19 avril 2021 | International, Naval

Babcock awarded Asset Availability Service contract continuing in-service support to Phalanx Close Weapon System

Phalanx CIWS is a rapid-fire, computer-controlled radar and 20mm Gatling gun system and is the Royal Navy’s primary defence for ships against the threat of anti-ship missiles.

https://www.epicos.com/article/692046/babcock-awarded-asset-availability-service-contract-continuing-service-support

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    26 mai 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    La Défense, une des clefs de la relance ?

    Les présidents du Gifas et du BDLI appellent à une accélération de l'engagement de la France et de l'Allemagne sur les programmes de défense pour contre-balancer les effets de la crise sur la filière aéronautique civile. Une supply chain duale Face à une filière aéronautique civile confrontée à la première crise systémique de sa jeune histoire, Eric Trappier et Dirk Hoke, respectivement président du Gifas et président du BDLI, appellent « d'une même voix et d'une façon urgente à un plan de relance européen ambitieux en faveur de l'aéronautique civile pour préserver l'avenir ». Et cela passe notamment par « un soutien fort au niveau européen aux domaines de la défense et de l'espace, au moment où les enjeux budgétaires et de souveraineté sont cruciaux ». En clair, une accélération et un engagement plus fort des gouvernements français et allemands dans les programmes de défense mais aussi spatiaux peuvent venir « contre-balancer utilement la baisse d'activité de la filière aéronautique civile et dont les conséquences sur la chaîne des fournisseurs mettent en danger un certain nombre d'ETI et PME», souligne Eric Trappier qui est aussi président de Dassault Aviation. « D'autant que nombre de ces entreprises ont une activité duale. Elles sont présentes à la fois dans le civil et le militaire », poursuit-il. Accélérer sur le SCAF « Ces ETI et PME sont également vitales par le caractère unique de leurs savoir-faire. Si elles ne survivent pas à la crise, nous souffrirons tous », surenchérit Dirk Hoke qui ajoute : « il faut donc accélérer sur le volet défense pour également préserver nos capacités qui sont cruciales pour réaliser l'autonomie stratégique et la souveraineté de l'Europe ». Une claire allusion au programme SCAF qui ne s'appuie pour l'instant que sur une enveloppe de 150 M€ pour une durée de dix-huit mois. Ce contrat-cadre appelé Phase 1A doit déboucher sur des financements plus substantiels avec 4 Md€ prévus d'ici à 2025. Raison de plus pour débloquer de nouveaux fonds et plus vite dans le contexte actuel. Financer la R&T sur l'avion durable Pour les présidents du Gifas et du BDLI, le deuxième volet de ce plan relance européen européen ambitieux en faveur de l'aéronautique civile est le soutien aux efforts conjoints « de la profession en faveur de l'innovation et d'une aviation responsable, intégrant les enjeux liés à l'environnement ». Pour Dirk Hoke, qui est aussi président d'Airbus Defence and Space, l'abandon du projet E-Fan X, un démonstrateur dédié aux essais de propulsion électrique, ne signifie nullement que le constructeur européen a renoncé à ses travaux de recherche sur la décarbonisation de l'aviation. Si Airbus a suspendu le programme E-Fan X, le constructeur, en collaboration avec Siemens et le DLR, l'équivalent de l'Onera en Allemagne, a également réalisé des travaux sur la propulsion à hydrogène sur un démonstrateur baptisé HY4 qui a d'ailleurs réalisé un premier vol dès 2016. Au décollage, une batterie lithium-ion fournit l'électricité, mais en vol, une pile à combustible puise de l'hydrogène dans un réservoir maintenu à basse température pour produire un courant électrique par réaction avec l'oxygène de l'air, puis rejette de la vapeur d'eau. De son côté, Dassault Aviation a identifié plusieurs applications possibles avec des piles pouvant alimenter des fonctions de base « telles que les charges de cabines avions, les sources d'énergie pour les équipements, les galleys ou cuisines », voire même « des fonctions intégrées comme l'alimentation de secours ou le remplacement de l'unité auxiliaire de puissance ». Plus dans notre prochain numéro 2689 du 22 mai. https://www.air-cosmos.com/article/la-dfense-une-des-clefs-de-la-relance-23110

  • Indian Air Force chief defends Rafale fighter deal against claims of crony capitalism

    4 octobre 2018 | International, Aérospatial

    Indian Air Force chief defends Rafale fighter deal against claims of crony capitalism

    By: Pierre Tran and Vivek Raghuvanshi NEW DELHI and PARIS — Indian Air Force chief, Air Chief Marshal Birender Singh Dhanoa defended the decision of India's ruling National Democratic Alliance to buy 36 Rafale fightersfrom France, calling it “a game changer" even as the opposition party criticizes the deal. Addressing annual news conference, Dhanoha said: "At the appropriate level, the Indian Air Force was consulted, but it is for the government to choose. It was decided to buy two squadrons through a government to-government deal, to meet up emergency requirements.” India and France signed the €7.8 billion (U.S. $8.99 billion) inter-governmental agreement Sept. 23, under which 36 Rafale fighter aircraft will be procured from Dassault Aviation for Indian Air Force (IAF) in fly away condition. France will invest 30 percent of the total contract value in India's military aeronautics-related research programs and 20 percent into local production of Rafale components to fulfil the mandatory offsets under the deal. The deliveries of Rafale fighters will start this month. India's main opposition party, Indian National Congress, has claimed on several occasions that the Rafale deal is grossly overvalued and tainted by crony capitalism. The Congress said the Modi government had failed to answer several questions on why public sector Hindustan Aeronautics Limited (HAL) had lost the manufacting deal to industrialist Anil Ambani's Reliance Defence Ltd. “The earlier deal for 126 medium multirole combat aircraft reached an impasse during negotiations," Dhanoa said,, referring to a $12 billion medium, multi-role combat aircraft program that was launchced in 2007 but scrapped 10 years later. "We had three options: wait for something good to happen, withdraw the global tender and start over again, or do an emergency purchase. We did an emergency purchase.” Dhanoa called the cost of 36 Rafale was “reasonable and adequate." The latest comments from Dhanoa come after Indian defence minister Nirmala Sitharaman called baseless congressional allegations of a reduction in the number of Rafale jets being purchased from France. Congress has demanded the government explain why instead of 126 Rafale fighter jets, only 36 are being purchased if they were cheaper under the NDA deal than the prior deal. Sitharaman is expected to hold the first annual defence ministers dialogue with her counterpart Florence Parly in Paris Oct. 12-13, as the two countries seek to expand bilateral defense and strategic ties. In France, Dassault said the company had picked Reliance as its Indian partner to meet requirements for local offset established by the Indian Defense Procurement Procedure and Make in India policy. The statement followed controversy sparked by remarks by former French president François Hollande, who said the Indian government selected Reliance as the local partner and that the company "had nothing to say on the subject, we had no choice, we took the partner which was presented.” Dassault put out its statement on the deal for 36 Rafale to India Sept, 21 statement, stating that, in accordance with the policy of Make in India, Dassault Aviation decided to make a partnership with India's Reliance Group. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2018/10/03/indian-air-force-chief-defends-rafale-fighter-deal-against-claims-of-crony-capitalism

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