4 septembre 2020 | International, Autre défense

AFWERX Announces the Global Reimagining Energy Challenge for the U.S. Department of Defense

Open Call for International Entries to Reimagining Energy for the DoD Challenge. Creating the Future of Resilient Energy Production, Transmission, Use and Storage.

LAS VEGAS, Sept. 4, 2020 /CNW/ -- AFWERX, the U.S. Air Force's innovation catalyst, announces the Reimagining Energy for the DoD Challenge, seeking solutions to create the future of resilient energy production, transmission, use, and storage. The Department of Defense (DoD) is currently the largest energy consumer globally. By reducing demand and reliance on petroleum and modernizing the energy infrastructure, the U.S. Air Force can improve the way it consumes energy, increases sustainability, and remains adaptable to future impacts of climate change and reduction in fossil fuels.

This is an incredible opportunity for the DoD to partner with innovative industries and academia to identify, fund, and launch new energy strategies from now until 2045. The Challenge is seeking solutions that can be implemented immediately, those that require some further development and also moonshot ideas that may not be implemented until 2045.

"The disruption of the energy sector is already happening. There's unbelievable innovation occurring in how we produce, transmit, and store energy. The DoD must partner with those leading this disruption in both industry and academia to ensure we maintain our competitive advantage," stated Colonel Charles Bris-Bois, Air Force Disruptive Technology Team.

The Reimagining Energy for the DoD Challenge will gather the right people from industry, government, and academia to identify solutions for a sustainable energy infrastructure for the Department of Defense. The goals of the Challenge are to leverage all energy sources for military use such as wind, solar, thermal, hydro, nuclear, and hydrogen and increase mission effectiveness and quality of life, while reducing our dependence on fossil fuels. Our aspirational targets are to eliminate all fossil fuel dependency and achieve a carbon negative DoD.

The Reimagining Energy for the DoD Challenge encompasses six specific topics:

  • Permanent & Mobile Energy Generation
  • Energy Transmission & Distribution
  • Mobile & Fixed Energy Storage
  • New Warfighting & Operational Equipment Not Dependent on Fossil Fuels
  • Data Availability for Improved Planning & Decision Making
  • Energy Culture, Policy & Education

"I am really excited for this Challenge for two reasons. First, this will change the way the DoD consumes, stores, distributes, and uses energy which has strategic benefit and benefits the planet at the same time given the aspirational carbon-negative target. Second, this Challenge is running concurrently with a Small Business Innovation Research (SBIR) focus area which creates a lot of opportunity for small businesses in the U.S. to receive government funding to support this initiative," said Mark Rowland, Innovation Actualizer for AFWERX.

The open call for solutions for the Reimagining Energy Challenge launches on Sept. 2, 2020. The submission window will remain open until Oct. 1, 2020. Teams that submit their solutions by Sept. 14 will be invited to participate in an event on Sept. 17 where they will receive feedback to improve their submissions; participate in a Q&A session and also a networking and collaboration opportunity. Submissions are accepted from across the globe, both domestic and international organizations and individuals are encouraged to participate. The full challenge overview and details to submit a proposed solution is available at afwerxchallenge.com/energy. Preview the video for additional information here.

ABOUT AFWERX

Established in 2017, AFWERX is a product of the U.S. Air Force, directly envisioned by former Secretary of the Air Force Heather Wilson. Her vision of AFWERX — to solve some of the toughest challenges that the Air Force faces through innovation and collaboration amongst our nation's top subject-matter experts. AFWERX serves as a catalyst to unleash new approaches for the warfighter through a growing ecosystem of innovators. AFWERX and the U.S. Air Force are committed to exploring viable solutions and partnerships to further strengthen the Air Force, which could lead to additional prototyping, R&D, and follow-on production contracts.

https://www.newswire.ca/news-releases/afwerx-announces-the-global-reimagining-energy-challenge-for-the-u-s-department-of-defense-822922728.html

