Beijing North Vehicle Group Corporation unveils lightweight tracked AFV

Sur le même sujet

• 

  26 novembre 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

  Fusil anti-drone, camionnette espion... Milipol, le grand bazar de la sécurité

  HASSAN MEDDAH Des allées pleines de visiteurs, des exposants toujours plus nombreux, des stands truffés d'innovations... La 21eme édition du salon Milipol dédiée à la sécurité et la sûreté des Etats, qui se tient à Paris du 19 au 23 novembre, fait encore le plein. A Paris Nord Villepinte, du 19 au 23 novembre, la 21eme édition de Milipol, qui vise 30 000 visiteurs professionnels, souligne le dynamisme du marché de la sécurité et de la sûreté au niveau mondial mais en France également. Forte de 130 000 personnes, la filière tricolore génère un chiffre d'affaires de 30 milliards d'euros dont un tiers réalisé à l'export. Outre son cycle de conférences, ce salon s'impose comme le véritable bazar de la sécurité. Les acheteurs professionnels, comme les 170 délégations étrangères qui ont fait le déplacement, ont pu trouver de quoi assurer leurs besoins en protection. Dans les stands, on trouve de tout... ou presque. 1/ Le fusil électromagnétique anti-drone de la gendarmerie Les gendarmes exposent sur le stand du ministère de l'Intérieur leur dispositif de lutte anti-drone. Une mallette équipée d'un dispositif rayonnant permet de détecter toute intrusion dans un rayon de 5 km. Le gendarme arrose alors le drone avec un fusil brouilleur émettant des ondes électromagnétiques avec une portée d'un km environ et dans un cône de 70° d'ouverture environ. Les ondes émises brouillent le GPS et neutralisent les communications entre l'opérateur du drone et son engin, forçant ce dernier à se poser. Cette solution a été conçue par la société italienne CPM Elettronica. 2/ La camionnette espion La société Intellexa expose un van d'un genre très particulier. En plus de ses deux passagers, il embarque un véritable centre de contrôle et d'espionnage pour mener des missions de renseignements dans le plus grand secret : caméras pour filmer les allées et venues dans les environs à travers les vitres teintées, antennes d'interception à 360° des communications sans-fil (Wifi, 2G, 3G, 4G...), outils d'investigation et d'infection numérique à distance... 3/ Des fusils en veux-tu, en voilà Sur le stand de l'armurier italien Beretta, se côtoient des armes pour snipper pour atteindre des cibles à plus de 2km, des armes semi automatiques capables de tirer plus de 800 coups par minute, des fusils d'assaut... 4/ Le laboratoire mobile d'analyse ADN Pour identifier des victimes au plus près du terrain lors d'une catastrophe (crash d'avion, ouragan, terrorisme...), la société TraceIP a conçu un laboratoire mobile d'analyse ADN. Opérationnel deux heures après l'arrivée sur site, il peut analyser une vingtaine d'échantillons en 30 minutes, gr'ce à une innovation développée et brevetée par l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale. 5/ Le drone dopé à l'intelligence artificielle Drone Volt présente sur son stand un drone de surveillance. L'appareil embarque deux cameras, l'une offrant un zoom optique *30, l'autre thermique pour la surveillance nocturne. Les images traitées par un moteur d'intelligence artificielle, identifient les formes, détectent des plaques d'immatriculation... Pour gagner en robustesse, son fuselage est constitué d'une structure carbone monobloc. 6/ Le détecteur de snippers La PME française Cilas présente sur son stand un système de détection avant-tir de sniper basé sur l'effet «œil de chat». Le laser du dispositif balaie une zone à risque préalablement définie envoyant un rayon invisible susceptible d'être réfléchi par la lunette du fusil du sniper ou ses jumelles. Le système permet alors de localiser le tireur jusqu'à 1 km de distance en fonction de la taille de l'optique détectée. Il est déployable en une dizaine de minutes. 7/ Le dispositif anti-voiture bélier Stopper net un véhicule de 7,5 tonnes lancé à 80 km/heure. C'est la capacité du dispositif contre les voitures bélier développé par la société Kopp. Ce ralentisseur à double sens d'arrêt est composé de deux peignes métalliques biseautés capables de relever à 50 cm de hauteur en moins de 3 secondes. Cet obstacle escamotable nécessite très peu de génie civil, se fondant dans la chaussée à 50 cm de profondeur. 8/ Les smartphones grand public avec une sécurité militaire Ercom, société récemment rachetée par Thales, présente à Milipol des téléphones sécurisés permettant l'échange de données confidentielles gr'ce à une carte SIM capable de chiffrer les appels, les SMS, les data.... Basée sur des smartphones Samsung, l'offre vise les collaborateurs des gouvernements et des grands groupes pour protéger leurs données sensibles en mobilité, et en cas de perte, de vol et d'écoute. Ces appareils bénéficient de l'agrément Diffusion Restreinte de l'OTAN et l'ANSSI, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information. https://www.usinenouvelle.com/editorial/en-images-fusil-anti-drone-camionnette-espion-milipol-le-grand-bazar-de-la-securite.N906149

