26 février 2021 | International, Aérospatial
Boeing’s T-7 Red Hawk trainer enters production in the U.S. - Skies Mag
Static test airframe and first production aircraft set to enter joint flight-test campaign.
16 octobre 2018 | International, C4ISR
By: Mark Pomerleau
Army leaders say they are looking for more software-centric solutions that would more quickly detect and understand signals in the electromagnetic spectrum, a move away from traditional hardware solutions that perform the same task.
In the electronic warfare space, some nations, such as Russia and China, have been able to take advantage of advancements in software capabilities that allow them to rapidly changes signals and signatures, which makes defense and signal classification more difficult.
As a result,“we're trying to get away from a hardware solution and go to more of a software solution so that way as that threat evolves we're able to more quickly address it,” Col. Kevin Finch, program manager for Electronic Warfare and Cyber at Program Executive Office Intelligence, Electronic Warfare and Sensors, told C4SIRNET sister site Defense News in an interview during the AUSA annual meeting in early October. “That's been one of our main thrusts.”
Nations such as China are “masters of changing their signals,” Jerry Parker, senior vice president of C4ISR and electronic warfare at defense contractor CACI, said at the same conference.
“Every day we're seeing new [radio frequency] signatures coming from them for a myriad of things, whether it's a new RF link for communications, a new RF link for controlling [an unmanned aircraft system],” he said.
Parker said CACI wants to develop a more open architecture system for the government and other contractors to be able to create their own software based capabilities. This is similar to the iPhone model in which a single hardware box can host a variety of software applications developed my numerous third party organizations.
This way, Parker said, companies and the government don't have to build a new platform every time a new signal emerges.
26 février 2021 | International, Aérospatial
Static test airframe and first production aircraft set to enter joint flight-test campaign.
3 septembre 2024 | International, Terrestre
13 février 2020 | International, Aérospatial
Les gouvernements français et allemands ont notifié à Dassault Aviation, Airbus, MTU Aero Engines, Safran, MBDA et Thales le contrat cadre initial de démonstrateur du Système de combat aérien du futur (SCAF) Les gouvernements français et allemands ont notifié ce jeudi 13 février le contrat cadre initial de démonstrateur du Système de combat aérien du futur ou SCAF aux industriels français et allemands associés au programme. En l'occurrence, Dassault Aviation, Airbus et leurs partenaires MTU Aero Engines, Safran, MBDA et Thales. Cette notification était attendue à l'occasion du dernier salon du Bourget en juin 2019, puis avait été repoussée pour l'automne. En parallèle aux discussions serrées entre partenaires industriels sur la répartition du rôle de chacun, les gouvernements français et allemand devaient trouver un accord concernant l'exportation des systèmes, dont le SCAF. Un véritable enjeu pour les industriels impliqués dans ces programmes car leur permettant de trouver des débouchés commerciaux et de pérenniser leurs activités. Et le 16 octobre 2019, Florence Parly, ministre des Armées, pouvait annoncer : « Décision fondamentale qui acte une confiance mutuelle : un accord a été conclu aujourd'hui entre France et Allemagne. Il permet l'exportation d'équipements issus de nos coopérations. Etape essentielle pour construire sereinement une Europe de la défense ambitieuse ». Florence Parly indiquait également que le contrat visant à lancer de démonstration pour le NGF ou "New Generation Fighter" devait être signé "dès janvier 2020" et que "le premier vol devant ensuite être réalisé en 2026". « Cet avion de combat du futur et les drones qui l'accompagneront entreront dans nos forces à l'horizon 2035/2040 », avait précisé Florence Parly. Le contrat cadre notifié aujourd'hui porte sur une première phase (Phase 1A) de 18 mois et lance donc les travaux qui mèneront au développement d'un démonstrateur du NGF avec pour rappel Dassault Aviation associé à Airbus pour le NGF, Airbus et MBDA sur les "remote carriers" à la fois drones et missiles et dont le rôle sera de saturer les défenses ennemies, mener des missions de brouillage, désigner des cibles ou même larguer des missiles; Airbus et Thales sur le "combat cloud" (mise en réseau informationnelle et opérationnelle de tous les éléments du SCAF), et Safran et MTU Aero Engines sur la motorisation du SCAF. "Les entreprises concernées développeront conjointement un environnement de simulation visant à garantir la cohérence des différents démonstrateurs". https://www.air-cosmos.com/article/scaf-la-phase-du-dmonstrateur-est-lance-22559