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    (B2) Passées quelques généralités, il faut lire attentivement le traité d'Aix-la-Chapelle. Celui-ci recèle quelques beautés cachées qui méritent une attention, notamment en matière de défense et de diplomatie La salle du couronnement de l'Hôtel de ville d'Aix-la-Chapelle, qui accueille ce mardi (22 janvier) la Chancelière Angela Merkel et le président Emmanuel Macron sous le blason de Charlemagne, qui unit le lys français à l'aigle allemand, aurait sans doute mérité un peu plus d'enthousiasme et d'explications. Tel un vieux diesel poussif, qui recrache plus de scories que d'énergie, le traité d'Aix-la-Chapelle, qui vient s'ajouter au bon vieux traité de l'Elysée de 1963, manque d'un grand projet qui pourrait faire vibrer un peu nos nations endormies. Il reste souvent limité dans son ambition, marquée par toute une série de réserves, hésitant entre l'emphase et le réalisme précautionneux, et finalement moins concret que son aîné. Mais il ne faut pas s'arrêter à un premier survol, naturellement critique. Ce texte recèle aussi plusieurs vertus qu'il importe de bien détailler. De nombreux engagements, anodins en apparence, donneront bien du fil à retordre à leurs auteurs pour être mis en œuvre jusqu'au bout. Ne pas les mettre en valeur serait une erreur. Une vertu stratégique : le couple franco-allemand dans l'Europe La première vertu stratégique de ce texte est de resituer le franco-allemand dans le contexte actuel. Il permet d'affirmer, haut et fort, combien la nécessaire coopération entre Paris et Berlin est nécessaire et utile non seulement pour les Français et les Allemands, mais aussi pour les Européens. Avec le départ du Royaume-Uni, la France et l'Allemagne restent plus que jamais les deux principales puissances de l'Union européenne, rassemblant près d'un Européen sur trois. C'est dans ce cadre que Français et Allemands situent désormais leur action et non plus seulement dans leur dialogue intuitu personae. C'est l'élément fondamental qui distingue à 55 ans de distance l'écrit de l'Elysée de celui d'Aix-la-Chapelle. « L'amitié étroite entre la France et l'Allemagne demeure un élément indispensable d'une Union européenne unie, efficace, souveraine et forte » est-il indiqué. Le mot Europe est inscrit à tous les tournants, tellement conjugué régulièrement à toutes les politiques, qu'on l'oublierait presque. Ainsi Paris et Berlin s'engagent à « renforcer leur coopération » en matière de politique étrangère, de défense ou de sécurité intérieure « tout en renforçant la capacité de l'Europe à agir de manière indépendante ». En matière de défense, ils s'engagent à la fois « à renforcer la capacité d'action de l'Europe » comme à « investir conjointement pour combler ses lacunes capacitaires » dans des projets industriels, etc. Une approche commune entre les deux armées La seconde vertu de ce texte est de mettre le curseur sur quelques difficultés qui empêchent d'avancer. Il entend ainsi jeter les bases d'une approche commune plus serrée entre les armées française et allemande. La volonté « d'instaurer d'une culture commune » est affirmée, tout comme celle « d'opérer des déploiements conjoints ». C'était déjà l'esprit du traité de l'Elysée, au moins pour la partie doctrinale. Mais on ne peut pas dire que les réalisations suivantes, notamment la création de la brigade franco-allemande, aient produit l'effet escompté. Les « doctrines » d'intervention restent différentes. Même si Français et Allemands se retrouvent souvent sur les mêmes terrains (Afghanistan, Mali...), ce sont souvent des déploiements juxtaposés (au mieux!) que des déploiements conjoints. Y arriver va nécessiter beaucoup d'efforts de part et d'autre : pour les Français il faudra être un peu plus patients et inclusifs et pour les Allemands être un peu plus volontaires et ... efficaces. C'est une vraie gageure. « Ce n'est pas facile » comme le dit Définir une politique d'armements commune Troisième ‘beauté cachée' : la mise en place d'une « approche commune en matière d'exportation d'armements ». Ce n'est pas gagné non plus. Les règles allemandes sont plus strictes que les règles françaises. Et le contexte politique national outre-Rhin est plus sensible à certaines exportations qu'en France. Mais c'est une nécessité à la fois politique et économique. Certes cette approche n'est valable que pour les « projets communs », et chaque pays restera maitre chez lui pour des projets purement nationaux. Mais, du moins pour les investissements lourds, l'investissement en commun va devenir la règle. Entre l'avion de transport militaire, A400M, les hélicoptères d'attaque Tigre ou de transport NH90, le futur char lourd, l'avion du futur (l'après Rafale) et le drone de surveillance européen (Eurodrone MALE), ils ne manquent pas. Ne pas définir une règle commune d'exportation serait mettre en péril certains projets industriels communs. Une clause de solidarité alternative Quatrième engagement : la volonté commune de défendre les frontières de l'autre s'il venait à être agressé. Les pays entendent se garantir mutuellement « aide et assistance éventuelle en cas d'attaque armée de leurs territoires ». Ce « par tous les moyens dont ils disposent, y compris la force armée ». Rien de nouveau en apparence. C'est la répétition du cadre des clauses dites de défense mutuelle ou d'assistance mutuelle prise dans le cadre de l'OTAN ou de l'Union européenne, avec toutes les limites qui s'imposent. L'assistance mutuelle ne se déclenche ainsi qu'en cas d'évènement très grave : une attaque armée, venant de l'extérieur, sur le territoire ‘européen' d'un des deux pays. Cette clause est donc surtout « symbolique et politique » ainsi que me l'a confié un haut gradé. Y voir quelque chose de totalement inutile est cependant une erreur. C'est plutôt une ‘double' assurance, qui n'aurait à s'actionner que si, pour une raison ou une autre, l'OTAN serait paralysée. En matière militaire, le superflu est parfois nécessaire... Militer pour une réforme du Conseil de sécurité de l'ONU Dernière vertu du texte, défendre la revendication allemande d'avoir un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. Ce n'est pas illogique au regard du poids économique et politique de l'Allemagne. Cette avancée est cependant liée à une réforme plus globale du Conseil de sécurité des Nations unies que les deux pays s'engagent à pousser. C'est en fait un cadeau fait à la coalition au pouvoir à Berlin qui a fait de cette présence un des points clés de sa politique étrangère. Paris n'entend pas céder donc son siège permanent au Conseil de sécurité et son droit de veto. C'est un des ressorts de la puissance diplomatique hexagonale. On est là face à des contradictions de la relation franco-allemande qu'il faudra bien résoudre demain. (Nicolas Gros-Verheyde) article paru chez Euractiv https://www.bruxelles2.eu/2019/01/22/les-cinq-beautes-cachees-du-traite-daix-la-chapelle/

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