30 septembre 2024 | International, Terrestre

Australian Army seeks light vehicles for its littoral ambitions

“As part of our transition to a littoral brigade, we’re experimenting with a lot of mobility options,” said one Australian Army commander.

https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2024/09/30/australian-army-seeks-light-vehicles-for-its-littoral-ambitions/

Sur le même sujet

  • Les nouveaux jets coûteraient 18 milliards

    1 juin 2020 | International, Aérospatial

    Les nouveaux jets coûteraient 18 milliards

    Les coûts d'achat et d'entretien des nouveaux avions de combat ont été révélés dans la presse dominicale. Les nouveaux avions de combat coûteraient 18 milliards de francs au total, selon une estimation du Département fédéral de la défense (DDPS). En plus des coûts d'acquisition de 6 milliards de francs, près de 12 milliards viennent s'ajouter pour la maintenance des jets pendant toute la durée de leur utilisation. Ces chiffres publiés par la «SonntagsZeitung» ont été confirmés par l'Office fédéral des armements (ArmaSuisse). Pour les articuler, Berne s'est appuyée sur vingt ans d'exploitation de la flotte d'avions de chasse F/A-18 actuellement en service. «En règle générale, les coûts d'exploitation calculés sur trente ans devraient être environ deux fois plus élevés que le coût d'achat», a déclaré le porte-parole d'ArmaSuisse. Comme ni le type d'avions ni leur nombre ne sont encore déterminés, des calculs plus précis ne sont pas encore possibles. Le Conseil fédéral devrait faire son choix début 2021. Cette estimation de Berne a été précédée de discussions politiques sur les coûts des jets pendant tout leur cycle de vie. Dans certains cas, des montants beaucoup plus élevés que les 18 milliards de francs ont été articulés. Les opposants à l'achat de nouveaux avions de combat ont parfois estimé les dépenses à environ 24 milliards de francs. Ils se sont appuyés en partie sur des calculs effectués par les autorités allemandes et canadiennes. Votation fin septembre Le Conseil fédéral et le parlement prévoient d'acheter de nouveaux avions de chasse pour 6 milliards de francs à partir de 2025. Il s'agit de remplacer la flotte actuelle d'avions F/A-18 et Tiger. Les Suisses voteront le 27 septembre prochain après que le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), le PS et les Verts ont lancé un référendum. Les Helvètes ne se prononceront pas sur le type d'avion, ni sur le nombre de jets, entre 36 et 40, qui seront achetés. Actuellement, une deuxième série d'offres est en cours. Au printemps dernier, quatre fabricants ont fait voler leurs engins dans le ciel suisse lors d'une démonstration. Quatre jets restent dans la course: le Rafale français (Dassault), l'Eurofighter allemand (Airbus) et, côté américain, le successeur du F/A-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.tdg.ch/les-nouveaux-jets-couteraient-18-milliards-574000585177

