30 juin 2021 | International, Terrestre

BAE Systems to deliver first M-Code GPS User Equipment to Germany

Germany will be the first recipient M-Code ready receivers, but the Space Force says other agreements are in the works.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2021/06/29/bae-systems-to-deliver-first-m-code-gps-user-equipment-to-germany/

Sur le même sujet

  • Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    11 juillet 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    Camille Grand, secrétaire général adjoint de l'Otan, se veut rassurant sur les relations entre les Etats-Unis et l'Europe sur les questions de défense. JACQUES HUBERT-RODIER L'Organisation militaire qui unit les puissances occidentales n'est pas en danger, selon le secrétaire général adjoint de l'Otan. Les critiques répétées du président américain Donald Trump sur l'implication financière insuffisante des pays européens sont plutôt justifiées, selon lui, et ne devraient pas dégénérer en une confrontation ouverte. Le renforcement de l'Europe de la défense, complémentaire de l'Otan, serait également bien accepté outre-Atlantique, à condition qu'elle reste complémentaire dans ses développements. L'Otan peut-elle surmonter la tension entre les Etats-Unis, l'Europe et le Canada ? Ce n'est pas la première fois que l'Alliance atlantique connaît des tensions entre ses Etats membres. C'est arrivé avec le départ de la France des structures militaires intégrées dans les années 1960, puis au moment des décisions de déploiement des euromissiles dans les années 1980, et plus récemment lors de la guerre en Irak, en 2003. Mais les Alliés ont toujours su surmonter ces débats et il ne faut pas dramatiser ces tensions, d'autant plus que, sur les dossiers de fond, l'Otan avance et s'adapte. Certes, il y a aujourd'hui de vrais désaccords transatlantiques, mais sur des sujets extérieurs à l'Otan, comme sur le changement climatique,les questions de commerce international ou l'Iran. Ce ne sont pas des sujets sur l'agenda, quotidien ou régulier, de l'Otan. Le président Trump ne cesse de critiquer l'Otan... Malgré les critiques adressées aux Alliés par le président Trump, il y a aux Etats-Unis un consensus assez large sur le soutien à l'Otan et à la relation transatlantique. La forte critique sur le partage du fardeau financier de l'Alliance est un thème récurrent depuis des années de la part des Américains qui estiment, non sans raison, que les dépenses militaires sont trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et les autres alliés. Les choses évoluent aujourd'hui. Européens et Canadiens font-ils assez pour leur défense ? Les Américains demandent aux Alliés de respecter l'objectif qu'ils se sont assignés eux-mêmes lors du sommet de 2014 à Newport, au pays de Galles , c'est-à-dire de parvenir à 2 % de leur PIB consacré à la défense en 2024 - dont 20 % pour l'investissement dans de nouveaux matériels et à la recherche et développement. Aujourd'hui, le tableau est contrasté : d'un côté, tous les Alliés ont augmenté leur effort de défense. Canadiens et Européens ont au total dépensé 87 milliards d'euros de plus. En 2018, huit alliés (1) consacreront au moins 2 % de leur PIB à la défense, contre trois il y a quatre ans. Dix-huit ont annoncé qu'ils atteindront cet objectif en 2024 ou peu après. La France s'y est, pour sa part, engagée pour 2025. De l'autre côté, il est vrai qu'un certain nombre de pays sont encore un peu en retrait et n'ont pas pris d'engagement clair pour parvenir aux 2 % en 2024, même s'ils augmentent leur effort. C'est un peu un débat sur le verre à moitié plein ou à moitié vide. Donald Trump accuse surtout l'Allemagne ? L'Allemagne s'est engagée fermement à parvenir à 1,5 % de son PIB en 2024. Ce qui constitue une augmentation déjà