

  • Opinion | The Saturday Debate: Does Canada need to buy new fighter jets?

    16 août 2021 | Local, Aérospatial

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    Ottawa’s close ties to Washington often leads some to assume Canada does not need to spend on defence, instead relying on the U.S. to defend Canada’s ...

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