29 janvier 2021 | International, Aérospatial

Airbus Calls For European Cooperation On Future Military Rotorcraft

Concerns that U.S. industry could muscle in on NATO plans for a medium-lift helicopter for the 2030s and beyond has sparked Airbus to call for a European solution. Airbus Helicopters says it has backing from the French, German and Spanish governments to bid for grants from the European Defense Fund...

https://aviationweek.com/defense-space/missile-defense-weapons/airbus-calls-european-cooperation-future-military-rotorcraft

Sur le même sujet

  • How a military vehicle contractor plans to make a USPS truck that lasts ‘almost forever’

    19 mai 2021 | International, Terrestre

    How a military vehicle contractor plans to make a USPS truck that lasts ‘almost forever’

    Oshkosh Defense's experience making rugged military vehicles makes the company well-suited to craft a long-lasting mail delivery vehicle, according to the company president.

  • Remplacement des F-16 : quels impacts pour l’économie belge ?

    23 juillet 2018 | International, Aérospatial

    Remplacement des F-16 : quels impacts pour l’économie belge ?

    par Eurasiatimes La Belgique choisira-t-elle de remplacer ses avions de combat par les F-35 américains, sans aucune garantie de retombées économiques, ou fera-t-elle le choix de constructeurs européens qui s'engagent, au contraire, à créer des emplois et vivifier le tissu économique et industriel belge ? La Belgique doit prochainement remplacer sa flotte d'avions de combat, et son secrétaire d'Etat en charge du Commerce extérieur a sa petite idée sur la question. Pour Pieter de Crem, seuls les F-35 de l'Américain Lockheed Martin seraient à même de prendre le relai des antiques F-16 de la flotte belge, au motif que la Belgique doit « réaliser le meilleur achat en termes militaires et économiques. L'argument géographique ne compte pas. Ainsi, le fait d'être »un bon Européen » ne suffit pas », expédie le ministre. Les F-35 américains auraient « un très faible impact sur l'économie belge » L'argument des retombées économiques – un passage obligé dans ce type de négociations – du programme américain ne convainc pourtant pas. En témoigne une note interne des services de la Région de Bruxelles-Capitale, obtenue début juin par l'agence AFP. Un document selon lequel le gouvernement bruxellois suggère d'écarter la candidature du F-35 au profit de l'un de ses deux concurrents, le Typhoon d'Eurofighter, un consortium réunissant le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, et le Rafale de l'avionneur français Dassault. La note des services de Bruxelles évalue le « retour industriel possible » à « 4 milliards d'euros sur 20-30 ans », dont l'économie de la région bruxelloise profiterait à hauteur de « 5-10% ». « Le choix du partenaire sera important sur les retours économiques », poursuit le document, qui torpille les F-35 : « En effet, les experts aéronautiques avancent que l'avionneur américain, partenaire jusqu'ici semblant être privilégié par le gouvernement fédéral, n'est pas connu pour être très volontariste ni même actif en termes de retours économiques ». « Cela fait craindre un très faible impact sur l'économie belge ainsi que sur l'économie bruxelloise », conclut la note. Dans un paysage politique aussi complexe que celui de la Belgique, l'achat de nouveaux avions est décidé au niveau fédéral, mais les retombées économiques le sont au niveau régional. Mais au-delà de la sempiternelle opposition entre Flandre et Wallonie, « la première erreur du gouvernement belge est d'avoir dit qu'il voulait un avion sans obliger le marché à garantir des retombées économiques », estime le député Benoit Hellings, vice-président de la Commission de la Défense à la Chambre. De fait, seules de très hypothétiques collaborations en matière de recherche sont évoquées par l'Américain. « Il serait anormal qu'un contrat de plusieurs milliards ne débouche pas sur des emplois durables », s'inquiète le député Sébastien Pirlot, qui met aussi en garde contre l'explosion des coûts habituellement constatée avec les avions de Lockheed Martin. Alors qu'un F-35 coûte entre 80 et 100 millions de dollars, « les pays qui ont déjà eu le F-35 ont vu la facture monter jusqu'à 125 millions », ajoute le député. Typhoon, Rafale : des milliers d'emplois et des dizaines de milliards de retombées à la clé Au contraire du F-35, ses concurrents britanniques et français promettent des retombées économiques non négligeables pour la Belgique. Les Britanniques de BAE Systems promettent ainsi quelque 19 milliards d'euros de retombées et pas moins de 6 000 emplois créés localement. Le gouvernement anglais propose également d'installer deux centres de fabrication, l'un en Flandre et l'autre en Wallonie – malin –, ainsi que la construction de centres de formation, d'innovation et de cybersécurité. Quant au groupement français d'intérêt économique (Dassault Aviation, Thales et Safran), il évoque la création de 5 000 emplois « à haute valeur technologique » en Belgique, assortie de 20 milliards d'euros de retombées économiques sur une période de 20 ans. La France propose aussi à la Belgique un partenariat comprenant, outre la fourniture de 34 Rafales, « une coopération approfondie » dans les domaines militaire et industriel – et évoque la nécessité d'un geste hautement symbolique, à l'heure où l'Europe de la Défense, véritable serpent de mer, est en passe d'être relancée. Des promesses trop belles pour être vraies ? « On ne demande pas de nous croire les yeux fermés, explique Eric Trappier, le PDG de Dassault Aviation. On apportera les garanties de ce que nous affirmons aujourd'hui ». Autant d'arguments dont on espère qu'ils parviendront aux oreilles du gouvernement fédéral et du ministre Pieter de Crem. http://www.eurasiatimes.org/20/07/2018/remplacement-des-f-16-quels-impacts-pour-leconomie-belge/