  • Produire local, passage obligé des entreprises partant à l'international

    29 novembre 2019 | International, Autre défense

    Produire local, passage obligé des entreprises partant à l'international

    Grandes et petites entreprises doivent se plier aux exigences croissantes des États de produire sur place une partie de leurs gros contrats. Y compris Dassault Aviation pour vendre son Rafale en Inde. Enquête. Difficile d'y échapper. Les exigences de compensations industrielles, ou offsets, occupent une place croissante dans la négociation des grands contrats. Elles sont presque autant l'apanage de pays émergents, qui cherchent à accélérer la montée en gamme de leur industrie domestique, que de pays développés. Dans le seul secteur de la défense, le montant global des offsets a progressé de 25 % entre 2012 et 2016, pour représenter près de 2,5 % des dépenses militaires. Pour décrocher le contrat de 36 avions Rafale en Inde, Dassault a dû s'engager à réinvestir 50 % de sa valeur dans le pays, sous forme de fabrication locale et d'approvisionnement auprès de sous-traitants indiens. Il a ouvert un site pour produire ses avions d'affaires Falcon et le Rafale avec l'indien Reliance. DCNS a consenti à transférer une partie de sa production et de ses compétences en Australie, dans le cadre du "contrat du siècle" de 12 sous-marins. Politique du "make in India" en Inde, "Buy american act" aux États-Unis, droits de douane exorbitants sur les importations de véhicules pour forcer les constructeurs à réaliser l'assemblage sur place... Au-delà de la défense et de l'aéronautique, le parapétrolier, le ferroviaire et la filière nucléaire font aussi face à des contraintes similaires, plus ou moins structurées. "La plupart des nouveaux contrats en Afrique prennent en compte la volonté de transférer des équipes et de produire localement ", remarque Pedro Novo, le directeur de l'international de Bpifrance. Accompagner les PME et les ETI "Les compensations industrielles étaient auparavant supportées par les seuls intégrateurs. Mais à mesure qu'elles augmentent et que les grands groupes externalisent davantage, elles descendent de plus en plus dans la supply chain", pointe Philippe Advani, un ancien d'Airbus, qui préside le comité sur les offsets des conseillers du commerce extérieur. Avec le groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas), il a publié en juillet un guide pour aider ETI et PME à naviguer dans les contraintes de transfert de savoir-faire ou de production – souvent complexes – fixées par les gouvernements. Pour les sous-traitants, l'opération n'est pas sans risque. En Inde, le spécialiste de l'ingénierie aéronautique Ametra, qui emploie 700 salariés, a sauté le pas l'an passé en créant une coentreprise avec un partenaire indien à Hyderabad, dans le sud du pays. "Cela demande du cash, et un pillage de propriété intellectuelle peut être plus dramatique pour une petite entreprise", reconnaît Philippe Advani. "Devenir indien en Inde, par exemple, implique d'accélérer la structuration de sa société, de revoir la logistique et la gestion des flux de données, d'impliquer le conseil d'administration. Il faut un accompagnement pour mettre ces contraintes à la portée des PME", énumère Pedro Novo, qui a lancé il y a un an le fonds Build-up International afin de co-investir dans des filiales à l'étranger d'ETI françaises et étudie une vingtaine de dossiers. Certains ont fait de ces contraintes un nouvel axe de leur stratégie. Depuis deux ans, le fabricant de c'ble marnais Axon'Cable surveille les obligations de compensations industrielles des grands contrats militaires pour implanter ses nouvelles usines. "Il est plus facile de vendre à nos grands clients car ils ne trouvent pas leurs fournisseurs habituels et nous en profitons pour démarcher des industriels locaux", pointe son président, Joseph Puzo, qui a ouvert en 2016 une filiale au Brésil et prépare un bureau en Australie pour 2020. L'ETI, qui possède déjà une usine low cost en Inde, a créé en début d'année une deuxième coentreprise, Dhruv, avec un partenaire local, afin d'obtenir le statut d'"offset indien partner", qui permet de répondre aux demandes de compensation industrielle. Produire localement ne supprime pas pour autant tous les échanges. Seul l'assemblage final est réalisé à proximité du client. Les composants les plus sensibles restent exportés depuis la France. Le meilleur moyen de protéger ses innovations. Latécoère suit Thales et Dassault en Inde S'implanter en Inde ne faisait pas partie des plans initiaux de Latécoère. "Je savais que l'Inde était un pays compliqué et bureaucratique. Nous serions certainement allés dans un autre pays d'Asie s'il n'y avait pas eu les contreparties du contrat Rafale", reconnaît volontiers Yannick Assouad, la PDG de l'équipementier aéronautique. Son usine de c'blage de Belagavi, dans l'État du Karnataka, a démarré sa production en septembre. Pour vendre ses 36 avions de combat, Dassault a dû s'engager à des compensations industrielles, dont l'ouverture d'un site à Nagpur, dans l'État du Maharashtra, pour produire des pièces pour le Rafale et le Falcon. En 2017, Latécoère a décroché auprès de Dassault la fourniture de harnais électriques pour le Falcon 2000 en s'engageant à suivre l'avionneur en Inde. "Se localiser dans un pays d'offset n'était pas suffisant pour remporter le contrat car il faut avant tout être compétitif. Mais c'était la cerise sur le g'teau", reconnaît Yannick Assouad. Dans la foulée, sa nouvelle usine indienne a permis à l'ETI de décrocher un deuxième contrat auprès de Thales, lui aussi tenu à des offsets, pour son système de divertissement à bord. De quoi atteindre plus vite que prévu le seuil de rentabilité de l'usine de 300 salariés. En attendant que Dassault implante sa chaîne d'assemblage du Falcon en Inde, Latécoère exporte toute sa production indienne vers la France et les États-Unis pour Thales et se fournit en France. "Nous allons progressivement démarcher des clients locaux et essayer d'évaluer la supply chain", précise la PDG. https://www.usinenouvelle.com/editorial/produire-local-passage-oblige-des-entreprises-partant-a-l-international.N907464

