15 novembre 2023 | International, Aérospatial

Airbus seeks to break Emirates jet order impasse | Reuters

Airbus sought a compromise to try to unblock dozens of A350 orders from Dubai's Emirates late on Wednesday, buoyed by a deal for 11 of the most popular version of the jet with Ethiopian Airlines, industry sources said.

https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/airlines-last-minute-talks-rescue-dubai-airshow-deals-2023-11-15/

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  • Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    31 août 2020 | International, Aérospatial

    Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349

  • MBDA : le missile SPEAR passe en production

    15 janvier 2021 | International, Aérospatial

    MBDA : le missile SPEAR passe en production

    Le Royaume-Uni notifie le missilier MBDA d'un contrat de 550 M£ pour lancer la production du mini-missile de croisière Spear 3 qui a déjà bénéficié de 561 M£ en contrats d'évaluation et de développement. 550 M£ de plus pour MBDA Le ministère britannique de la Défense a notifié le missilier MBDA un contrat d'un montant de 550 M£ pour la mise en production du mini-missile de croisière SPEAR en développement depuis 2010. Destiné à équiper les Airbus Typhoon et les Lockheed Martin F-35B de la Royal Air Force et de la Fleet Air Arm, ce missile, qui est désigné "SPEAR 3", est le premier de sa catégorie à être équipé de moyens de connectivité pour une utilisation en réseau, préfigurant les effecteurs déportés et utilisables en essaims. MBDA ne précise pas si les missiles SPEAR 3 destinés à la Royal Air Force comprendront une version dotée d'une charge de guerre électronique pour brouiller les moyens de détection ennemis. On peut supposer que "oui" puisque cela était une demande de la Royal Air Force. Déjà 561 M£ versés pour le missile SPEAR 3 Ce nouveau contrat d'un montant de 550 M£ qui lance la production du missile MBDA Spear s'ajoute à ceux déjà passés les années 2010 et 2016. En mai 2016, le ministère de la défense britannique avait annoncé avoir accordé un contrat d'une valeur de 411M£ à MBDA pour poursuivre le développement du missile Spear 3. Ce contrat faisait suite à un premier engagement de 150M£ accordé en 2010 pour lancer la phase d'évaluation du système. Essais sur avion de combat Airbus Typhoon Les essais de tir depuis l'avion de combat Airbus Typhoon avaient commencé quelques mois plus tôt tandis que les travaux d'intégration sur l'avion de combat Lockheed Martin F-35B avaient officiellement commencé trois ans plus tard, parallèlement aux travaux d'intégration du missile Meteor de MBDA sur le même avion. https://www.air-cosmos.com/article/mbda-le-missile-spear-passe-en-production-24077

  • ‘A Little Bit Disruptive’: Murray & McCarthy On Army Futures Command

    7 septembre 2018 | International, Aérospatial, Terrestre, C4ISR

    ‘A Little Bit Disruptive’: Murray & McCarthy On Army Futures Command

    By SYDNEY J. FREEDBERG JR. "It's establishing buy-in over the next three, four, five years from the institution (of the Army)," Gen. Murray said. "It's about establishing buy-in on Capitol Hill, because if I don't have buy-in there, this won't survive.” DEFENSE NEWS CONFERENCE: The Army's new Futures Command won't tear down the most failure–prone procurement system in the entire US military. Instead, both its commander and the Army's No. 2 civilian emphasize they want to be just “a little bit disruptive” and “work with the institution.” That will disappoint critics of the service's chronically troubled acquisition programs who saw the Army's much-touted “biggest reorganization in 40 years” as an opportunity to tear the whole thing down and start again. The necessary change to Army culture “is going to take time,” brand-new four-star Gen. John “Mike” Murray said here yesterday, “and I think you do that by being a little bit disruptive, but not being so disruptive you upset the apple cart.” “It's hard, Sydney, because you know, you have to work with the institution,” Undersecretary Ryan McCarthy told me after he and Murray addressed the conference. “You don't want to go in there and just break things.” Work Through The Pain Reform's still plenty painful, acknowledged McCarthy, who's played a leading role in round after round of budget reviews, cutting some programs to free up funding for the Army's Big Six priorities. The choices were especially hard for 2024 and beyond, when top priorities like robotic armored vehicles and high-speed aircraft move from the laboratory to full-up prototypes. “You've got a lot of people out investing, and they're all doing good things, but they weren't the priorities of the leadership,” McCarthy told me yesterday. “You have to explain to folks why you're doing what you're doing. You need them focused on the priorities of the institution” – that is, of the Army as a whole, as set by leadership, rather than of bureaucratic fiefdoms with a long history of going their own way. But what about the pushback from constituencies who see their priorities being cut, particularly upgrades to keep current platforms combat-ready until their replacements finally arrive? “If you don't accept the risk that you talked about, (if you don't) slow down or stop the upgrade of legacy systems, you never get to next generation equipment,” brand-new four-star Gen. John “Mike” Murray said here yesterday, “and I think you do that by being a little bit disruptive, but not being so disruptive you upset the apple cart.” In other words, funding for incremental upgrades will crowd out funding for potential breakthroughs. That's largely because the incremental approach looks lower-risk – right up to the point where the enemy fields something revolutionary that your evolutionary approach can't counter. Full article: https://breakingdefense.com/2018/09/a-little-bit-disruptive-murray-mccarthy-on-army-futures-command

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