16 octobre 2020 | International, Terrestre, Sécurité

Army signs $87 million deal for latest tank killer

Mike Glenn

The Army signed an $87 million deal with Saab to arm its soldiers with the latest version of the Swedish manufacturing company's powerful 84mm bunker-busting, Carl-Gustaf anti-tank weapon.

The seven-year contract calls for Saab to provide an indefinite number of the shoulder-fired weapons, designated as M3E1, to the military. They will be used by the Army, Marine Corps and elements of U.S. Special Operations Command, company officials said.

“The lightweight and effective recoilless rifle ensures readiness on the modern battlefield with multi-role capabilities through a wide array of munitions,” Erik Smith, president and CEO of Saab in the U.S., said in a statement.

The latest version of the Carl-Gustaf is 28 percent lighter than its predecessor. The system has been popular with U.S. troops as a combined anti-tank, anti-personnel weapon system since it was first fielded in the late 1980s. The Army decided it would acquire the latest version in 2018.

https://www.washingtontimes.com/news/2020/oct/15/army-signs-87-million-deal-latest-tank-killer/

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    By: Jen Judson WASHINGTON — The bids are in for a chance to build prototypes for the Army's Optionally Manned Fighting Vehicle that will replace its Bradley Infantry Fighting Vehicle. Among them is a Raytheon and Rheinmetall team putting forward Rheinmetall's Lynx 41 Infantry Fighting Vehicle, and General Dynamics Land Systems, which showcased its Griffin III technology demonstrator equipped with a 50mm cannon a year ago at the Association of the U.S. Army's annual exposition. It is currently unknown if any other teams submitted bids by the service's set deadline of Oct. 1. None have come forward publicly despite rumors of a dark horse or two. Absent from the usual brood of combat vehicle manufacturers is BAE Systems. Defense News broke the news earlier this year that the company wouldn't compete in the OMFV competition. Textron has joined the Raytheon and Rheinmetall team with plans to, if chosen to build the new vehicle, build Lynx here in the United States at its Slidell, Louisiana, manufacturing facility. Raytheon and Rheinmetall announced a joint venture Oct. 1 — calling it Raytheon Rheinmetall Land Systems LLC — to pursue the OMFV competition. “General Dynamics Land Systems submitted our OMFV proposal and bid sample to the US Army on 27 September. GD's bid sample was purpose built to address the desired system lethality, survivability and mobility as substantiation of our response to the Army's request for proposal,” the company said in a statement sent to Defense News. The company did not provide details on the submission. GDLS did note, however, that it is proposing a “purpose built vehicle” using technologies from other platforms and “years of investment in advanced capabilities to include a 50mm cannon,” according to the statement. The Army released its request for proposals in March opening a competition to build prototypes. The service plans to choose from the pool of bidders up to two teams to build 14 prototypes each. The service will choose a winner that will start replacing Bradleys in 2026 that is designed to better operate in future environments that would allow soldiers to maneuver to a position of advantage and “to engage in close combat and deliver decisive lethality during the execution of the combined arms maneuver,” according to an Army statement issued along with the RFP release. Some of the threshold requirements for OMFV are a 30mm cannon and a second-generation, forward-looking infrared system, or FLIR. Objective requirements are a 50mm cannon and a third-generation FLIR. Brig. Gen. Ross Coffman, who is in charge of Next-Generation Combat Vehicle (NGCV) modernization efforts, said at the Defense News Conference in September that he is confident the requirements set for OMFV are right and had no plans to change them. The selected prototypes will go through “rigorous” operational testing and soldier assessments. The Army plans to downselect to one vehicle for low-rate initial production following the assessments and testing. https://www.defensenews.com/land/2019/10/01/pencils-down-bids-are-in-for-armys-bradley-fighting-vehicle-replacement

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    Aérospatial : l'Onera, une pépite oubliée ?

    L'organisme de recherche sur lequel repose en grande partie la dissuasion nucléaire, la surveillance spatiale ou le renseignement des armées, se débat avec un budget contraint et des injonctions contradictoires. Par Anne Bauer Publié le 9 déc. 2019 à 8h00 L'Office national d'études et de recherches aéronautiques (Onera) est-il négligé ? Après une audition de son président, Bruno Sainjon, le Sénat a appelé le ministère des Armées à doter les finances de ce spécialiste de la recherche aéronautique de moyens à la hauteur des ambitions. Les « appels répétés pour doter enfin l'Onera de moyens au niveau de son excellence scientifique et technologique n'ont toujours pas été entendus par le gouvernement », s'indigne la Commission des affaires étrangères et de la défense. La querelle n'est pas nouvelle mais elle prend un mauvais tour. Dans le monde aéronautique, spatial et de défense, l'Onera (1910 salariés dont 291 doctorants) est jugé comme un outil stratégique. Les pales du nouvel hélicoptère léger des armées (le Guépard d'Airbus) sont issues de sa recherche. La France lui doit aussi son système de surveillance de l'espace (Graves). Quant à la dissuasion nucléaire, elle ne serait pas crédible sans les recherches menées par l'Onera sur les statoréacteurs et désormais les superstatoréacteurs (vitesse supérieure à Mach 6). Dans le renseignement enfin, les armées exploitent les techniques radars de l'Onera pour voir par tous les temps et au-delà de la ligne d'horizon. Budget bloqué Pourtant malgré ce palmarès, la subvention (106 millions d'euros prévus en 2020) versée à l'établissement par le Ministère des Armées, n'a quasiment pas varié depuis 2015. En outre, l'établissement, qui a fêté ses 70 ans, voit ses effectifs et ses salaires plafonner à un niveau inférieur à 2015, ce qui le met en danger pour garder ses chercheurs de haut niveau. Alors que l'enveloppe budgétaire consacrée à la recherche est en nette hausse dans le projet de budget 2020, la mise à l'écart de l'Onera est surprenante. Sa recherche étant duale : militaire et civile, l'Office est mal défendu au sein de la Défense, qui souhaiterait que les industriels (Safran, Thales, Airbus, etc.) mettent davantage au pot. En 2019, l'Onera a décroché 120 millions d'euros de contrats en sus de sa subvention, portant ainsi son budget à 235 millions d'euros. Revoir le contrat d'objectifs « L'Onera est une pépite technologique de niveau mondial mais cela ne pourra durer si nous continuons à le sous-doter alors que nos partenaires et concurrents accélèrent leur effort », avertit Christian Cambon, président de la Commission Affaires étrangères et défense au Sénat. De fait, la multiplication des projets prévus par le ministère des Armées plaide pour une renégociation du contrat d'objectifs de l'Onera, qui remonte à 2016. Avant que le gouvernement ne décide de renforcer sa lutte anti drone , ne crée un commandement militaire de l'espace ou ne décide de réaliser en coopération avec l'Allemagne le système de combat aérien du futur (programme Scaf). C'était aussi avant que l'Agence spatiale européenne ne décide d'aider la réalisation de petits lanceurs, alors que l'Onera a fait voler cet été un démonstrateur de système de lancement aéroporté de petits satellites, le système Ataïr. Le projet est gelé alors qu'il est essentiel pour l'avenir. Enfin, l'Onera attend avec impatience de savoir quel rôle jouer pour le Scaf, sachant que son homologue, le DLR, a déjà contractualisé avec l'armée allemande ses recherches sur le sujet. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/aerospatial-lonera-une-pepite-oubliee-1154727

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