• 

  11 janvier 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

  IISS analysts: Russian and Western defense firms face greater competition

  By: Tom Waldwyn and Haena Jo Over the next decade, companies from emerging defense industrial nations will provide greater competition for the Western and Russian firms that have previously assisted in their development. Successive Turkish, South Korean, Brazilian and Polish governments have invested heavily in their defense industries over the past decade, leading to much-improved capabilities and the introduction of complex platforms. While many of these are license-builds of Western equipment, a growing share is of original designs. However, their reliance on key subsystems from Western and Russian companies will likely continue for much of this period, presenting a potential vulnerability. License-building platforms with technology transfer has been used as a means of developing a local industrial capability with a more realistic chance of success than starting from scratch. For example, in the 1980s and 1990s, Turkey and South Korea assembled hundreds of F-16 fighter jets, and both have also license-built German submarines, as has Brazil. Significant investment in these programs has meant that these countries now have the industrial capability to produce an increasing number of platforms with original designs. South Korea's T-50 Golden Eagle (a trainer and light-attack aircraft with multiple variants) was developed based on both the country's experience and technology transfer from assembling F-16s. Poland's initial license-build of Finnish armored personnel carriers has now led to several local variants based on that design, and Turkey has begun to design a new attack helicopter based on its experience building the Italian-designed T129. This has gone hand in hand with procurement and industry reform. South Korea created the Defense Acquisition Program Administration in 2006 to manage procurement and develop industrial capability. Poland consolidated most of its state-owned industry under the PGZ holding company in 2015. South Korea's threefold increase in defense exports over the past decade — $1.52 billion in 2019 with a record high of $2.36 billion in 2016 — has been boosted by its companies winning contracts against European and Russian competitors. The aforementioned T-50 family has won competitions in countries such as Iraq, Indonesia and Thailand at the expense of Western and Russian aircraft. Similarly, South Korean shipyards have now signed deals to export frigates and tankers to a variety of countries including Thailand and the U.K. Significantly, in 2011, a South Korean shipyard secured a contract to supply Indonesia with submarines, beating the German original equipment manufacturer that transferred technology to South Korea in the 1980s for license-production. Although Turkey's high-profile export successes have largely come due to its political relationships rather than success in open competition, it too has seen its defense and aerospace (including civil) exports more than treble during this time, reaching $2.78 billion in 2019. Brazil's export successes ($1.3 billion in 2019) have largely come in the aerospace sector with the A-29 Super Tucano trainer/light-attack aircraft being widely exported. Recently the country has begun to secure the first sales of its KC-390 transport aircraft. Despite strong growth in defense manufacturing capability (both South Korea and Turkey report overall localization rates of around 70 percent, for example), these nations continue to rely on Western and Russian suppliers for key subsystems, with high-end electronics and engines being particular weaknesses. Attempts to fit a locally designed power pack into the K2 Black Panther main battle tank have been wracked with difficulty, forcing South Korea to order additional engines and transmissions from German suppliers. Similarly, Poland's production of its Krab howitzer ran into problems early on due to technical issues with the chassis and engine, forcing a switch to South Korean and German replacements, respectively. Turkey provides a case study of what can happen when a reliance on foreign subsystems clashes with those countries taking a dim view of your actions. Since the mid-2000s, development of the Altay main battle tank proceeded relatively smoothly, in part because the prototypes were fitted with proven German power packs. However, arms embargoes since 2016 have derailed series production. A 2015 contract to develop a local propulsion system was canceled in 2017 when the Austrian company selected to assist pulled out. Similar issues have hampered the sale of attack helicopters to Pakistan (an Italian design fitted with American engines) as well as the production of armed UAVs (Canadian sensors and engines). Beyond these emerging challengers for defense exports, other nations also warrant consideration. Japan, a country with a high localization rate since the 1990s, produces a variety of advanced platforms across different sectors. However, changing government and business practices to support export campaigns will take time. India has also invested heavily in its industry, yet bureaucratic conflicts and technical challenges have made fulfilling local requirements a challenge. The United Arab Emirates has begun to export equipment, albeit low-tech materiel. All this being said, the impact of COVID-19 on government spending will likely be felt for several years, with some importer nations already postponing programs. Whether local demand in exporter nations can make up for this remains to be seen. Tom Waldwyn is a research associate for defense and military analysis at the International Institute for Strategic Studies, where Haena Jo is a research analyst for defense and military analysis. https://www.defensenews.com/outlook/2021/01/11/iiss-analysts-russian-and-western-defense-firms-face-greater-competition/

• 

  4 janvier 2023 | International, Naval

  How the New Zealand Navy plans to fix its sailor and ship shortfalls

  “We have lost significant flexibility,” said Rear Adm. David Proctor, “and we have lost the ability to undertake a number of concurrent activities.”