  • The Pentagon has relaunched its Space Command location search. Here’s why.

    6 mars 2020 | International, Aérospatial

    The Pentagon has relaunched its Space Command location search. Here’s why.

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — The future location of U.S. Space Command, and all its associated jobs and dollars, won't be coming before the November election, thanks to a directive by Secretary of Defense Mark Esper to relaunch the department's search process. On Tuesday, Space Force Vice Commander Lt. Gen. David Thompson told the House Armed Services Committee that department leaders are “going to take a holistic look at all of the potential options, all the potential locations" being considered for the combatant command. “We've been directed to go back, open up the aperture, and look at all of them. And so, that includes — that include bases. It includes perhaps some nontraditional locations. We will absolutely establish the criteria we need for each of these organizations and then base them accordingly,” he added. And on Wednesday, Secretary of the Air Force Barbara Barrett confirmed that the Air Force would be restarting the national competition for Space Command's location. “We're going to reopen the process, and put forward criteria in detail and invite all who think they have a good shot at it to come and represent their communities for that possible basing choice,” the secretary said. Barrett added that an announcement on the new competition would come “this spring.” Those comments led to a pointed line of questioning to Esper from Sen. Doug Jones, D-Ala., who during a Senate Armed Services Committee hearing directly asked if the decision to recompete was tied up in electoral politics. Thompson testified that “the Air Force was directed — and I emphasize the word ‘directed' — to go back and open this up," Jones said. "A cynical person in today's world would think there are some electoral politics coming into play in this.” He then pointedly asked if the decision came from the White House. A leaked 2019 memo of potential bases listed four locations in Colorado — Buckley Air Force Base, Cheyenne Mountain Air Force Station, Peterson Air Force Base and Schriever Air Force Base — as well as the Army's Redstone Arsenal in Alabama and Vandenberg Air Force Base in California. There has been heavy political push from the Florida delegation as well. Awarding Space Command and its myriad of jobs could benefit politicians running in a swing state such as Colorado or Florida; Jones, a surprise winner in a 2017 special election, is a top target for Republicans in November's election and could potentially benefit should the award go to his native Alabama. Esper, however, denied there was any push from the White House to influence politics, stating bluntly: “It came from me. I'm the responsible party.” The reason for the change, he explained, came from discussions with members as far back as his August nomination process. “During my talks on the hill prior to my nomination, particularly after my hearing here, I visited the House and heard from members on both sides of the aisle that they thought the process that had been run was unfair and not transparent. And there were a number of complaints,” Esper said. “So I directed at that time that we pause in place. “I took a briefing on it along with [Deputy Secretary of Defense David] Norquist. We did not feel it was transparent enough; that enough states, members etc. had a chance to participate. So we directed it be revisited, and a different approach be taken where [the department would] outline the criteria, the screening criteria by which a place would meet as a qualifier, throw that to all members and offer them to nominate locations,” while being transparent about the criteria and giving rolling updates to Congress as the work progressed. However, that process took time to get going, and until a month ago was not fully underway, Esper conceded, meaning it will now take “several months” before anything is finalized — almost certainly after November's election is over. “I'm the one who did it. It was my initiative, simply to make sure that transparency and buy in and consent with the process,” he said. “If it helps assure you, I don't see anything being announced before the election.” https://www.defensenews.com/space/2020/03/05/the-pentagon-has-relaunched-its-space-command-location-search-heres-why/

Toutes les nouvelles