3 février 2022 | International, Aérospatial

Budget uncertainty 'throttles' MDA's development of a hypersonic missile interceptor

A Glide Phase Interceptor would round out MDA's plans to turn the ballistic missile defense architecture into one optimized for hypersonic missile defense as well. But the funding and the path forward for the interceptor remains unclear.

https://www.defensenews.com/naval/2022/02/02/budget-uncertainty-throttles-mdas-development-of-a-hypersonic-missile-interceptor/

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  • SCAF : Paris et Berlin ont trouvé un accord sur les moteurs du futur avion de combat européen

    29 novembre 2019 | International, Aérospatial

    SCAF : Paris et Berlin ont trouvé un accord sur les moteurs du futur avion de combat européen

    Par Michel Cabirol La France et l'Allemagne ont trouvé un accord sur l'organisation industrielle des moteurs. Dans un premier temps, Safran sera bien le maître d'oeuvre et MTU sous-traitant. Par la suite, les industriels vont créer une société commune à parité pour porter les contrats puis la certification du moteur. Rencontré la semaine dernière au salon aéronautique de Dubaï, le patron d'Airbus Defence & Space, Dirk Hoke, avait assuré à La Tribune que les difficultés du Système de combat aérien du Futur (SCAF) allaient être surmontées, y compris sur le difficile volet concernant les motoristes (Safran, MTU). Et de préciser que l'Allemagne et la France allaient "trouver une solution" sur l'organisation industrielle des moteurs du futur avion de combat européen, le programme NGF (Next Generation Fighter). C'est désormais chose faite, selon plusieurs sources concordantes. Le SCAF est donc enfin sur la piste de décollage. Si aucun aléa ne vient perturber la "phase de roulage"', le programme européen (Allemagne, France et Espagne) devrait décoller fin janvier avec la notification des contrats de Recherche et Technologie (R&T) sur les cinq piliers du projet, dont le fameux démonstrateur technologique sous la maîtrise d'oeuvre de Dassault Aviation qui est très attendu. Mais le temps presse. Et chaque minute compte, y compris celles des week-ends, pour être à l'heure du calendrier politique, comprendre, celui d'Emmanuel Macron et d'Angela Merkel. Une organisation industrielle enfin figée Paris et Berlin ont trouvé un accord oral, qui doit être désormais décliné par écrit. Dans la phase 1A (Recherche et Technologie), la France a obtenu que Safran soit clairement le maître d'oeuvre tandis que MTU se cantonne à un rôle de sous-traitant principal (main partner). Cette organisation était jusqu'ici contestée par MTU, lui même soutenu par le parlement allemand. Mais la France n'a pas cédé. C'était d'ailleurs une volonté très ferme de la France que d'équilibrer les rapports entre les industriels français et allemands sur le SCAF (Airbus Allemagne est maître d'oeuvre de trois piliers tandis que Dassault Aviation et Safran le sont pour un pilier chacun). "Ce schéma-là a fini par être agréé", explique-t-on à La Tribune. La direction générale de l'armement (DGA) voulait que "les responsabilités soient clairement affichées, contrairement à ce qui avait été fait pour le moteur de l'Airbus A400M", avait confirmé début octobre le Délégué général pour l'armement, Joël Barre, au Sénat. "Nous tenons donc à avoir un responsable par poste et nous sommes en discussion avec Safran et MTU de façon à ce que Safran joue ce rôle en matière de moteur, pour des raisons d'équilibre de partage industriel entre les postes", avait-il précisé. Ce qui avait provoqué un coup d'arrêt du programme SCAF en raison de l'hostilité de MTU, soutenu par le parlement allemand. Une société commune créée entre Safran et MTU Après la phase de R&T, Safran et MTU se sont engagés à créer une société commune à parité (50/50), dont la date de création et les contours doivent encore être négociés. Cette société portera les contrats et s'appuiera sur les compétences des deux sociétés mères. Mais la répartition des t'ches entre les deux industriels devra être cohérente en fonction de leur compétence (intégration pour Safran, services pour MTU). In fine, cette société portera la certification du moteur du futur avion de combat européen. Tous les acteurs concernés par ce dossier sont "alignés" sur ce schéma industriel, assure-t-on à La Tribune. La DGA n'attend plus désormais sur son bureau que les propositions techniques et financières des industriels, qui devraient arriver de façon imminente. Date butoir, le 6 décembre. Par ailleurs, la place d'Indra, le groupe espagnol que Madrid a désigné pour être son champion au sein du SCAF au grand dam d'Airbus, a également été réglée. Le groupe espagnol, qui sera un sous-traitant majeur de Dassault Aviation, ne sera pas seulement sur la photo, il sera bien dans le programme et obtiendra des contrats de R&T, affirme-t-on à La tribune. Par la suite, Indra aura une part définie selon le montant de l'investissement, que Madrid consentira dans le programme SCAF. Le dossier Propriété intellectuelle traité A Dubaï, le patron des activités défense d'Airbus s'était également montré résolument optimiste pour trouver une solution en vue de régler le dossier sensible de la propriété intellectuelle. D'autant que l'Allemagne a surpris en faisant la démonstration de son savoir-faire dans le domaine des systèmes de systèmes à travers un programme jusqu'ici secret. En effet, Airbus Allemagne a récemment dévoilé l'existence d'un démonstrateur de drone de combat furtif, baptisé LOUT (Low Observable UAV Testbed). Là aussi, la France et l'Allemagne ont trouvé un accord cadre où chaque industriel pourra protéger la propriété intellectuelle de ses compétences. Ce qui veut dire que Safran par exemple n'est pas obligé de transférer à MTU ses compétences sur les parties chaudes du moteur. En revanche, toutes les compétences nécessaires à l'établissement des études en commun sont partagées dans un cadre de droit d'usage. Clairement, tout ce qui est créé par les industriels dans le cadre de la coopération (Airbus/Dassault Aviation ou Safran et MTU par exemple), appartient de manière conjointe aux entreprises. En outre, les Etats peuvent s'en servir pour leurs besoins de défense. En revanche, pas question pour les industriels de transférer vers le civil des savoir-faire s'ils n'en ont pas la propriété intellectuelle. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/scaf-berlin-et-paris-ont-trouve-un-accord-sur-les-moteurs-du-futur-avion-de-combat-europeen-834088.html