significative de ses dépenses pour une grosse économie. Parviendra-t-elle à 2 % dans un avenir rapproché ? Politiquement, c'est encore en discussion au sein de la coalition et du Bundestag. Techniquement, l'Allemagne, je pense, peut et doit y arriver car l'argument de dire « nous sommes un pays trop riche » n'est pas recevable alors que des pays plus pauvres font cet effort. Cela sera sans doute étalé dans le temps. Pourquoi 2 % ? Cet objectif existe depuis longtemps mais il est devenu politiquement très engageant depuis 2014 avec la promesse faite au sommet du pays de Galles. C'est un chiffre raisonnable si l'on compare à la période de la guerre froide où la plupart des pays de l'Otan étaient plutôt entre 3 % et 4 % du PIB, ou aux dépenses d'autres puissances majeures. Ce n'est pas une course frénétique aux armements mais une norme cohérente avec un environnement stratégique incertain et dégradé. L'Europe de la défense est-elle concurrente de l'Otan ? Ce débat est aujourd'hui largement dépassé. L'Europe de la défense et l'Alliance atlantique doivent être complémentaires. Si l'Otan plaide bien sûr pour éviter les duplications inutiles et assurer la meilleure coordination possible, les décisions récentes de l'Union européenne pour renforcer l'Europe de la défense sont bienvenues et utiles avec la mise en oeuvre de la coopération structurée permanente, et surtout avec des investissements dans le prochain cadre budgétaire européen 2021-2027 dans deux domaines importants vu de l'Otan : 6,5 milliards d'euros pour des infrastructures liées à la « mobilité militaire » et la création du Fonds européen de défense doté de 13 milliards d'euros. Certes, tout cela représente 1 % des dépenses de défense en Europe, mais cela aide à faire de l'Union européenne un acteur de la scène stratégique avec lequel l'Otan travaille dans un nombre croissant de domaines. Les relations entre les deux organisations sont denses et n'ont d'ailleurs sans doute jamais été aussi bonnes Comment voyez-vous les relations avec la Russie ? Depuis deux ans, l'Otan mène une double approche : d'une part, de dissuasion et de défense avec la consolidation du flanc oriental de l'Alliance gr'ce à une présence avancée, légère, de quatre bataillons dans les trois pays Baltes et en Pologne, et un renforcement de ses structures de commandement ; et, d'autre part, de dialogue. Depuis 2016, le conseil Otan-Russie (COR) s'est réuni sept fois. La rencontre du 16 juillet, à Helsinki, entre les présidents Poutine et Trump s'inscrit ainsi dans les échanges normaux et réguliers entre les leaders de l'Alliance et la Russie. La menace terroriste est-elle un autre sujet de préoccupation ? L'Otan est engagée dans la défense collective. C'est notre « coeur de métier ». Ce qui est nécessaire face à l'attitude russe des dernières années, comme en Ukraine avec l'annexion illégale de la Crimée. Mais elle l'est aussi dans la lutte contre le terrorisme. Plus de 16.000 soldats sous le drapeau Otan sont déployés en Afghanistan pour aider et soutenir l'armée afghane. L'organisation prépare, en outre, une mission d'entraînement en Irak. Ce qui est une contribution à la lutte contre Daech. La Turquie pose-t-elle un problème pour l'Alliance ? La Turquie est un allié majeur et toujours actif, depuis 1952, dans nos débats. Elle est confrontée à des défis de sécurité exceptionnels du fait de sa situation stratégique et de la menace terroriste. La situation dans le nord de la Syrie a pu donner lieu à quelques tensions. Actuellement, il y a cependant une feuille de route américano-turque sur la Syrie, et les tensions et les incompréhensions sont moins perceptibles. https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0301937638238-camille-grand-tous-les-allies-de-lotan-augmentent-leurs-depenses-de-defense-2191399.php

