9 juillet 2022 | International, Aérospatial
18 février 2020 | International, Aérospatial
ByEd Adamczyk
Feb. 17 (UPI) -- A solar-powered unmanned aircraft with a wingspan of 114 feet completed its maiden high-altitude flight in the stratosphere, maker BAE Systems said on Monday.
The plane, called PHASA-35, which stands for Persistent High altitude Solar Aircraft and its wingspan measured in meters, is meant to fly about 32 miles above the earth in the space, in the upper atmosphere between conventional aircraft and satellites.
The aircraft's solar-powered batteries could allow it to stay aloft for over a year at a time, providing a stable platform for monitoring, surveillance, communications and security applications.
It can also offer military and commercial customers with capabilities not available from existing air and space platforms, and could be used in communications networks disaster relief and border protection at a fraction of the cost of satellites, BAE said in a statement.
The plane, which went from proof of capability to testing in only 20 months, is underwritten by Britain's Science and Technology Laboratory and Australia's Defense Science and Technology Group, and built by BAE Systems and its subsidiary, Prismatic Ltd. Its flight trials were successfully completed at the Royal Australian Air Force Woomera Test Range in South Australia.
"To go from design to flight in less than two years shows that we can rise to the challenge the U.K. government has set industry to deliver a Future Combat Air System within the next decade," said Ian Muldowney, engineering director at BAE Systems.
Additional test are scheduled for later this year, with plans to enter initial operations with customers within 12 months.
Airbus is among companies competing in the high-altitude, long-endurance category of planes, and in 2019 completed a 26-day test flight of its solar-powered Zephyr S "High Attitude Pseudo-Satellite."
https://www.upi.com/Defense-News/2020/02/17/BAE-successfully-tests-solar-powered-high-altitude-plane
9 juillet 2022 | International, Aérospatial
14 janvier 2022 | International, Aérospatial
C'est une première en France et en Europe. Thales lance, ce vendredi, la commercialisation d'une plateforme collaborative privée, qui permet aux industriels de l'armement, à leurs sous-traitants, leurs clients ainsi qu'au ministère des Armées et à la Direction générale de l'armement (DGA) d'échanger des données sensibles, classées au 1er niveau du secret-défense. « Nous avons lancé ce projet en partant du retour d'expérience du premier confinement. Il a montré la difficulté d'échanger à distance, de façon sécurisée, des données à diffusion restreinte alors que, pendant cette période, les risques de cyberattaques et de fuites s'étaient multipliés », explique Marc Darmon, directeur général adjoint de Thales en charge des activités communications et sécurité. Présentée hier à Joël Barre, directeur de la DGA, la plateforme collaborative, baptisée « TrustNest Restricted » (espace de confiance pour l'échange de données confidentielles), a été certifiée par l'Autorité nationale en matière de sécurité et de défense des systèmes d'information (ANSSI). Ce cloud doit prochainement équiper le ministère des Armées. Le premier marché visé est celui de l'industrie de l'armement dont les acteurs ont déjà des systèmes informatiques à diffusion restreinte. Ces terminaux seront aussi proposés aux industriels européens qui sont engagés dans des programmes de défense en coopération, tels que le système de combat aérien du futur (SCAF) et le système principal de combat terrestre (MGCS). Autres marchés visés, celui des opérateurs d'intérêt vital (OIV), qui regroupe quelque 200 entreprises dans les transports, l'énergie et le nucléaire, ainsi que toute entreprise opérant dans un domaine sensible. Globalement, en France, 30% des informations échangées relèvent de la diffusion restreinte. Le Figaro du 14 janvier
12 mai 2023 | International, Aérospatial
Athens is keen on building up a military-drone sector at home.