  • The Pentagon is eyeing a 500-ship Navy, documents reveal

    28 septembre 2020 | International, Naval

    The Pentagon is eyeing a 500-ship Navy, documents reveal

    David B. Larter and Aaron Mehta WASHINGTON — The Pentagon's upcoming recommendation for a future Navy is expected to call for a significant increase in the number of ships, with officials discussing a fleet as large as 530 hulls, according to documents obtained by Defense News. Supporting documents to the forthcoming Future Navy Force Study reviewed by Defense News show the Navy moving towards a lighter force with many more ships but fewer aircraft carriers and large surface combatants. Instead, the fleet would include more small surface combatants, unmanned ships and submarines and an expanded logistics force. Two groups commissioned by Secretary of Defense Mark Esper to design what a future Navy should look like suggested fleets of anywhere from 480 to 534 ships, when manned and unmanned platforms are accounted for — at least a 35 percent increase in fleet size from the current target of 355 manned ships by 2030. The numbers all come from an April draft of inputs to the Future Navy Force Study conducted by the Office of the Secretary of Defense. While the number will likely have changed somewhat in final recommendations recently sent to Esper, the plans being discussed in April are notable as they reflect what will likely be major shift in the Navy's future — and the expectation is that a larger-than-planned Navy based on the concepts laid out in the documents will remain intact in the final analysis. Esper himself hinted at that in comments last week. In a speech delivered at the think tank Rand, the secretary called for a Navy of “over 350 ships,” specifically by increasing the Navy's shipbuilding funding account. “In short, it will be a balanced force of over 350 ships — both manned and unmanned — and will be built in a relevant time frame and budget-informed manner,” he said. Indeed, the fleet compositions presented in the inputs broadly reflect the concept of a lighter fleet more reliant on unmanned or lightly crewed vessels that Esper described to Defense News in a February interview. “One of the ways you get [to a larger fleet] quickly is moving toward lightly manned [ships], which over time can be unmanned,” Esper said then. “We can go with lightly manned ships, get them out there. You can build them so they're optionally manned and then, depending on the scenario or the technology, at some point in time they can go unmanned.” The Future Naval Force Study, overseen by Deputy Secretary of Defense David Norquist, kicked off in January after Esper decided he wanted an outside take on the Navy's self-review of its future force structure. The OSD-led review tasked three groups to provide their version of an ideal fleet construction for the year 2045, one each by the Pentagon's Cost Assessment & Program Evaluation office, the Joint Staff, the Navy and a group from the Hudson Institute. Those fleets were war-gamed and the results were compiled into the Future Naval Force Study, which was briefed to Esper earlier this month. Ultimately, the Navy is using the feedback from the study to create their shipbuilding plan and fiscal 2022 budget request, the service said in a statement. “The Future Naval Force Study is a collaborative OSD, Joint Staff and Department of the Navy effort to assess future naval force structure options and inform future naval force structure decisions and the 30-year shipbuilding plan,” said Navy spokesman Lt. Tim Pietrack. “Although COVID-19 has delayed some portions of the study, the effort remains on track to be complete in late 2020 and provide analytic insights in time to inform Program Budget Review 22.” The April documents viewed by Defense News included notional fleets designed by CAPE and the Hudson Institute. Defense News did not have access to the Navy's inputs into the FNFS. Neither fleet reviewed by Defense News, nor the fleet developed by the Navy, will be the final composition reflected in the FNFS. The numbers, however, provide a glimpse of the radically different future fleet likely to be reflected in the final analysis expected later this year. https://www.defensenews.com/naval/2020/09/24/the-pentagon-is-eyeing-a-500-ship-navy-documents-reveal/

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    26 mai 2022 | International, Aérospatial

    No title found

    Engines can make or break a business aircraft, as Cessna and Dassault discovered a few years ago. The exhibition halls display a range of established, reliable types of turbofan, intermingled with newer types yet to prove themselves in the hard slog of daily use. There is always scope for innovation, hence the appearance of some promising electric powerplants. Whether their likes will dominate the EBACE booths in a decade’s time is a matter for a "happy hour" debate after the show closes.  

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