8 juin 2021 | International, Aérospatial

Air Force: Using commercial rockets to deliver supplies not as far-fetched as it sounds - SpaceNews

U.S. Air Force officials on June 4 expressed enthusiasm about the possibility that commercial space vehicles one day could be used to ship supplies around the world. 

https://spacenews.com/air-force-using-commercial-rockets-to-deliver-supplies-not-as-far-fetched-as-it-sounds/

Sur le même sujet

  • US Navy awards contract to Serco for mass notification systems upgrade

    2 juillet 2019 | International, Autre défense

    US Navy awards contract to Serco for mass notification systems upgrade

    The US Naval Information Warfare Center (NIWC) Pacific has awarded a contract to Serco to perform upgrades to giant voice mass notification systems. The giant voice mass notification system is a voice announcing system used to provide warnings to communities living near naval installations in emergency situations. Under the contract, Serco will provide production and installation services for the systems located at different sites in the Western Pacific Region. The one-year task order is valued at around $8.3m. Work will include pre-installation testing and check-out, retrofit installation, inspection, pre-setup, optimisation, training, and systems operational verification testing. Serco chairman and CEO Dave Dacquino said: “Serco has a 20-plus year legacy of rapidly providing highly reliable support to meet the emerging requirements of the navy. “Serco is proud of the base modernisation services we are providing to help secure our bases, and detect and respond to threats.” NIWC Pacific awarded the task order under the $232m anti-terrorism/force protection (ATFP) naval electronic surveillance systems (NESS) indefinite-delivery, indefinite-quantity (ID/IQ) contract secured by Serco earlier this year. Under the contract, the company will deliver technical services to the Naval Facilities Engineering Command (NAVFAC), programme executive offices, and other US Department of Defence (DoD) agencies. Services are also offered to the Department of Homeland Security, US Marine Corps, and other government programmes. Serco is specialised in building and maintaining command, control, communications, computers, combat systems, intelligence, surveillance, and reconnaissance (C5ISR) systems for various branches of the DoD. Specific services provided by the firm include lifecycle sustainment engineering, systems integration, hardware procurement, software development, and technical support. In addition, the company provides installation and testing, operations and maintenance solutions. In March, the company won a contract from the US Navy to provide technical and programmatic support at naval bases globally. https://www.naval-technology.com/news/us-navy-awards-contract-serco-mass-notification-systems-upgrade/

  • Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/

  • Coronavirus Hampering Defense Contractor Operations, Reader Survey Finds

    19 mai 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Coronavirus Hampering Defense Contractor Operations, Reader Survey Finds

    t's harder to win business amid a pandemic, said one-third of industry respondents in a Defense One reader survey. Federal contractors and private-sector workers say the coronavirus pandemic is hurting business and their ability to compete for government work, a new survey of Defense One readers has found. More than 75 percent said COVID-19 had a moderate, major, or extreme impact on their company's day-to-day operations. About 22 percent said the virus had a minimal impact; 2 percent, no impact. Nearly 60 percent of the respondents said coronavirus has forced them to slow or pause production. Nearly 40 percent said their business has seen disruptions to its cash flow. Defense One commissioned the survey, which was conducted by Government Business Council, a division of Defense One's parent company, Government Executive Media Group. The survey was conducted May 8-14 and received 677 responses, yielding a 5 percent margin of error. Of those, 313 self-identified as a government contractor or private sector employee. Related: 62% Disapprove of Trump's Coronavirus Response, Reader Survey Finds In March, the Pentagon began paying its contractors more money up front so these large firms could send more money to the smaller companies that make up their vast and diverse supply chains. Collectively, companies have sent or pledged to send billions of dollars to their suppliers in a quicker fashion. Still, Ellen Lord, defense undersecretary for acquisition and sustainment, said last month that she was expecting a three-month slowdown in weapons deliveries as companies faced shutdowns and modified their processes and procedures to comply with social distancing and other guidelines. About 30 percent of contractors and private sector workers said their business has experienced supply-chain disruptions. While more than one-third of respondents said social distancing has hurt their company's ability to compete for government contracts, more than half said social distancing has made no difference in their company's ability to win contracts and 12 percent said restrictions have helped their company's competitive advantage. More than 17 percent said their business has had to lay off employees; 18 percent said their companies have furloughed workers. One-quarter of respondents said lack of access to senior officials and decision makers and the inability to attend networking events has affected their business. With conferences, trade shows and other in-person events on hold indefinitely, trade associations and event organizers have looked for virtual ways to replicate not only speaker presentations, but the sideline discussions and other types of networking that many consider essential to doing business in the defense sector. “Your ability to pull somebody off the stage coming off a panel, the ability to ask a question in the question-and-answer period in this environment, is a little bit challenging,” Hawk Carlisle, a retired Air Force general who is CEO of National Defense Industrial Association, said in an interview late last month. “It is having an effect and I do believe the longer this goes on it will continue to have an effect.” This week, NDIA, which represents 1,700 large and small companies and has 70,000 individual members, became the first to transform a large conference and trade show into a fully virtual conference. Typically, its SOFIC event is held in Tampa, near the U.S. Special Operations Command headquarters. This year, the speeches and panel discussions were broadcast online. What's more, the organization facilitated meetings between companies and government officials. NDIA, which usually hosts dozens of events around the country each year, is considering new ways to hold its gatherings, including hosting hybrid events, with some people in attendance and others attending virtually, Carlisle said. https://www.defenseone.com/business/2020/05/coronavirus-hampering-defense-contractor-operations-reader-survey-finds

Toutes les nouvelles