20 mars 2023 | International, Aérospatial, C4ISR
Space Force seeking $1.2B for ‘Long Range Kill Chains’ target tracking
Because the program is mostly classified, the budget documents offer few details on the sensors the service will develop.
5 avril 2018 | International, Aérospatial
C'est une visite importante pour les industriels du secteur. La ministre de la défense allemande, Ursula von der Leyen, vient ce jeudi à Paris rencontrer son homologue Florence Parly. Après cinq mois sans gouvernement, la ministre, confirmée à son poste par Angela Merkel, devrait maintenir l'agenda de coopération bilatérale défini lors du conseil des ministres franco-allemand du 13 juillet dernier. Notamment pour la réalisation en commun d'un grand nombre d'équipements militaires du futur : avions de combat, drones, chars...
L'engagement de la ministre est important alors que le SPD, traditionnellement hostile aux interventions militaires et aux exportations d'armes, a imposé en partie ses réticences dans le programme de gouvernement du quatrième mandat d'Angela Merkel. Toutefois, depuis juillet, les administrations et les états-majors des armées ont maintenu leurs travaux, ce qui permettra à Florence Parly et Ursula von der Leyen d'annoncer la réalisation en coopération du « système de combat aérien du futur », probablement un ensemble d'avions pilotés et de drones, voire d'outils de défense sol-air ou air-air, lors du Salon aéronautique de Berlin qui démarre le 25 avril.
A cette occasion, les deux ministres signeront ensemble un document réalisé par les états-majors français et allemand sur leurs besoins futurs. « Ce document est essentiel pour exprimer les besoins des armées, et sera ensuite décliné entre les industriels français et allemands (Dassault, Safran, MBDA, Airbus, etc.) pour converger peu à peu vers une feuille de route pour construire le système d'avion de chasse qui remplacera à l'horizon 2040 les Eurofighters de l'armée allemande et les Rafale de l'armée française », explique l'entourage de Florence Parly.
Un sujet majeur pour la survie de l'industrie aéronautique européenne et un symbole très fort de la nouvelle volonté de la France et de l'Allemagne de renforcer l'Europe de la défense. Si l'Allemagne et la France parviennent à travailler de concert sur l'avion de chasse de 5e génération, la probabilité que l'Allemagne choisisse l'avion de combat américain F-35 de Lockheed-Martin pour remplacer ses vieux Tornado s'éloigne. A l'hôtel de Brienne, on estime possible de faire converger les études des différents industriels jusqu'à la définition d'un projet concret en 2019.
Pas question de répéter les erreurs de l'avion de transport militaire A400M. L'Allemagne et la France veulent d'abord bien définir le projet avant d'ouvrir le projet à d'autres pays. D'autant plus que la Grande-Bretagne, empêtrée dans ses problèmes de Brexit, ne semble plus vouloir poursuivre le projet de drone de combat du futur engagé avec Dassault et BAE, ce qui oblige à une redéfinition des enjeux.
Une autre coopération est en bonne voie : le futur eurodrone de moyenne altitude et de longue endurance (MALE), piloté par l'Allemagne en association avec Airbus, Dassault et Leonardo, qui doit aboutir à un contrat de réalisation l'an prochain en vue d'une livraison vers 2025.
Ce projet, dont le développement sera essentiellement financé par le Fonds européen de défense en discussion à Bruxelles, doit permettre à l'Europe de regagner une part de souveraineté, alors qu'elle doit aujourd'hui acquérir des drones Reapers américains pour sécuriser ses opérations extérieures. La France s'engagerait à acquérir 12 eurodrones (4 systèmes de trois drones) à partir de 2025.
D'autres coopérations sont en cours, à court terme pour la modernisation des hélicoptères Tigre, le partage des données satellitaires ou la communication et à long terme pour définir le char de combat qui remplacera les Leclerc français et les Leopard allemands.
La volonté franco-allemande de renforcer l'Europe de la défense, notamment en collaborant pour rationaliser l'industrie de l'armement européenne, demeure. Toutefois, un sujet de fond n'est pour l'instant toujours pas traité : la possibilité ou non d'harmoniser les règles d'exportation. Un sujet essentiel pour l'avenir des projets communs, à l'heure où le Parlement allemand souhaite interdire les ventes d'armes en Arabie saoudite pour protester contre ses agissements au Yemen.
Anne Bauer
20 mars 2023 | International, Aérospatial, C4ISR
Because the program is mostly classified, the budget documents offer few details on the sensors the service will develop.
25 octobre 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
By: Tom Kington ROME — Italy will cut €450 million (U.S. $512.3 million) from its planned defense spending in 2019 by suspending helicopter and missile purchases and canceling an office move by the defense ministry to help shore up social welfare and tax cuts, a defense source has told Defense News. Italy's total outlay on defense in 2019 will be announced in parliament in the next few days, as Rome's populist government seeks support by members of parliament for its state budget, which contains billions of euros for a new wage for the unemployed. To free up funds to cover spending, Rome has made its cut to the defense budget, just as most European states are increasing their military outlay. During 2019 all ongoing purchases of NH-90 helicopters for the Italian Army and Navy will be suspended, the source said. Italy is planning to buy 60 NH-90s for the Army and 56 for the Navy at a total cost of €4 billion, with the procurement due to wind up in 2024. Upgrades to Tornado aircraft will also be suspended, said the source, who added that the two measures would save €370 million. Italy's purchase of the MBDA Camm-Er missile defense system will also be put off for a year, saving €30 million in 2019, the source added. Another €50 million — to reach the total of €450 million — will come from the cancellation of plans to move the headquarters of Italy's armed forces out of their separate buildings in Rome's city center to a unified HQ in the suburbs. The plan, dubbed ‘Italy's Pentagon,' was due to cost a total of €1.1 billion, the source said. The source added that F-35 purchases would be “slowed” in order to spread out payments. Italy is currently planning to buy 90 aircraft. Italian defense minister Elisabetta Trenta will discuss the plan with U.S. Secretary of Defense Jim Mattis when she visits the United States in November, the source said. The Italian coalition government which took office in June combines the anti-migrant League party with the anti-establishment Five Star party, which has long criticized spending on defense in Italy. A second defense source said that the defense ministry was about to publish its much delayed document breaking down the year's defense spending by program, which is normally released in the spring. The source said the document would this year indicate military procurement programs considered “ethical” by the new government. https://www.defensenews.com/global/europe/2018/10/24/italy-plans-to-slash-half-a-billion-dollars-from-defense-in-2019
16 novembre 2023 | International, Naval
This agreement is a culmination of the Defense Logistics Agency's decades-long partnership with the 448th Supply Chain Management Wing, Tinker Air Force Base, Okla., and Pratt & Whitney to establish...