18 octobre 2023 | International, Terrestre
Italy unveils weapons wish list, forecasts defense spending
Now on the list are 21 High Mobility Artillery Rocket Systems — U.S.-made rocket launchers that have seen success on the battlefield in Ukraine.
11 décembre 2020 | International, Aérospatial
St. Louis, December. 9, 2020 – Boeing [NYSE: BA] and the U.S. Navy have for the first time flown the MQ-25 T1 test asset with an aerial refueling store (ARS), a significant milestone informing development of the unmanned aerial refueler.
The successful 2.5-hour flight with the Cobham ARS – the same ARS currently used by F/A-18s for air-to-air refueling – was designed to test the aircraft's aerodynamics with the ARS mounted under the wing.
The flight was conducted by Boeing test pilots operating from a ground control station at MidAmerica St. Louis Airport in Mascoutah, Ill.
“Having a test asset flying with an ARS gets us one big step closer in our evaluation of how MQ-25 will fulfill its primary mission in the fleet – aerial refueling,” said Capt. Chad Reed, the U.S. Navy's Unmanned Carrier Aviation program manager. “T1 will continue to yield valuable early insights as we begin flying with F/A-18s and conduct deck handling testing aboard a carrier.”
Future flights will continue to test the aerodynamics of the aircraft and the ARS at various points of the flight envelope, eventually progressing to extension and retraction of the hose and drogue used for refueling.
“To see T1 fly with the hardware and software that makes MQ-25 an aerial refueler this early in the program is a visible reminder of the capability we're bringing to the carrier deck,” said Dave Bujold, Boeing's MQ-25 program director. “We're ensuring the ARS and the software operating it will be ready to help MQ-25 extend the range of the carrier air wing.”
The Boeing-owned T1 test asset is a predecessor to the engineering development model aircraft being produced under a 2018 contract award. T1 is being used for early learning and discovery, laying the foundation for moving rapidly into development and test of the MQ-25.
Following its first flight last year, T1 accumulated approximately 30 hours in the air before the planned modification to install the ARS.
Earlier this year the Navy exercised an option for three additional MQ-25 air vehicles, bringing the total aircraft Boeing is initially producing to seven. The Navy intends to procure more than 70 aircraft, which will assume the tanking role currently performed by F/A-18s, allowing for better use of the combat strike fighters.
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18 octobre 2023 | International, Terrestre
Now on the list are 21 High Mobility Artillery Rocket Systems — U.S.-made rocket launchers that have seen success on the battlefield in Ukraine.
16 septembre 2019 | International, C4ISR
En avril 2019, la ministre des Armées Florence Parly énonçait les grandes priorités et l'ambition de la France en matière d'intelligence artificielle. La ministre chargeait alors une équipe dédiée au sein du ministère des Armées de rédiger un rapport exhaustif sur le sujet. Rendu en juillet, le ministère des Armées décide aujourd'hui d'en diffuser une version publique. https://www.decideo.fr/Publication-du-rapport-du-ministere-des-Armees-sur-l-intelligence-artificielle_a11313.html
8 février 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR
Par Challenges le 08.02.2018 à 08h45 Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Objectif de cet "effort budgétaire inédit", selon les propos du président Emmanuel Macron : porter les dépenses de défense de la France à 2% du PIB en 2025, conformément à ce que réclame l'Otan de la part de ses membres, selon cette LPM présentée jeudi matin en conseil des ministres dont l'AFP a obtenu les détails. Le budget des armées, de 34,2 milliards d'euros en 2018, va bénéficier d'une hausse de 1,7 milliard d'euros par an jusqu'en 2022, avant des "marches" de 3 milliards par an à partir de 2023. Soit après la prochaine élection présidentielle. Cette trajectoire budgétaire ascendante contraste avec les réductions d'effectifs et les tensions financières endurées pendant plus d'une décennie par l'institution militaire, avant un redressement amorcé après les attentats de 2015. Reste une incertitude quant à la forte hausse des moyens programmée en 2024 et 2025, au-delà du quinquennat Macron. Pour l'heure, ce sont 198 milliards d'euros de besoins, de 2019 à 2023, qui sont "couverts de manière ferme", souligne-t-on au ministère. Les montants des années suivantes seront "précisés" lors d'une actualisation de la LPM en 2021. L'ancien chef d'Etat-major des armées Pierre de Villiers a appelé à la vigilance mercredi soir sur France 3, en soulignant que la mise en oeuvre de ces projections budgétaires était rarement fidèle aux engagements initiaux. "Nous sommes sur une pente à 1,7 milliard jusqu'en 2022 et ensuite la pente est à 3 milliards à partir de 2023 (...) Evidemment, nous avons l'expérience, il faudra être vigilant" sur l'exécution de ces engagements, a lancé le général, qui a démissionné en juillet 2017 après un conflit avec le chef de l'Etat en raison de coupes budgétaires. Le projet de LPM érige en priorités l'amélioration du quotidien du soldat et à la modernisation d'équipements à bout de souffle, alors que la France est engagée tous azimuts, au Sahel (opération Barkhane), au Levant (Chammal) et sur le territoire national (Sentinelle). Livraisons accélérées et augmentées Après quelque 60.000 suppressions d'effectifs entre 2005 et 2015, le ministère des Armées ambitionne de créer quelque 6.000 postes d'ici à 2025, en particulier dans la cyberdéfense (1.500) et le renseignement (1.500). Pour améliorer la condition des quelque 200.000 militaires français et les fidéliser, la LPM augmente nettement les crédits consacrés aux petits équipements (+34% sur 2019-23) -- gilets pare-balles, treillis... --, à l'entretien du matériel (+30%) et aux infrastructures (+71%), longtemps négligés. Deuxième grand axe : la modernisation accélérée des matériels existants, nombreux à aligner plusieurs décennies de service, a été privilégiée, et l'accent mis sur les capacités de renseignement (avions, drones, satellites...) susceptibles d'accroître l'autonomie stratégique française et européenne. L'armée de Terre va voir le renouvellement accéléré de ses véhicules blindés médians (programme Scorpion), dont 50% des nouveaux modèles seront livrés d'ici à 2025. Les fameux VAB, 40 ans au compteur, seront remplacés par les blindés Griffon, dont 150 exemplaires supplémentaires seront commandés. La Marine obtient quatre pétroliers ravitailleurs nouvelle génération, dont deux d'ici à 2025, un b'timent spécialisé dans le recueil de renseignement, et 19 patrouilleurs au lieu des 17 prévus pour surveiller les zones économiques exclusives françaises outre-mer. L'armée de l'Air se voit allouer 8 avions légers de surveillance, et le renouvellement accéléré de sa flotte quinquagénaire d'avions ravitailleurs Boeing KC-135 par 15 A330 MRTT, dont 12 auront été livrés en 2023. Pour préparer l'avenir, la France va lancer des études sur le remplacement de son unique porte-avions, qui sera retiré du service vers 2040. Seront également financées des études sur le système de combat aérien du futur et sur le char de combat du futur. Sur le plan de la dissuasion nucléaire, clé de voûte de la défense française, les travaux de renouvellement des deux composantes (navale et aérienne) seront engagés au cours du quinquennat. Budget estimé : 37 milliards d'euros entre 2019 et 2025. (Avec AFP) https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-veut-consacrer-pres-de-300-milliards-d-euros-a-sa-defense-en-sept-ans_566000