  • Indra moves forward as spain’s industrial coordinator and leader of the four key elements of the FCAS program

    19 juin 2020 | International, Aérospatial

    Indra moves forward as spain’s industrial coordinator and leader of the four key elements of the FCAS program

    Spain, June 16, 2020 - Indra, one of the world's leading global technology and consulting companies has made significant progress in its role as a national industrial coordinator in Spain and the leader of four of the eight core elements of the European Defence program NGWS / FCAS (Next Generation Weapon System / Future Combat Air System). Today, Indra signed the General Protocol that establishes the commitment given by Spanish companies to the Ministry of Defence in the program that will define the future of the Defence industry in Europe. The document sets out the responsibilities that the Ministry has assigned to each of these companies to provide Spain's Armed Forces with the required capabilities and at the same time to increase the sector's strategic autonomy. Ángel Olivares, Secretary of State, signed the agreement on behalf of the Ministry of Defence, while Ignacio Mataix, Managing Director for Transport and Defence signed on behalf of Indra. By signing this protocol, Indra strengthens its role as coordinator of Spanish industry within the program and as representative to the industrial coordinators appointed by France and Germany, Dassault and Airbus, respectively. In addition, this consolidates Indra's position as the Spanish leader of four of the eight core elements on which the program has been structured. The company leads the two main crossover elements (the system's Concept Study and the one related to coherence among other project elements), together with Dassault and Airbus. In addition, Indra is responsible for two of the technological elements: Sensors and the System of Systems, which involves the development efforts required to ensure that the different systems in each of the technological elements of the project can be managed as a whole, thus facilitating operations in Combat Cloud mode. Indra has made significant progress in its role as national coordinator and leader of four of the project's core elements. The company already signed an agreement with the coordinators from France (Dassault) and Germany (Airbus) to join the Joint Concept Study (JCS) that France and Germany started in February 2019. The contract that will make Indra a co-contractor together with Dassault and Airbus Germany is under final review, with the signing scheduled in the next few weeks. Since March this year, Indra has been negotiating its adherence to the ongoing contracts of Phase 1A Demonstrators, launched by France and Germany on February 20th, 2020 and related to the other program elements led by Indra. At that time, the Spanish Government signed a letter of intent to adhere to this new phase of the program and it is expected to be formalized at the end of July this year. In the meantime, the contractual amendments necessary for Spanish companies to join this Phase 1A will be made and expanded to other elements that were initially left out of the contract agreed by France and Germany; such as the Sensors element of the program. The signing of this Protocol with Spain's Ministry of Defence represents a new step forward in the implementation of the Spanish industrial strategy for the NGWS / FCAS program, the objective of which is to complete its incorporation as a full member on an equal footing with Germany and France. Indra's role as coordinator in the NGWS / FCAS program is intended to guarantee that Spanish industry reaches the maximum level of participation. Its development will generate significant know-how and added value for Spanish companies and will provide them with the opportunity to develop cutting-edge products, both in the Defence and Civil fields. Indra's appointment as the national industrial coordinator of the program ensures the maximum return of the program for Spanish industry and ownership of the technologies developed by its companies. Indra's commitment as the national coordinator in Spain is to ensure maximum return and for the NGWS/FCAS program to achieve the highest quality for Spanish industry as a whole (Defence and Civil). This all be achieved via business generation, development of its export capacity, creation of technologies that can also be used in the civil sphere and creation of high-value employment. Indra, as national coordinator, will represent the interests of Spanish industry as a whole, respecting the independence of the different companies involved in the project and strengthening its position in relation to companies from other participating nations. It is estimated that in the next decades the program will generate investments of billions of euros both in the development phase and later in the production phase. The first estimates indicate a potential economic value of the program of 300 billion euros in the next 40 years. About Indra Indra (www.indracompany.com) is one of the leading global technology and consulting companies and the technology partner for key business operations for clients worldwide. It is a leading global provider of proprietary solutions in specific segments of the Transport and Defence markets, and a leading company in digital transformation consulting and Information Technology in Spain and Latin America through its subsidiary Minsait. Its business model is based on a comprehensive range of proprietary products, with an end-to-end approach, high value and a high component of innovation. At the end of financial year 2019, Indra reported revenues of 3.204 billion euros, more than 49,000 employees, a local presence in 46 countries, and commercial operations in more than 140 countries. View source version on Indra: https://www.indracompany.com/en/noticia/indra-moves-forward-spains-industrial-coordinator-leader-four-key-elements-fcas-program

Toutes les nouvelles