  • Raytheon and C3.ai announce alliance on artificial intelligence solutions

    1 décembre 2020 | International, C4ISR

    Raytheon and C3.ai announce alliance on artificial intelligence solutions

    Andrew Eversden WASHINGTON — Raytheon's intelligence and space business is partnering with C3.ai, a software company known for its predictive maintenance business with the U.S. Air Force, the companies announced Monday. The alliance between C3.ai and Raytheon Intelligence and Space aims to speed up artificial intelligence adoption across the U.S. military. The partnership will pair Raytheon's expertise in the defense and aerospace sector with C3.ai's artificial intelligence development and applications. “The military and intelligence community have access to more data now than any time in history, but it's more than they're able to make quick use of,” said David Appel, vice president of defense and civil solutions for space and C2 systems under Raytheon Intelligence and Space. “Artificial intelligence can be used to help them make sense of that data, which will allow them to make smarter decisions faster on the battlefield. And that's just one of the benefits.” In recent years, C3.ai has positioned itself as a trusted partner of the Air Force, providing predictive maintenance capabilities for the service's E-3, C-5 Galaxy, F-15, F-16, F-18 and F-35 aircraft. The Pentagon's Silicon Valley arm that helped bridge C3.ai into the Pentagon, the Defense Innovation Unit, estimated that the program could save the service $15 billion annually in maintenance funds if it was scaled to the Defense Department's entire aircraft fleet. In January, DIU awarded a five-year, $95 million contract to C3.ai for predictive maintenance. The alliance between the two companies will also focus on helping the intelligence community. “Raytheon and C3.ai are driven by similar purposes: Anticipating and solving our customers' most difficult problems,” said Thomas Siebel, CEO of C3.ai. “Together, we offer an end-to-end enterprise AI platform and mission-tailored applications that will dramatically reduce cost and risk, accelerate adoption and deployment of AI solutions, and scale the impact of AI across any organization.” In September, the Air Force's rapid sustainment office selected C3.ai's C3 AI Suite platform and C3 AI Readiness product to support predictive maintenance across the service's enterprise. “Raytheon and C3.ai represent key partners for the U.S. Air Force, and specifically the Rapid Sustainment Office, in realizing the vision of harnessing AI to transform the military into a digital organization,” said Nathan Parker, deputy program executive officer for the Air Force Rapid Sustainment Office. “Fulfilling this vision of broad implementation requires identifying applicable use cases for AI across the Air Force, rapidly piloting solutions, and scaling successes across our enterprise to accelerate the transformation.” Also on Monday, C3.ai announced that it will be launching an initial public offering. It expects shares to be valued between $31-$34. https://www.c4isrnet.com/artificial-intelligence/2020/11/30/raytheon-and-c3ai-announce-alliance-on-artificial-intelligence-solutions/

  • GA-ASI Conducts Japan Coast Guard Validation Flights

    13 juillet 2020 | International, Aérospatial

    GA-ASI Conducts Japan Coast Guard Validation Flights

    General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI) announced that it will partner with Asia Air Survey (AAS) to hold a series of validation flights for the Japan Coast Guard (JCG) featuring GA-ASI's SeaGuardian beginning in mid-September. The purpose of the flights is to validate the wide-area maritime surveillance capabilities of RPAS for carrying out JCG's missions, including search and rescue, disaster response, and maritime law enforcement. The flights are expected to run for approximately two months and will include support from the Japan Maritime Self Defense Force (JMSDF) at its Hachinohe base in Aomori Prefecture. According to the JCG, the flight validation will be conducted in accordance with “The Policy on Strengthening the Maritime Security Systems,” using Unmanned Aerial Vehicles to perform maritime wide-area surveillance using new technology. “We're pleased to support the JCG's goals of validating SeaGuardian's maritime surveillance performance,” said Linden Blue, CEO, GA-ASI. “We know there is a need in Japan and worldwide for affordable, long-endurance airborne surveillance in the maritime domain.” The SeaGuardian system will feature a multi-mode maritime surface-search radar with Inverse Synthetic Aperture Radar (ISAR) imaging mode, an Automatic Identification System (AIS) receiver, and High-Definition – Full-Motion Video sensor equipped with optical and infrared cameras. This sensor suite enables real-time detection and identification of surface vessels over thousands of square nautical miles. The featured Raytheon SeaVue surface-search radar system provides automatic tracking of maritime targets and correlation of AIS transmitters with radar tracks. https://www.uasvision.com/2020/07/09/ga-asi-conducts-japan-coast-guard-validation-flights/

Toutes les nouvelles